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Les réalisateurs algériens Yahia Mouhazim et Mohamed Lakhdar Tati partent favoris dans la compétition de la troisième édition du Festival du court-métrage méditerranéen de Tanger où participeront près d’une vingtaine de pays.
Cette année, c’est la deuxième participation de Yahia Mouhazim avec un court-métrage de 14 minutes intitulé 100% vache.
Réalisé en 2005, le court-métrage met en exergue les conditions de travail des éleveurs et paysans algériens. Ainsi, le réalisateur raconte les mésaventures d’un éleveur dont la voiture tombe en panne, alors qu’il transporte du lait de vache vers la ville. Le paysan est alors contraint de pousser la voiture jusqu’au garage d’un mécanicien qui refuse de la réparer immédiatement et oblige le paysan à laisser ses bidons dans la camionnette.
Le second film algérien en compétition est l’Aveux, réalisé par Mohamed Lakhdar Tati. Réalisé en 2004, le court-métrage raconte l’histoire d’un couple dans une chambre d’hôtel par une journée pluvieuse.
Pour rappel, lors du deuxième Festival du court-métrage de Tanger, le film algérien De l’autre côté, du réalisateur Nassim Amaouche, avait été primé et reçu le prix de la meilleure première œuvre.
Le film est un court métrage de 28 minutes qui met en scène les conflits de générations au sein d’une famille d’émigrés algériens, dont le plus âgé des trois fils est marié à une française.
A la clôture de la compétition, cinq prix seront décernés. En l’occurrence, le grand prix du festival, le prix spécial du jury, le prix de la première œuvre, le prix de l’interprétation féminine et le prix de l’interprétation masculine.
Le jury, présidé par le réalisateur suisse Jean-François Amiguet, devrait faire son choix parmi plus d’une vingtaine de films sélectionnés. Des réalisateurs de pays du pourtour méditerranéen participent, par ailleurs, à ce Festival du court-métrage de Tanger qui proposera des sélections de films libanais, palestinien, jordanien et syrien.
Parmi les favoris de cette compétition officielle, il y a les films Chemise blanche, cravate noire, Casting pour un mariage et Doud el khal.
Chemise blanche, cravate noire, du Marocain Yassine Fennane, raconte en 5 minutes l’histoire de Issam qui achète une cravate dans une boutique à Casablanca. Il reçoit un coup de fil de sa nouvelle conquête Nora. Il lui donne rendez-vous et promet de lui ramener un cadeau. Nora refuse le cadeau de Issam, estimant que leur relation vient à peine de commencer. La tension monte. Issam finit par étrangler Nora avec la cravate.
Casting pour un mariage, du réalisateur tunisien Farès Naanaa, aborde la thématique du choix de l’âme sœur. En effet, Samy, 28 ans, est en âge de se marier. Sa mère souhaite le voir se caser. Pour lui faire plaisir, il décide de faire un casting auprès de ses connaissances pour bien choisir sa douce moitié.
Doud el khal, du Libanais Youssef-Jo Bouzid soulève la problématique des soucis et des déséquilibres humains que cause sans cesse le déséquilibre social, économique et politique. Ces problèmes surgissent inconsciemment dans nos rêves. Ainsi, raconter son rêve, c’est raconter indirectement son histoire.
Source La Tribune
AVEUX
de Mohamed LAKHDAR
ALGERIE - 2004 - 15mn
Le désire est créateur... de jeu, d'espace, de ratage, de sons et de mois. un homme, une femme et une chambre d'hôtel se donnent le temps d'un costume, d'une pluie.
100% VACHES
de Yahia MOUZAHIM
ALGERIE - 2005 - 14mn
En transportant du lait de vache vers la ville, la voiture du paysan tombe en panne, il est obligé de la poussée jusqu'au garage du mécanicien, ce dernier refuse de la réparer immédiatement et oblige le fellah a laissé la majorité de ses bidons dans la camionnette ...
La liste des Films en compétition
Cette année, c’est la deuxième participation de Yahia Mouhazim avec un court-métrage de 14 minutes intitulé 100% vache.
Réalisé en 2005, le court-métrage met en exergue les conditions de travail des éleveurs et paysans algériens. Ainsi, le réalisateur raconte les mésaventures d’un éleveur dont la voiture tombe en panne, alors qu’il transporte du lait de vache vers la ville. Le paysan est alors contraint de pousser la voiture jusqu’au garage d’un mécanicien qui refuse de la réparer immédiatement et oblige le paysan à laisser ses bidons dans la camionnette.
Le second film algérien en compétition est l’Aveux, réalisé par Mohamed Lakhdar Tati. Réalisé en 2004, le court-métrage raconte l’histoire d’un couple dans une chambre d’hôtel par une journée pluvieuse.
Pour rappel, lors du deuxième Festival du court-métrage de Tanger, le film algérien De l’autre côté, du réalisateur Nassim Amaouche, avait été primé et reçu le prix de la meilleure première œuvre.
Le film est un court métrage de 28 minutes qui met en scène les conflits de générations au sein d’une famille d’émigrés algériens, dont le plus âgé des trois fils est marié à une française.
A la clôture de la compétition, cinq prix seront décernés. En l’occurrence, le grand prix du festival, le prix spécial du jury, le prix de la première œuvre, le prix de l’interprétation féminine et le prix de l’interprétation masculine.
Le jury, présidé par le réalisateur suisse Jean-François Amiguet, devrait faire son choix parmi plus d’une vingtaine de films sélectionnés. Des réalisateurs de pays du pourtour méditerranéen participent, par ailleurs, à ce Festival du court-métrage de Tanger qui proposera des sélections de films libanais, palestinien, jordanien et syrien.
Parmi les favoris de cette compétition officielle, il y a les films Chemise blanche, cravate noire, Casting pour un mariage et Doud el khal.
Chemise blanche, cravate noire, du Marocain Yassine Fennane, raconte en 5 minutes l’histoire de Issam qui achète une cravate dans une boutique à Casablanca. Il reçoit un coup de fil de sa nouvelle conquête Nora. Il lui donne rendez-vous et promet de lui ramener un cadeau. Nora refuse le cadeau de Issam, estimant que leur relation vient à peine de commencer. La tension monte. Issam finit par étrangler Nora avec la cravate.
Casting pour un mariage, du réalisateur tunisien Farès Naanaa, aborde la thématique du choix de l’âme sœur. En effet, Samy, 28 ans, est en âge de se marier. Sa mère souhaite le voir se caser. Pour lui faire plaisir, il décide de faire un casting auprès de ses connaissances pour bien choisir sa douce moitié.
Doud el khal, du Libanais Youssef-Jo Bouzid soulève la problématique des soucis et des déséquilibres humains que cause sans cesse le déséquilibre social, économique et politique. Ces problèmes surgissent inconsciemment dans nos rêves. Ainsi, raconter son rêve, c’est raconter indirectement son histoire.
Source La Tribune
AVEUX
de Mohamed LAKHDAR
ALGERIE - 2004 - 15mn
Le désire est créateur... de jeu, d'espace, de ratage, de sons et de mois. un homme, une femme et une chambre d'hôtel se donnent le temps d'un costume, d'une pluie.
100% VACHES
de Yahia MOUZAHIM
ALGERIE - 2005 - 14mn
En transportant du lait de vache vers la ville, la voiture du paysan tombe en panne, il est obligé de la poussée jusqu'au garage du mécanicien, ce dernier refuse de la réparer immédiatement et oblige le fellah a laissé la majorité de ses bidons dans la camionnette ...
La liste des Films en compétition