La religion, la foi... c’est décidément bon pour la santé.
En mai dernier, une étude américaine de LJS. Démontrant que les personnes fréquentant un lieu de culte ont une pression artérielle significativement plus basse que les autres. ...Aujourd’hui, une étude publiée dans les Annals of Behavioral Medicine suggère qu’elles auraient aussi une meilleure capacité pulmonaire.
L’homme vit-il de la foi ? a-t-il besoin de la religion ? Moi, je dis oui…. Et même sans se baser sur une quelconque étude.
Le sens religieux chez l’homme est une donnée originelle de sa nature, c’est un facteur essentiel dans sa vie... Maleb BebNabi en parle dans "le phénomène Coranique". En fait, il fait une comparaison entre deux systèmes philosophiques : celui qui considère que la religion pour l’homme, est un facteur tres essentiel pour toute civilisation humaine et celui qui considère que la religion est un simple accident historique de la culture Humaine.
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Avec l’âge, les croyants gardent le souffle
2 fois moins de déclin pulmonaire quand on fréquente un lieu de culte
Le déclin de la capacité pulmonaire fait partie des signes du vieillissement. Il reflète également l’état de santé général d’une personne.
Le Dr Joanna Maselko, de l’université Temple de Philadelphia (Etats-Unis) a suivi, durant 4 ans et demi, 1 174 hommes et femmes âgés de 70 ans en moyenne, autonomes et en bonne forme physique. 65% des femmes et 51% des hommes ont déclaré au début de l’étude fréquenter un lieu de culte au moins une fois par semaine. La chercheuse a évalué à différentes reprises la capacité pulmonaire des volontaires en mesurant, grâce à un spiromètre, la vitesse et la quantité d’air que ceux-ci pouvaient expirer après une inspiration profonde.
Résultats : après 4 ans et demi, les volontaires ne fréquentant ni église, ni mosquée, ni synagogue, présentent un déclin de leur capacité pulmonaire deux fois plus important que ceux qui en fréquentent un. L’étude met également en évidence ceux qui sont religieux sont physiquement plus actifs et moins fumeurs que les autres, sans pour autant que ces deux aspects suffisent seuls à expliquer leurs meilleures performances pulmonaires.
Pour Joanna Maselko, la fréquentation d’une communauté religieuse représente un soutien. « Aux Etats-Unis, l’isolement social des personnes âgées est un énorme problème, explique la chercheuse. Et la solitude est associée à toute une série de problèmes de santé mentale et physique.[…] La religion apporte des éléments de réflexion qui permettent de cheminer spirituellement et de mieux accepter l’idée de fin de vie. En plus, le fait de méditer, de prier et de chanter semblent avoir des bénéfices en eux-même ».
Alors, faut-il avoir la foi pour vivre plus longtemps ? « C’est encore trop tôt pour faire des recommandations et pour dire ‘vous devriez faire ceci et ne pas faire cela’, explique Joanna Malko. Tout ce que nous pouvons conclure, c’est qu’il y a ici quelques chose… ».
- e-Santé
En mai dernier, une étude américaine de LJS. Démontrant que les personnes fréquentant un lieu de culte ont une pression artérielle significativement plus basse que les autres. ...Aujourd’hui, une étude publiée dans les Annals of Behavioral Medicine suggère qu’elles auraient aussi une meilleure capacité pulmonaire.
L’homme vit-il de la foi ? a-t-il besoin de la religion ? Moi, je dis oui…. Et même sans se baser sur une quelconque étude.
Le sens religieux chez l’homme est une donnée originelle de sa nature, c’est un facteur essentiel dans sa vie... Maleb BebNabi en parle dans "le phénomène Coranique". En fait, il fait une comparaison entre deux systèmes philosophiques : celui qui considère que la religion pour l’homme, est un facteur tres essentiel pour toute civilisation humaine et celui qui considère que la religion est un simple accident historique de la culture Humaine.
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Avec l’âge, les croyants gardent le souffle
2 fois moins de déclin pulmonaire quand on fréquente un lieu de culte
Le déclin de la capacité pulmonaire fait partie des signes du vieillissement. Il reflète également l’état de santé général d’une personne.
Le Dr Joanna Maselko, de l’université Temple de Philadelphia (Etats-Unis) a suivi, durant 4 ans et demi, 1 174 hommes et femmes âgés de 70 ans en moyenne, autonomes et en bonne forme physique. 65% des femmes et 51% des hommes ont déclaré au début de l’étude fréquenter un lieu de culte au moins une fois par semaine. La chercheuse a évalué à différentes reprises la capacité pulmonaire des volontaires en mesurant, grâce à un spiromètre, la vitesse et la quantité d’air que ceux-ci pouvaient expirer après une inspiration profonde.
Résultats : après 4 ans et demi, les volontaires ne fréquentant ni église, ni mosquée, ni synagogue, présentent un déclin de leur capacité pulmonaire deux fois plus important que ceux qui en fréquentent un. L’étude met également en évidence ceux qui sont religieux sont physiquement plus actifs et moins fumeurs que les autres, sans pour autant que ces deux aspects suffisent seuls à expliquer leurs meilleures performances pulmonaires.
Pour Joanna Maselko, la fréquentation d’une communauté religieuse représente un soutien. « Aux Etats-Unis, l’isolement social des personnes âgées est un énorme problème, explique la chercheuse. Et la solitude est associée à toute une série de problèmes de santé mentale et physique.[…] La religion apporte des éléments de réflexion qui permettent de cheminer spirituellement et de mieux accepter l’idée de fin de vie. En plus, le fait de méditer, de prier et de chanter semblent avoir des bénéfices en eux-même ».
Alors, faut-il avoir la foi pour vivre plus longtemps ? « C’est encore trop tôt pour faire des recommandations et pour dire ‘vous devriez faire ceci et ne pas faire cela’, explique Joanna Malko. Tout ce que nous pouvons conclure, c’est qu’il y a ici quelques chose… ».
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