Des sources médiatiques marocaines ont indiqué que les services de sécurité marocains ont suspendu et traduit en justice le week-end dernier le commandant de la gendarmerie royale d’Oujda, au grade de colonel, pour son implication dans une affaire de trafic de kif traité.
Une grande quantité de haschisch ainsi qu’une somme de 135 milliards de dirhams marocains qui proviendrait de la contrebande de stupéfiants, ont été retrouvées au domicile du colonel. Les services de sécurité ont aussi arrêté huit autres responsables sécuritaires impliqués dans le même réseau de trafic de stupéfiants et de blanchiment d’argent.
Si certains milieux marocains intègrent cette affaire dans le cadre de la campagne menée par les services de sécurité marocains contre les trafiquants de drogue, des observateurs considèrent que cela reflète le peu de dispositifs mis en place par les autorités marocaines pour lutter contre ce fléau.
"L’éviction" du commandant de la gendarmerie royale d’Oujda pourrait également résulter du renforcement sécuritaire le long des frontières algériennes qui a amené les trafiquants à stocker leur marchandise étant incapables de l’acheminer vers l’Algérie.
Les premiers éléments de l’enquête ont révélé que le colonel mis en cause menait un réseau de contrebande de kif à destination de l’Algérie, en collaboration avec d’autres réseaux spécialisés dans ce domaine au niveau régional. Son poste facilitait par ailleurs son activité criminelle.
Une grande quantité de haschisch ainsi qu’une somme de 135 milliards de dirhams marocains qui proviendrait de la contrebande de stupéfiants, ont été retrouvées au domicile du colonel. Les services de sécurité ont aussi arrêté huit autres responsables sécuritaires impliqués dans le même réseau de trafic de stupéfiants et de blanchiment d’argent.
Si certains milieux marocains intègrent cette affaire dans le cadre de la campagne menée par les services de sécurité marocains contre les trafiquants de drogue, des observateurs considèrent que cela reflète le peu de dispositifs mis en place par les autorités marocaines pour lutter contre ce fléau.
"L’éviction" du commandant de la gendarmerie royale d’Oujda pourrait également résulter du renforcement sécuritaire le long des frontières algériennes qui a amené les trafiquants à stocker leur marchandise étant incapables de l’acheminer vers l’Algérie.
Les premiers éléments de l’enquête ont révélé que le colonel mis en cause menait un réseau de contrebande de kif à destination de l’Algérie, en collaboration avec d’autres réseaux spécialisés dans ce domaine au niveau régional. Son poste facilitait par ailleurs son activité criminelle.
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