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Coopération militaire Algérie – USA : « Le ciel est la limite »

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    Coopération militaire Algérie – USA : « Le ciel est la limite »
    Politique Par: Riyad Hamadi 09 Mars 2025 à 15:32

    Par Leo Altman | Adobe StockAlgérie - USA


    Deux jours après l’entrée en fonction du président américain Donald Trump, l’Algérie et les États-Unis ont signé, le 22 janvier dernier, un protocole d’accord dans le domaine militaire à l’occasion de la visite en Algérie du commandant en chef des forces américaines en Afrique (Africom), le général d’armée Michael Langley.





    Alors que des groupes de travail s’attellent à concevoir des plans pour la mise en œuvre à court terme de l’accord, l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Sabri Boukadoum, s’est confié à des journalistes américains sur les perspectives et les priorités de la coopération militaire entre les deux pays et l’attitude de l’Algérie vis-à-vis de la nouvelle administration américaine, sachant que l’accord a été négocié sous l’ancienne administration.



    Ancien Premier ministre par intérim (fin 2019) et ex-chef de la diplomatie algérienne (2019-2021), Sabri Boukadoum est depuis octobre 2023, ambassadeur d’Algérie à Washington.

    Lors d’une discussion avec deux journalistes américains, dont un du site spécialisé Defense Scoop, Boukadoum a apporté un éclairage sur la prochaine session de coordination entre les deux pays et évoqué les objectifs de l’Algérie à travers le renforcement des liens sécuritaires et économiques avec les États-Unis pendant le second mandat du président Donald Trump, ainsi que les opportunités de coopération entre les deux parties en matière de technologies de défense.

    "Nous avons un dialogue militaire qui dure depuis des années maintenant. Le protocole d’accord Algérie-États-Unis a simplement mis en place un cadre juridique pour notre coopération et il ouvre la porte à tant d’autres choses à l’avenir", a déclaré l’ambassadeur d’Algérie, cité par Defense Scoop.

    Selon le diplomate, les échanges de renseignements maritimes et les nouvelles ventes militaires sont les premiers domaines d’intérêt que les représentants des deux pays devraient poursuivre ensemble. Il y a aussi les opérations de recherche et de sauvetage et les efforts de lutte contre le terrorisme dans et autour du Sahel, a-t-il ajouté.

    Le protocole d’accord signé le 22 janvier avait fait l’objet de plusieurs années de négociations. Il reflète l’engagement officiel des deux pays à promouvoir une coopération bilatérale plus étroite entre leurs armées respectives, écrit Defense Scoop.
    Sabri Boukadoum à propos de la coopération militaire entre l’Algérie et les États-Unis : « Le ciel est la limite »


    L’ambassadeur Boukadoum n’a pas dévoilé les mises à jour concernant les éventuelles ventes militaires, mais il a confirmé que les représentants des États-Unis et de l’Algérie formaient trois nouveaux groupes de travail pour établir le plan de mise en œuvre du protocole d’accord et définir leurs prochaines étapes.
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

  • #2
    je ne comprend vraiment rien à cette coopération militaire étant donné que nous avons un armement Russe
    Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
    (Paul Eluard)

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    • #3
      Une coopération militaire active qui reste bien secrète.

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      • #4
        Deux jours après l’entrée en fonction du président américain Donald Trump, l’Algérie et les États-Unis ont signé, le 22 janvier dernier, un protocole d’accord dans le domaine militaire à l’occasion de la visite en Algérie du commandant en chef des forces américaines en Afrique (Africom), le général d’armée Michael Langley.
        Deux jours après l’entrée en fonction de Trump, l’Algérie signe l'accord alors qu'elle traînait des pieds pour signer cet accord lors du mandat de Biden. C'est ce qu'on appelle, l'effet Trump.



        Alors que l'armée algérienne « a légèrement participé ou observé des exercices et assisté à des conférences » en marge au cours des deux dernières années, de l'avis du responsable américain de la défense, le nouveau protocole d'accord signale qu'Alger « ouvre désormais la porte grande ouverte à davantage d'engagement et de coopération » avec l'Africom.

        Selon le responsable, l'accord « était en préparation depuis un certain temps, mais la lenteur des processus et le manque de volonté de le voir se concrétiser du côté algérien l'ont retardé ».

        Cependant, « c’est en novembre que tout s’est accéléré », ont-ils noté, soit à peu près au même moment où Donald Trump a remporté l’élection présidentielle américaine.

        « Certains appellent cela l'effet Trump sur la politique étrangère. Jusqu'à très récemment, les Algériens nous tenaient à distance. Aujourd'hui, c'est complètement différent », a déclaré le responsable à DefenseScoop.


        Brandi Vincent

        defensescoop (traduit de l'anglais)

        « Certains appellent cela l'effet Trump sur la politique étrangère. Jusqu'à très récemment, les Algériens nous tenaient à distance. Aujourd'hui, c'est complètement différent »,

        C'est différent parce que le régime d'Alger a tout simplement une peur bleue de Trump comme il a unepeur bleue des Etats du Golfe.

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        • #5
          Hakim bedaoui, tu en as pas marre de toujours vouloir minorer les actions et résultats diplomatique de l'Algérie ?

          Lyom elqiama que vous nous aviez promis avec Rubio et Trump n'est pas encore la.
          Qué passa ?

          Soit disant Rubio vous l'aviez dans la poche ?
          J'aime surfer sur la vague du chaos.

          Commentaire


          • #6
            Les États-Unis choisissent le meilleur que vont t'ils faire du maroc donc sont seul secret militaire est la corruption en sont sein détournements vol et langues bien pendu.

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            • #7
              Lyom elqiama que vous nous aviez promis avec Rubio et Trump n'est pas encore la.
              Qué passa ?
              Yawm elqiama n'a pas eu lieu parce que le régime algérien, depuis que Trump a gagné les élections, n'a cessé de faire les yeux doux aux américains, à commencer par Tebboune en personne. Il s'est empressé de signer des accords qu'ils rechignaient à signer lors du mandat de Biden.


              En juin 2023, Tebboune léchait les pompes de Poutine et le proclamait, à la surprise même de Poutine: l'ami de l'humanité. Et en fin de compte, il n'a rien obtenu.

              Vingt mois plus tard, il lèche les pompes de Trump.


              Soit disant Rubio vous l'aviez dans la poche ?
              C'est toute l'administration américaine que nous avons dans la poche, à commencer par Trump lui-même . Le Maroc a toujours été l'allié des Etats-Unis et ce, depuis le débarquement des troupes US à Casablanca le 8 novembre 1942.

              Inutile de répéter que le Maroc a été le 1er pays à reconnaître l'indépendance des Etats-Unis (de la bouche même des présidents US, y compris Trump).

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              • #8
                C'est toute l'administration américaine que nous avons dans la poche, à commencer par Trump lui-même
                Bla hach'ma 10 fi 3qal vraiment.

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                • #9
                  Sérieux Hakim ça te fait si mal que ça d'admettre que toi et tes acolytes vous vous êtes trompé ?

                  C'est bon ma3lich
                  J'aime surfer sur la vague du chaos.

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                  • #10
                    A ce rythme, Tebboune va être le prochain signataire des accord d'Abraham
                    "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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