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Je n'ai pas vu la vidéo mon Grl mais je suis fan, jusqu'au bout, je n'ai pas eu l'occasion de jouer cette année, je devais le faire avec un ami cher, mais je crois qu'il n'a pas le jeu ni de console
Il n’y a rien de noble à être supérieur à vos semblables. La vraie noblesse, c'est être supérieur à votre moi antérieur.
Hemingway
Le problème c'est que c'est basé sur le premier opus (de la saga 3D je veux dire), un opus auquel je n'ai pas joué.
Le problème c'est que le Prince évolue considérablement à travers la trilogie: d'un jeune "prince" gâté qui se trouve dans le "pétrin" dans le premier en un guerrier féroce qui essaye d'affronter son destin pour finir en héros dévoué à son peuple.
Du coup, on trouvera certainement des fans du jeu qui diront: "non, ce n'est pas ça le Prince".
Certaines BD passent inaperçues, nous remarqueront que l'adaptation de Spiderman ou la série de Superman sont excellentes parce que la BD avait une forte influence dans les années 70 80, aujourd'hui c'est le film qui prime.
Il n’y a rien de noble à être supérieur à vos semblables. La vraie noblesse, c'est être supérieur à votre moi antérieur.
Hemingway
Ce qui est interessant dans ce jeu est qu'il essaie de reproduire des elements de l'architecture,mythologie babylonienne et persane.
Dans le volume 2 et volume 3 il ya des clins d'oeil au "dieux"babylonien atra-hasis(une grande depiction dans la salle du trone du 2 eme volume du jeu)
kuribu(emprunte par la mythologie grecque sous le nom griffin)
la porte d'ishtar(apparait dans une cinematique du 3 eme volume dans l'episode ou il essaie de fuire de la ville sur un chariot)
Et aussi des textes en ecriture cuneiforme,les jardins de babylone,la tour de babylone...
Il ya aussi un renvoi a la mythologie iranienne
dhahhak(dahhaka dans le jeu)
La bande son est aussi tres reussite avec les tons orientaux.
Un detail qui m'a tres plu c'est le combat interne entre le mal et le bien quand le prince devient une creature noire quand il reçoit le sable et normal quand il boit l'eau,elle fait rappeler les symboliques de l'eau et de la roche dans les religions semitiques(ablutions/pierres de "radjm"en islam,eau de baptisation chez les chretiens...)
La surprise de ce jeu est que le prince etait babylonien en fait et non perse
Dernière modification par humanbyrace, 10 novembre 2009, 18h01.
يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel
Le Dahaka existait vraiment (dans la mythologie je veux dire) ?!!
C'est le monstre le plus imposant de la saga, c'est ce qui a fait du second volet de la saga un véritable mythe.
ça devrait etre le dhahhak/zahhak de la mythologie iranienne
http://fr.wikipedia.org/wiki/Zahhak Zahak, Zahhak, Zahak-e Tāzi aussi connu sous le nom de Bivar-Asp, qui signifie "celui qui a 10,000 chevaux" en langue pahlavi (moyen persan (en avestique Āži-Dahāk) est un personnage mythique de la Perse (Iran) antique.
Zahak, traduction en pahlavi de l'Avesta personnifie le serpent Azhi Dahaka qui est le mal incarné, sévissant à Bawru (Babylone). Zahak est représenté par un homme avec deux têtes de serpent lui poussant sur les épaules où il a été embrassé par Ahriman; "la tête humaine dénote l'homme physique, et les deux têtes de serpent le principe manichéen dual -- le dragon et le serpent étant tous deux des symboles de sagesse et de pouvoirs occultes" (TG 333). Pour garder les serpents calmes, il devait les nourrir avec des cerveaux humains. Chaque jour un certain nombre de personnes étaient tuées et leur cerveau était donné aux serpents. Kaveh, après avoir perdu 17 fils qui ont été tués pour satisfaire l'appétit des serpents, eut soif de justice et de vengeance, s'est rebellé contre Zahak et obtint le support du peuple. Au même moment, le prince Fereydoun, avec le support de Kaveh, chassa Zahak du trône. Zahak usurpe le trône du roi Jamshid (Yima) et après mille ans de règne est vaincu. Mais Zahak ne pouvait être tué; il fut attaché au Mont Damavand, où il restera attaché jusqu'à la fin du monde, moment auquel il serait délivré puis tué par Keresaspa.
Dans le Shahnamah de Ferdowsi, les personnages dans ce mythe deviennent des personnages historiques:"Il est donc évident que Zahak représente la dynastie assyrienne, dont le symbole était le purpureum signum draconis -- le signe pourpre du dragon. Depuis une époque très lointaine (Genèse 14) cette dynastie régnait sur l'Asie, l'Arménie, la Syrie, l'Arabie, Babylone, la Médie et la Perse. Elle a finalement été défaite par Cyrus II et Darius Ier le grand après '1000 ans' de règne.
Selon la shahnama de Ferdowsi il etait le fils d'un roi arabe ou semite babylonien.
http://en.wikipedia.org/wiki/Zahhak#....81k_in_Arabia
Zahhāk in Arabia
According to Ferdowsi, Zahhāk (Arabic transliteration: Ḍaḥḥāk or Ḍuḥḥāk) was born as the son of an Arab ruler named Merdās. Because of his Arab origins, he is sometimes called Zahhāk-e Tāzi, "the Arabian Zahhāk." He was handsome and clever, but had no stability of character and was easily influenced by evil counsellors. Ahriman therefore chose him as the tool for his plans for world domination.
When Zahhāk was a young man, Ahriman first appeared to him as a glib, flattering companion, and by degrees convinced him that he ought to kill his own father and take over his territories. He taught him to dig a deep pit covered over with leaves in a place where Merdās was accustomed to walk; Merdās fell in and was killed. Zahhāk thus became both patricide and king at the same time.
Ahriman now took another guise, and presented himself to Zahhāk as a marvellous cook. After he had presented Zahhāk with many days of sumptuous feasts, Zahhāk was willing to give Ahriman whatever he wanted. Ahriman merely asked to kiss Zahhāk on his two shoulders. Zahhāk permitted this; but when Ahriman had touched his lips to Zahhāk's shoulders, he immediately vanished. At once, two black snakes grew out of Zahhāk's shoulders. They could not be surgically removed, for as soon as one snake-head had been cut off, another took its place.
Ahriman now appeared to Zahhāk in the form of a skilled physician. He counselled Zahhāk that the only remedy was to let the snakes remain on his shoulders, and sate their hunger by supplying them with human brains for food every day otherwise the snakes will feed on his own.
From a psychological point of view the snakes on Zahhak's shoulders could represent his lust for killing or a form of sadism which if left unsatisfied torment Zahhak. Also when Zahhak is defeated by Fereydun, he cannot think of a better fitting punishment than to simply bound him in cave where the snakes (not being fed) will eat Zahhak's own brain symbolizing his inner agony and unsatisfied homicidal lust.
This story is Ferdowsi's way of reconciling the descriptions of Dahāg as a three-headed dragon monster and those stories which treat him as a human king. According to Ferdowsi, Zahhāk is originally human, but through the magic of Ahriman he becomes a monster; he does, in fact, have three heads, the two snake heads and one human head; and the snakes remind us of his original character as a dragon.
The characterization of Zahhāk as an Arab in part reflects the earlier association of Dahāg with the Semitic peoples of Iraq, but probably also reflects the continued resentment of many Iranians at the 7th century Arab conquest of Persia.
Unlike the figure of Zahhak in Iranian Mythology, the word 'zahhak'='dahhak' in Arabic means to laugh and to smile.
يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel
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