Le soleil se lèvera bien demain du grand cinéaste Said Bellili sera projeté,demain, au Palais de la culture Moufdi Zakaria d’Alger.
L’histoire de ce nouveau produit cinématographique relate les différentes étapes des événements de la guerre d’Algérie 1954-1962, vécues par des familles algériennes et particulièrement celle de Si Moh. Après, le décès de la mère à la suite d’une longue maladie, et après avoir donné naissance à Zahia qui sera élevée par sa tante, les enfants Mohamed, Yamina, Dehbia et Rachid, connaîtront la vie avec une belle-mère dénuée de tout amour.
Mohamed est le seul à lui tenir tête, Yamina lui fait bien sentir qu’elle ne pourra en aucun cas prendre la place de leur mère ce qui lui vaudra d’être donnée en mariage très jeune. Par contre, Dahbia est condamnée aux travaux ménagers et à la garde de ses demi-sœurs qui naîtront par la suite. Rachid, qui ne comprend pas exactement ce qui se passe, ne fait que suivre le cours des événements.
L’évolution de la guerre est suivie avec intérêt par les habitants du quartier, certains vont rejoindre le maquis laissant leurs familles aux représailles des soldats français, d’autre font partie du mouvement FLN sur place, ce qui multiplie les contrôles nocturnes dans les maisons et les brutalités de l’armée française. Yamina retourne à sa famille avec une petite fille. La belle-mère pour qui ce retour est source de nouveaux problèmes fait tout pour que le père se retourne contre sa fille et la battre
La mobilisation de Mohamed pour le service militaire jette Yamina dans le désespoir, la malheureuse sera victime d’accusations qui feront augmenter la colère de son père, mais l’arrestation de certains voisins par les autorités française consolide la solidarité du quartier.
Par la suite, la désertion de l’armée par Mohamed pour rejoindre le maquis est accueillie avec fierté par Yamina et son père puis c’est le cessez-le-feu et une lueur d’espoir jaillit dans les foyers.
A l’indépendance, les rayons de soleil pénètrent les cœurs et éclaireront de toute leur splendeur les âmes, les quartiers et toute l’Algérie.
Le public du 7e art découvrira les détails de ce feuilleton, la souffrance de la famille de Si Moh, et, celle de tout le peuple et ce pour que l’Algérie vive libre et indépendante.
Par La Dépêche de Kabylie
L’histoire de ce nouveau produit cinématographique relate les différentes étapes des événements de la guerre d’Algérie 1954-1962, vécues par des familles algériennes et particulièrement celle de Si Moh. Après, le décès de la mère à la suite d’une longue maladie, et après avoir donné naissance à Zahia qui sera élevée par sa tante, les enfants Mohamed, Yamina, Dehbia et Rachid, connaîtront la vie avec une belle-mère dénuée de tout amour.
Mohamed est le seul à lui tenir tête, Yamina lui fait bien sentir qu’elle ne pourra en aucun cas prendre la place de leur mère ce qui lui vaudra d’être donnée en mariage très jeune. Par contre, Dahbia est condamnée aux travaux ménagers et à la garde de ses demi-sœurs qui naîtront par la suite. Rachid, qui ne comprend pas exactement ce qui se passe, ne fait que suivre le cours des événements.
L’évolution de la guerre est suivie avec intérêt par les habitants du quartier, certains vont rejoindre le maquis laissant leurs familles aux représailles des soldats français, d’autre font partie du mouvement FLN sur place, ce qui multiplie les contrôles nocturnes dans les maisons et les brutalités de l’armée française. Yamina retourne à sa famille avec une petite fille. La belle-mère pour qui ce retour est source de nouveaux problèmes fait tout pour que le père se retourne contre sa fille et la battre
La mobilisation de Mohamed pour le service militaire jette Yamina dans le désespoir, la malheureuse sera victime d’accusations qui feront augmenter la colère de son père, mais l’arrestation de certains voisins par les autorités française consolide la solidarité du quartier.
Par la suite, la désertion de l’armée par Mohamed pour rejoindre le maquis est accueillie avec fierté par Yamina et son père puis c’est le cessez-le-feu et une lueur d’espoir jaillit dans les foyers.
A l’indépendance, les rayons de soleil pénètrent les cœurs et éclaireront de toute leur splendeur les âmes, les quartiers et toute l’Algérie.
Le public du 7e art découvrira les détails de ce feuilleton, la souffrance de la famille de Si Moh, et, celle de tout le peuple et ce pour que l’Algérie vive libre et indépendante.
Par La Dépêche de Kabylie