Aujourd'hui, j'ai eu une soudaine envie de cinéma (il n'y avait rien d'intéressant à voir dans le rues de Rennes). Au ciné, une affiche m'a intéressé parce qu'il y avait le nom de l'une de mes actrices préférées là-dessus (Toni Collette, icône du cinéma indépendant). C'était un dessin animé en pâtes à modeler, et je n'avais vu ni la bande-annonce ni le synopsis, je me suis dit "On y va, for Toni's eyes only"
Toni Collette dans "Little Miss Sunshine"
Je vais alors vous faire mon propre résumé du film:
Max est un homme qui vit à New York (la ville de la grande dame à la main enflammée).C'est un ancien juif converti à l'athéisme, il vit seul avec son (ou plutôt ses) poisson(s) rouge(s), son chat borgne et son ami imaginaire qui ne quitte pas le coin de l'appartement où il lit des livres. Max est accro aux visites chez le psy, aux antidépresseurs durs, et aux réunions d'obèses anonymes (malgré la femme aguichante qu'il y rencontre souvent et qui l'embarrasse souvent "en l'embrassant sans sa permission").Malgré tout ça, il vit très bien dans son univers et tient à ce que personne ne l'en sorte.
Mary est une petite fille Australienne. Sa mère est alcoolique, et son père accro à un travail monotone qui le consume. Elle a une tache sur le front qui a la couleur du caca, ce qui fait que tout le monde se moque d'elle, sauf son grand-père peut-être.
Un jour, elle trouve un annuaire dans la poste avec des adresses et des numéros de téléphones d'Américains. "Ils doivent être bizarres ces Américains, au moins aussi bizarres que leur noms." Elle déchire une page et la prend avec elle pour entamer une correspondance avec un New-yorkais qui s'appelle .... Max. Elle commence avec une simple question "comment les enfants naissent-ils en Amérique ? Car en Australie on les trouve dans des chopes de bière, d'après grand-père."
C'est alors que commence entre ses deux âmes solitaires une longue correspondance où Mary apprend à affronter ses problèmes en s'inspirant de l'expérience de Max, et Max apprend à se remettre en question en se regardant avec les yeux d'une petite Australienne.
Je ne vous en dirai pas plus, c'est tout simplement un conte de fées moderne constitué d'une succession de tableaux magnifiques. A la fin du film, on n'a envie que d'une chose: croquer la vie jusqu'à la dernière miette.
Mary, la petite Australienne.
Note: 19/20 (A voir d'urgence.)
Toni Collette dans "Little Miss Sunshine"
Je vais alors vous faire mon propre résumé du film:
Max est un homme qui vit à New York (la ville de la grande dame à la main enflammée).C'est un ancien juif converti à l'athéisme, il vit seul avec son (ou plutôt ses) poisson(s) rouge(s), son chat borgne et son ami imaginaire qui ne quitte pas le coin de l'appartement où il lit des livres. Max est accro aux visites chez le psy, aux antidépresseurs durs, et aux réunions d'obèses anonymes (malgré la femme aguichante qu'il y rencontre souvent et qui l'embarrasse souvent "en l'embrassant sans sa permission").Malgré tout ça, il vit très bien dans son univers et tient à ce que personne ne l'en sorte.
Mary est une petite fille Australienne. Sa mère est alcoolique, et son père accro à un travail monotone qui le consume. Elle a une tache sur le front qui a la couleur du caca, ce qui fait que tout le monde se moque d'elle, sauf son grand-père peut-être.
Un jour, elle trouve un annuaire dans la poste avec des adresses et des numéros de téléphones d'Américains. "Ils doivent être bizarres ces Américains, au moins aussi bizarres que leur noms." Elle déchire une page et la prend avec elle pour entamer une correspondance avec un New-yorkais qui s'appelle .... Max. Elle commence avec une simple question "comment les enfants naissent-ils en Amérique ? Car en Australie on les trouve dans des chopes de bière, d'après grand-père."
C'est alors que commence entre ses deux âmes solitaires une longue correspondance où Mary apprend à affronter ses problèmes en s'inspirant de l'expérience de Max, et Max apprend à se remettre en question en se regardant avec les yeux d'une petite Australienne.
Je ne vous en dirai pas plus, c'est tout simplement un conte de fées moderne constitué d'une succession de tableaux magnifiques. A la fin du film, on n'a envie que d'une chose: croquer la vie jusqu'à la dernière miette.
Mary, la petite Australienne.
Note: 19/20 (A voir d'urgence.)
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