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Synopsis:
Sabrina recueillie dans un douar, découvre une population pauvre et asphyxiée par le terrorisme. Les hommes se font recruter en usine à la place de leurs femmes et confient à ces dernières leurs armes pour se défendre durant leur absence, tout en chargeant les vieux de veiller à leurs vertus. En prenant les armes, les femmes découvrent leur pouvoir et prennent conscience de leur statut. Le rapport de force est bouleversé et les tabous transgressés.
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Film / l’irréel du réel dans “Douar de femmes”
Chouikh dissèque par l’humour le terrorisme
Dans son objectif, Chouikh a choisi de raconter le terrorisme dans une fiction humoristique, pour apaiser le mal et la tristesse des Algériens qui ont vécus des moments atroces.
Bonnes intentions, bonnes idées, d’excellents comédiens, tout cela se retrouve dans "Douar de femmes"! C’est le film sur le terrorisme que Mohamed Chouikh a présenté jeudi dernier, en avant-première, pour annoncer sa sortie, à la salle El-Mouggar.
Il est vrai qu’il faudrait signaler que c’est la première fois dans l’histoire du septième art algérien, durant et après la décennie rouge du terrorisme islamiste que le combat de la femme est évoqué.
Dans son objectif, Chouikh a choisi de raconter le terrorisme dans une fiction humoristique pour apaiser le mal et la tristesse des Algériens qui ont vécus des moments atroces. Le style humoristique utilisé exagérément par le cinéaste rend l’œuvre moins crédible pourtant traitant de faits réels. Le public qui a assisté à la première projection, oublie à un moment qu’il s’agit d’une histoire tragique, et il se lâche à rire même dans des passages émouvants.
Chouikh aborde le terrorisme par une autre facette et il attribue un grand rôle à la femme pour dire qu’elle a participé, aussi bien que l’homme à combattre le terrorisme.
Ces femmes nous les retrouvons dans "Douar de femmes". Un petit village pauvre, condamné comme tout endroit du pays par la menace terroriste. Les hommes de ce " douar " sont appelés à travailler ailleurs, dans une usine, pour subvenir aux besoins de leurs familles. Ces derniers sont obligés de laisser leurs compagnes, après les avoir armées, afin de veiller sur leurs enfants et leurs demeures, en leur absence.
L’un des rôles qui a accroché, nombre des spectateurs, est celui de Lynda Sellam. Cette remarquable comédienne représentant le personnage d’une femme qui a perdu la raison après que les islamistes aient tué toute sa famille a su camper et dominer son personnage et a fait preuve d’un grand talent.
Mohamed Chouikh a attribué les rôles principaux à deux nouvelles figures du cinéma, Sofia Nouacer, “Sabrina”, une victime du terrorisme qui plane sur le village et Khaled Benaissa “Anis”, un commerçant algérois qui débarque au " douar ". Le réalisateur témoigne ici de l’amour qui nait entre ces deux jeunes gens.
Bahia Rachdi, Nawel Zaâtar, Saïd Hilmi, Salima Labidi comme d’autres, connus et moins connus ont participé à ce film.
(c) La Depeche de la Kabylie
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Voila un film que j'aimerai bien voir, dommage qu'il ne soit pas projeter ici. Je suis tres curieux de voir comment les femmes algeriennes arrive a se faire obier avec les armes en main.
Synopsis:
Sabrina recueillie dans un douar, découvre une population pauvre et asphyxiée par le terrorisme. Les hommes se font recruter en usine à la place de leurs femmes et confient à ces dernières leurs armes pour se défendre durant leur absence, tout en chargeant les vieux de veiller à leurs vertus. En prenant les armes, les femmes découvrent leur pouvoir et prennent conscience de leur statut. Le rapport de force est bouleversé et les tabous transgressés.
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Film / l’irréel du réel dans “Douar de femmes”
Chouikh dissèque par l’humour le terrorisme
Dans son objectif, Chouikh a choisi de raconter le terrorisme dans une fiction humoristique, pour apaiser le mal et la tristesse des Algériens qui ont vécus des moments atroces.
Bonnes intentions, bonnes idées, d’excellents comédiens, tout cela se retrouve dans "Douar de femmes"! C’est le film sur le terrorisme que Mohamed Chouikh a présenté jeudi dernier, en avant-première, pour annoncer sa sortie, à la salle El-Mouggar.
Il est vrai qu’il faudrait signaler que c’est la première fois dans l’histoire du septième art algérien, durant et après la décennie rouge du terrorisme islamiste que le combat de la femme est évoqué.
Dans son objectif, Chouikh a choisi de raconter le terrorisme dans une fiction humoristique pour apaiser le mal et la tristesse des Algériens qui ont vécus des moments atroces. Le style humoristique utilisé exagérément par le cinéaste rend l’œuvre moins crédible pourtant traitant de faits réels. Le public qui a assisté à la première projection, oublie à un moment qu’il s’agit d’une histoire tragique, et il se lâche à rire même dans des passages émouvants.
Chouikh aborde le terrorisme par une autre facette et il attribue un grand rôle à la femme pour dire qu’elle a participé, aussi bien que l’homme à combattre le terrorisme.
Ces femmes nous les retrouvons dans "Douar de femmes". Un petit village pauvre, condamné comme tout endroit du pays par la menace terroriste. Les hommes de ce " douar " sont appelés à travailler ailleurs, dans une usine, pour subvenir aux besoins de leurs familles. Ces derniers sont obligés de laisser leurs compagnes, après les avoir armées, afin de veiller sur leurs enfants et leurs demeures, en leur absence.
L’un des rôles qui a accroché, nombre des spectateurs, est celui de Lynda Sellam. Cette remarquable comédienne représentant le personnage d’une femme qui a perdu la raison après que les islamistes aient tué toute sa famille a su camper et dominer son personnage et a fait preuve d’un grand talent.
Mohamed Chouikh a attribué les rôles principaux à deux nouvelles figures du cinéma, Sofia Nouacer, “Sabrina”, une victime du terrorisme qui plane sur le village et Khaled Benaissa “Anis”, un commerçant algérois qui débarque au " douar ". Le réalisateur témoigne ici de l’amour qui nait entre ces deux jeunes gens.
Bahia Rachdi, Nawel Zaâtar, Saïd Hilmi, Salima Labidi comme d’autres, connus et moins connus ont participé à ce film.
(c) La Depeche de la Kabylie
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Voila un film que j'aimerai bien voir, dommage qu'il ne soit pas projeter ici. Je suis tres curieux de voir comment les femmes algeriennes arrive a se faire obier avec les armes en main.