Le pire s'est produit
Coup de théâtre à la Cour d'Alger ! A moins d'un mois de sa libération après avoir purgé sa peine initiale de 4 ans de prison ferme, l'ex-candidat aux élections présidentielles d'avril 2019 Ali Ghediri, et général à la retraite, a écopé d'une nouvelle peine de 6 ans de réclusion et d'une totale privation des droits civiques prononcée par la Cour d'Alger à 2 H 30 du matin ce 17 mai 2023. L'homme politique devra rester ainsi en prison et ratera les élections présidentielles de 2024.
Abdelmadjid Tebboune a prouvé ainsi qu'il a brisé Ali Ghediri pour se protéger contre son éventuelle concurrence en prévision des prochaines élections présidentielles prévues l'année prochaine. Tebboune veut donc clairement imposer par la force son 2e mandat présidentiel à toute l'Algérie. Pour ralle, six mois après cassation par la Cour suprême du verdict de la chambre criminelle près la cour d’Alger, le procès du général-major à la retraite Ali Ghediri s'est déroulé hier 16 mai.
Placé en détention depuis le 13 juin 2019 pour «démoralisation de l’armée» et «réunion de documents et d’informations à la disposition d’agents étrangers», puis condamné le 21 janvier 2020 à une peine de 4 ans de prison ferme, il comparaissait avec un autre coaccusé, Hocine Guasmi, condamné à 10 ans pour «faux et usage de faux», «usurpation d’identité» et «intelligence avec l’étranger». Des condamnations confirmées en janvier 2022 par la chambre pénale près la cour d’Alger, alors que la Cour suprême avait suscité un espoir en requalifiant les faits, qui se basent sur un entretien paru sur le journal El Watan, en date du 25 mars 2018.
Lors de ses deux procès, l’ex-candidat à l'élection présidentielle avortée de 2019 et ancien directeur des ressources humaines au ministère de la Défense durant 15 ans, jusqu’à 2015, où il a pris sa retraite, n’avait a pas cessé de déconstruire l’accusation de «participation en temps de paix à la démoralisation de l’armée» à travers un entretien accordé à El Watan, publié le 25 décembre 2018. Aujourd'hui encore, il est déshonoré et sacrifié par le régime algérien qui ne veut pas de lui sur la scène politique.
Coup de théâtre à la Cour d'Alger ! A moins d'un mois de sa libération après avoir purgé sa peine initiale de 4 ans de prison ferme, l'ex-candidat aux élections présidentielles d'avril 2019 Ali Ghediri, et général à la retraite, a écopé d'une nouvelle peine de 6 ans de réclusion et d'une totale privation des droits civiques prononcée par la Cour d'Alger à 2 H 30 du matin ce 17 mai 2023. L'homme politique devra rester ainsi en prison et ratera les élections présidentielles de 2024.
Abdelmadjid Tebboune a prouvé ainsi qu'il a brisé Ali Ghediri pour se protéger contre son éventuelle concurrence en prévision des prochaines élections présidentielles prévues l'année prochaine. Tebboune veut donc clairement imposer par la force son 2e mandat présidentiel à toute l'Algérie. Pour ralle, six mois après cassation par la Cour suprême du verdict de la chambre criminelle près la cour d’Alger, le procès du général-major à la retraite Ali Ghediri s'est déroulé hier 16 mai.
Placé en détention depuis le 13 juin 2019 pour «démoralisation de l’armée» et «réunion de documents et d’informations à la disposition d’agents étrangers», puis condamné le 21 janvier 2020 à une peine de 4 ans de prison ferme, il comparaissait avec un autre coaccusé, Hocine Guasmi, condamné à 10 ans pour «faux et usage de faux», «usurpation d’identité» et «intelligence avec l’étranger». Des condamnations confirmées en janvier 2022 par la chambre pénale près la cour d’Alger, alors que la Cour suprême avait suscité un espoir en requalifiant les faits, qui se basent sur un entretien paru sur le journal El Watan, en date du 25 mars 2018.
Lors de ses deux procès, l’ex-candidat à l'élection présidentielle avortée de 2019 et ancien directeur des ressources humaines au ministère de la Défense durant 15 ans, jusqu’à 2015, où il a pris sa retraite, n’avait a pas cessé de déconstruire l’accusation de «participation en temps de paix à la démoralisation de l’armée» à travers un entretien accordé à El Watan, publié le 25 décembre 2018. Aujourd'hui encore, il est déshonoré et sacrifié par le régime algérien qui ne veut pas de lui sur la scène politique.
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