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La formation concerne la stimulation cardiaque, une branche de la rythmologie, qui est une surspécialité en cardiologie.
Peut-on réanimer le coeur d'une personne ayant fait l'objet d'une attaque cardiaque? Pour peu que l'intervention soit exécutée avec dextérité et à temps. Telle est la réponse de l'ensemble des cardiologues suivant de près l'évolution technologique des prises en charge, dont la stimulation cardiaque. Il s'agit d'une technique utilisée par les praticiens dans plus d'un cas en réanimant le malade ayant subi une attaque cardiaque. Elle consiste en une délivrance d'impulsions électriques de faible énergie au niveau du muscle cardiaque. Elle est exercée par un stimulateur cardiaque implantable, associé à une ou plusieurs sondes.
Cette technique fera l'objet d'un cycle de formation organisée, avant la fin de l'année en cours, par la Société algérienne de rythmologie qui la lancera, sous l'égide de la Faculté de médecine d'Alger. Cette rencontre sera abritée dans la wilaya d'Oran. C'est ce qu'a indiqué le président de la Société algérienne de rythmologie, Mohamed Tahmi, expliquant que «cette formation concerne la stimulation cardiaque». Il s'agit d'une branche de la rythmologie, qui est une surspécialité en cardiologie», a fait savoir le même responsable, en marge de la 2ème Journée nationale de la société algérienne de cardiologie, tenue également dans la wilaya à Oran.
Compte tenu des avancées et des transformations rapides que connaissent les processeurs liés au processus de prise en charge des malades, notamment ceux souffrant des attaques subites, les spécialistes prennent, eux aussi, conscience de la valeur de leur intervention à temps, facteur salvateur dans plus d'un cas, notamment lorsqu'il s'agit des soins rapides à prodiguer aux malades connaissant des ' AVC ou encore des crises cardiaques. D'où la nécessité de la se mettre en harmonie avec les nouvelles techniques. «Le cycle de formation en question est d'autant important qu'il s'étale sur une durée d'une année», a expliqué la même source, ajoutant qu'«elle s'adressera à des cardiologues». Il a ajouté qu'«elle vise à acquérir les bases théoriques et pratiques nécessaires à la discussion des indications, à l'implantation et à la surveillance des stimulateurs cardiaques».
Cette 2ème Journée nationale de la Société algérienne de cardiologie a été axée, cette année, sur la fibrillation atriale, FA. «Elle a été également appelée fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque», a-t-on expliqué, soulignant qu'«il s'agit d'un trouble qui provoque des palpitations et parfois de l'asthénie, une intolérance à l'effort, une dyspnée». Cette rencontre est d'autant plus capitale, notamment pour les praticiens spécialisés dans la cardiologie puisqu'elle a abordé plusieurs questions de pointe et pointues venant en réponse à la situation actuelle. D'autant plus que nul n'est à l'abri des problèmes de santé, dont ceux d'ordre cardiaque. C'est pourquoi, des conférences ont été animées par des spécialistes de différents établissements de santé du pays, et à travers lesquelles les différentes thématiques ont été évoquées comme la fibrillation atriale de la définition au diagnostic, nouveaux outils de diagnostic et intérêt du dépistage, la prise en charge globale de la fibrillation atriale, gestion des comorbidités, premier épisode de fibrillation atriale quoi faire?
Deux sessions d'ateliers ont été également animées dans le cadre de cette journée, autour de quatre thématiques. Il s'agit du contrôle du rythme en pratique, gestion de l'anticoagulation, la fibrillation atriale et les dispositifs cardiaques implantables et également la lecture Holter électrocardiogrammes, ECG.
l'expression.dz
Peut-on réanimer le coeur d'une personne ayant fait l'objet d'une attaque cardiaque? Pour peu que l'intervention soit exécutée avec dextérité et à temps. Telle est la réponse de l'ensemble des cardiologues suivant de près l'évolution technologique des prises en charge, dont la stimulation cardiaque. Il s'agit d'une technique utilisée par les praticiens dans plus d'un cas en réanimant le malade ayant subi une attaque cardiaque. Elle consiste en une délivrance d'impulsions électriques de faible énergie au niveau du muscle cardiaque. Elle est exercée par un stimulateur cardiaque implantable, associé à une ou plusieurs sondes.
Cette technique fera l'objet d'un cycle de formation organisée, avant la fin de l'année en cours, par la Société algérienne de rythmologie qui la lancera, sous l'égide de la Faculté de médecine d'Alger. Cette rencontre sera abritée dans la wilaya d'Oran. C'est ce qu'a indiqué le président de la Société algérienne de rythmologie, Mohamed Tahmi, expliquant que «cette formation concerne la stimulation cardiaque». Il s'agit d'une branche de la rythmologie, qui est une surspécialité en cardiologie», a fait savoir le même responsable, en marge de la 2ème Journée nationale de la société algérienne de cardiologie, tenue également dans la wilaya à Oran.
Compte tenu des avancées et des transformations rapides que connaissent les processeurs liés au processus de prise en charge des malades, notamment ceux souffrant des attaques subites, les spécialistes prennent, eux aussi, conscience de la valeur de leur intervention à temps, facteur salvateur dans plus d'un cas, notamment lorsqu'il s'agit des soins rapides à prodiguer aux malades connaissant des ' AVC ou encore des crises cardiaques. D'où la nécessité de la se mettre en harmonie avec les nouvelles techniques. «Le cycle de formation en question est d'autant important qu'il s'étale sur une durée d'une année», a expliqué la même source, ajoutant qu'«elle s'adressera à des cardiologues». Il a ajouté qu'«elle vise à acquérir les bases théoriques et pratiques nécessaires à la discussion des indications, à l'implantation et à la surveillance des stimulateurs cardiaques».
Cette 2ème Journée nationale de la Société algérienne de cardiologie a été axée, cette année, sur la fibrillation atriale, FA. «Elle a été également appelée fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque», a-t-on expliqué, soulignant qu'«il s'agit d'un trouble qui provoque des palpitations et parfois de l'asthénie, une intolérance à l'effort, une dyspnée». Cette rencontre est d'autant plus capitale, notamment pour les praticiens spécialisés dans la cardiologie puisqu'elle a abordé plusieurs questions de pointe et pointues venant en réponse à la situation actuelle. D'autant plus que nul n'est à l'abri des problèmes de santé, dont ceux d'ordre cardiaque. C'est pourquoi, des conférences ont été animées par des spécialistes de différents établissements de santé du pays, et à travers lesquelles les différentes thématiques ont été évoquées comme la fibrillation atriale de la définition au diagnostic, nouveaux outils de diagnostic et intérêt du dépistage, la prise en charge globale de la fibrillation atriale, gestion des comorbidités, premier épisode de fibrillation atriale quoi faire?
Deux sessions d'ateliers ont été également animées dans le cadre de cette journée, autour de quatre thématiques. Il s'agit du contrôle du rythme en pratique, gestion de l'anticoagulation, la fibrillation atriale et les dispositifs cardiaques implantables et également la lecture Holter électrocardiogrammes, ECG.
l'expression.dz