Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Mode et tradition Algérienne
Réduire
X
-
bonsoir
Tam les deux derniéres photos que tu as posté c'est du traditionnel marocain c'est des caftans
pour les deux premiere j'aime bien le celle au bustier rouge mais trop denudé a mon gout
Personnelement pour un traditionnel je le préfere a l'ancienne ..... plus MestourQui veut noyer son chien l'accuse de la rage
Commentaire
-
je trouve dommage qu'il n'existe pas un bon livre sur nos habits traditionnels.
Le costume traditionnel algérien de Pascale Pichault
Mêlant des références à des ouvrages contemporains et des comptes rendus d'observations, une description des habitudes et changements des tenues féminines et masculines, adultes et enfantines, accompagnée de reproductions de peintures, d'aquarelles ou de dessins descriptifs.
Au cours de dix années passées en Algérie, l'auteur a visité, compris, aimé ce lumineux pays. Dès son arrivée, sur les hauteurs d'El Biard, où il a vécu quelque temps, son regard se portait souvent au lointain. Il voyait passer sous les feuillages des silhouettes blanches aux allures bibliques. Ces h'âïk et ces burnous leur donnaient un port superbe. Inconsciemment il commença à s'intéresser à leurs costumes. Ainsi, à des recherches sérieuses s'ajoutèrent les indispensables et nombreuses visites des différentes régions.
Accueilli dans les familles les plus chaleureuses qui soient, l'auteur garde de ces rencontres un souvenir merveilleux, et souhaite que l'occasion s'offre à tous ceux qui lui ont ouvert leur porte et leur cœur de feuilleter ce livre, afin qu'ils ressentent le souvenir affectueux et merveilleux qu'il a gardé d'eux, comme on garde celui d'un parent proche que le temps a éloigné.
Le burnous et la djellaba, habit citadin et rural, sont d'un usage constant chez les Algériens, même pour ceux qui se vêtent à l'occidentale. Le t'arboûch, le chèche, et la chéchia couvrent encore, parfois, leurs têtes. Dans le Hoggar, les hommes et les femmes, n'ont presque rien changé de leur garde-robe. Ailleurs, si les femmes ont perdu leur robes anciennes et leur lingerie d'autrefois : les blouza, gandoûra, sarouel et h'aïk revêtent souvent citadines et rurales. Mais dans les cérémonies particulières, toutes les femmes rivalisent de bijoux et de broderies sur leurs somptueux caftans et caracos qui recouvrent les robes ou les sarouel les plus élégants.
Aujourd'hui, les maisons de couture algériennes s'efforcent de conserver ou de faire revivre les modèles anciens en y apportant une touche de modernité. En définitive, c'est à partir du moment où le costume, ou tout autre création propre au génie d'un pays, reflète la personnalité de ce pays qu'il est considéré comme authentiquement national. Par cela même, il peut alors recevoir des influences et établir les siennes. C'est-à-dire s'insérer dans le patrimoine universel.
Commentaire
-
mais c'est les tenues qui figurent sur c' photos , et si tu aimes ces tenues sur ces photos , ça veut dire que les photos sont pas nulles
Je côtoie d'excellents photographes, je suis habituée a voir mieux.kikoz un jour, koz toujours.
Commentaire
Commentaire