Quand il s’est présenté, le 28 novembre dernier, devant le contrôle de police de l’aéroport d’Alger, l’ex-chef du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrazak Makri, ne se doutait pas un instant qu’il était interdit de sortie du territoire national puisqu’il n’était, confie-t-il, sous le coup d’aucune poursuite judiciaire. Surpris, il demande à l’agent de police le motif de cette mesure. Celui-ci lui répond qu’il ne dispose d’aucun détail sur l’origine de la décision.
Ce jour-là, l’ancien président du parti islamiste devait se rendre d’abord à Doha pour une « visite de courtoisie aux dirigeants du Hamas, dont Ismaïl Haniyeh, et prendre des contacts pour conclure des accords de partenariat en vue d’organiser le septième congrès international du forum de Kuala Lumpur sur l’effondrement moral et éthique des États occidentaux face au génocide en cours à Gaza ». Depuis le début de cette affaire qui prend des allures de scandale d'Etat, Abderrazak Makri s'est offert une nouvelle dimension en Algérie.
Il est devenu, aujourd'hui, reconnaissons-le, le seul politique capable de provoquer et de challenger le régime algérien. Makri est en train de tirer profit des contradictions et tiraillements internes au sein du régime algérien au sujet des rapports avec l'Occident et d'autres puissances mondiales.
Il utilise la question palestinienne comme un tremplin pour s'assurer une nouvelle ascension politique en prévision des élections présidentielles de décembre 2024.
Ce jour-là, l’ancien président du parti islamiste devait se rendre d’abord à Doha pour une « visite de courtoisie aux dirigeants du Hamas, dont Ismaïl Haniyeh, et prendre des contacts pour conclure des accords de partenariat en vue d’organiser le septième congrès international du forum de Kuala Lumpur sur l’effondrement moral et éthique des États occidentaux face au génocide en cours à Gaza ». Depuis le début de cette affaire qui prend des allures de scandale d'Etat, Abderrazak Makri s'est offert une nouvelle dimension en Algérie.
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