Le risque d'un célibataire de vivre un épisode dépressif est entre 1,5 et 2,4 fois plus élevé que pour une personne mariée.
Pour une personne vivant en couple, le risque est de 1,2 à 1,8 fois plus important que pour une personne mariée. "La circonstance la plus dommageable est celle où le couple a été rompu", indique l'étude.
Pour les hommes, c'est le veuvage qui est le plus fréquemment associé à des épisodes dépressifs, alors que pour la femme, c'est la séparation ou le divorce.
Les trois enquêtes montrent par ailleurs que le fait d'occuper un emploi est un facteur protecteur.
Les chômeurs et les inactifs "constituent la population la plus exposée". Les chômeurs sont ainsi de 1,4 à 2,1 fois plus exposés que les actifs occupés. Le lien entre inactivité et troubles dépressifs est davantage marqué pour les hommes. L'étude note également que le risque "diminue avec le niveau de diplôme". Il est moindre pour les cadres, les professions intellectuelles supérieures et les professions intermédiaires. A l'opposé, employés et ouvriers sont ceux qui souffrent le plus souvent d'épisodes dépressifs.
AFP
Pour une personne vivant en couple, le risque est de 1,2 à 1,8 fois plus important que pour une personne mariée. "La circonstance la plus dommageable est celle où le couple a été rompu", indique l'étude.
Pour les hommes, c'est le veuvage qui est le plus fréquemment associé à des épisodes dépressifs, alors que pour la femme, c'est la séparation ou le divorce.
Les trois enquêtes montrent par ailleurs que le fait d'occuper un emploi est un facteur protecteur.
Les chômeurs et les inactifs "constituent la population la plus exposée". Les chômeurs sont ainsi de 1,4 à 2,1 fois plus exposés que les actifs occupés. Le lien entre inactivité et troubles dépressifs est davantage marqué pour les hommes. L'étude note également que le risque "diminue avec le niveau de diplôme". Il est moindre pour les cadres, les professions intellectuelles supérieures et les professions intermédiaires. A l'opposé, employés et ouvriers sont ceux qui souffrent le plus souvent d'épisodes dépressifs.
AFP
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