La soirée en hommage au "Kablouti "était animée par plusieurs artistes et écrivains. De Danielle Maoudj, enseignante à l’université de Corse et poétesse à Amhis Ldjouher, poétesse et universitaire, en passant par Hadjira Oubachir et Mohamed Smaïl Abdoun, universitaire..., les présents ont rendu un sublime hommage à Kateb Yacine, dont M. Abdoun résumait la grandeur de l’œuvre à une puissante magie littéraire. Malgré le froid "ankylosant" qui s’abattait sur la ville de Mekerra, l’assistance a été réchauffée par la splendeur des poèmes et textes dédiés à Kateb Yacine.
Ahmed Ben Aïssa, homme de théâtre, a de son côté, fredonné un poème de Mohamed Dib, autre icône de la littérature algérienne, intitulé Espoir, en hommage à Kateb Yacine, avant qu’un membre de la troupe de Sidi Bel Abbes ne rappelle la grandeur des écrits théâtraux de Kateb, notamment dans sa pièce "Palestine trahie".
Le moment était aussi une occasion pour les nombreuses familles de redécouvrir Kateb Yacine, dans ses différentes facettes.
Entre l’homme de culture, de littérature et le révolté, la personnalité à la fois complexe et humaine de Kateb a été passée au peigne fin par les animateurs. "J’ai reçu un étudiant japonais qui préparait une thèse sur Kateb Yacine", dira Smaïl Abdoun et d’ajouter que "Nedjma avait une portée plus grande que le discours nationaliste de l’époque". A travers son œuvre majeure qui est Nedjma, Kateb Yacine présentait des images riches, variées et consistantes d’une vie algérienne. Entre la mère patrie qu’est Nadjma à la femme aimée en passant par l’Histoire millénaire de Nedjma la Berbère, l’œuvre de Kateb reste le produit littéraire le plus riche de toute l’Algérie.
En lisant quelques passages de l’œuvre de Kateb, le public a eu à ressentir la richesse des tableaux littéraires présentés par celui-ci dans son œuvre.
L’hommage du Festival du film amazigh de Sidi Bel Abbes à Kateb Yacine était une halte pour redire que son œuvre demeurera pour toujours malgré l’omerta qui frappe son auteur.
La soirée d’hommage à Kateb Yacine, intitulée, "Clin d’œil à Kateb Yacine", le poète Lounis Ait Menguellet a été honoré par un florilège poétique en son honneur. Même étant absent, les poèmes lus en son honneur par Hadjira Oubachir, Slimane Belharrat et certaines traductions de ses poèmes en langue arabe ont émerveillé les présents.
Par La dépêche de kabylie
Ahmed Ben Aïssa, homme de théâtre, a de son côté, fredonné un poème de Mohamed Dib, autre icône de la littérature algérienne, intitulé Espoir, en hommage à Kateb Yacine, avant qu’un membre de la troupe de Sidi Bel Abbes ne rappelle la grandeur des écrits théâtraux de Kateb, notamment dans sa pièce "Palestine trahie".
Le moment était aussi une occasion pour les nombreuses familles de redécouvrir Kateb Yacine, dans ses différentes facettes.
Entre l’homme de culture, de littérature et le révolté, la personnalité à la fois complexe et humaine de Kateb a été passée au peigne fin par les animateurs. "J’ai reçu un étudiant japonais qui préparait une thèse sur Kateb Yacine", dira Smaïl Abdoun et d’ajouter que "Nedjma avait une portée plus grande que le discours nationaliste de l’époque". A travers son œuvre majeure qui est Nedjma, Kateb Yacine présentait des images riches, variées et consistantes d’une vie algérienne. Entre la mère patrie qu’est Nadjma à la femme aimée en passant par l’Histoire millénaire de Nedjma la Berbère, l’œuvre de Kateb reste le produit littéraire le plus riche de toute l’Algérie.
En lisant quelques passages de l’œuvre de Kateb, le public a eu à ressentir la richesse des tableaux littéraires présentés par celui-ci dans son œuvre.
L’hommage du Festival du film amazigh de Sidi Bel Abbes à Kateb Yacine était une halte pour redire que son œuvre demeurera pour toujours malgré l’omerta qui frappe son auteur.
La soirée d’hommage à Kateb Yacine, intitulée, "Clin d’œil à Kateb Yacine", le poète Lounis Ait Menguellet a été honoré par un florilège poétique en son honneur. Même étant absent, les poèmes lus en son honneur par Hadjira Oubachir, Slimane Belharrat et certaines traductions de ses poèmes en langue arabe ont émerveillé les présents.
Par La dépêche de kabylie
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