Les algériens ne peuvent plus aller au marché ou dans un magasin d'alimentation, tellement la vie est devenue chère; la hausse des prix devient un phénomène totalement affolant et incontrôlable en Algérie. Dans un pays où le salaire moyen national est inférieur à 300 euros, les produits de base et de large consommation connaissent depuis 2022 une hausse de prix qui varient de 50 jusqu'à plus de 100 % Du jamais vu dans l'histoire récente de l'Algérie.
Les foyers sont laminés par cet choc inflationniste très violent contre lequel le régime algérien échoue à trouver ou identifier des solutions. A titre d'exemple, les prix de la tomate ont augmenté de plus de 106 % entre septembre 2022 et septembre 2023.
Les prix des haricots verts ont augmenté de plus de 68 % durant la même période et les prix du concombre ont dépassé également le seuil des 62 % de hausse.
Et il n'y a pas que les prix des légumes ou fruits qui ont totalement explosé en Algérie en raison notamment des restrictions aux importations et des conséquences désastreuses de la sécheresse sur l'agriculture algérienne. Mêmes certains produits du quotidien comme les déodorants ou les articles scolaires ont atteint des hausses de prix dépassant les 67 % entre septembre 2022 et septembre 2023.
Cette situation dévoile l'échec de la relance de la production nationale en Algérie et les limitations excessives des importations ont fini par provoquer un inquiétant appauvrissement des foyers algériens. Une précarité sociale sans précédent.
Les foyers sont laminés par cet choc inflationniste très violent contre lequel le régime algérien échoue à trouver ou identifier des solutions. A titre d'exemple, les prix de la tomate ont augmenté de plus de 106 % entre septembre 2022 et septembre 2023.
Les prix des haricots verts ont augmenté de plus de 68 % durant la même période et les prix du concombre ont dépassé également le seuil des 62 % de hausse.
Et il n'y a pas que les prix des légumes ou fruits qui ont totalement explosé en Algérie en raison notamment des restrictions aux importations et des conséquences désastreuses de la sécheresse sur l'agriculture algérienne. Mêmes certains produits du quotidien comme les déodorants ou les articles scolaires ont atteint des hausses de prix dépassant les 67 % entre septembre 2022 et septembre 2023.
Cette situation dévoile l'échec de la relance de la production nationale en Algérie et les limitations excessives des importations ont fini par provoquer un inquiétant appauvrissement des foyers algériens. Une précarité sociale sans précédent.
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