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La polémique sur les raisons de l’élimination de l’équipe de football d’Algérie, qui a été éliminée au premier tour de la CAN 2021 au Cameroun, après deux défaites et un nul, se poursuit.
Les coéquipiers de Riyad Mahrez n’ont pas fourni une prestation digne des champions d’Afrique en titre qu’ils sont et qui a fait d’eux les favoris de cette compétition.
Accrochés lors du premier match par une modeste équipe de Sierra Leone, puis battus 1 à 0 par les Equato-Guinéens avant de s’incliner face à la Côte d’Ivoire par 3 buts à 1 lors du troisième et dernier match, les Fennecs d’Algérie sont sortis par la petite porte avec un seul but inscrit et 4 encaissés.
Cependant, certains éléments objectifs permettent de relativiser cette sortie prématurée des Verts de la CAN. Lors de leur première sortie face à la Sierra Leone, les poulains de Djamel Belmadi ont dû évoluer à 14h sous une chaleur écrasante et une forte humidité.
Pour tout dire, peu de sélections ont évolué à cet horaire depuis le début de cette CAN. Mais l’élément qui a le plus impacté le jeu léché des Verts c’est l’état déplorable de la pelouse du stade de Japoma à Douala. Un état qui a suscité l’indignation des supporters algériens. Le sélectionneur national Djamel Belmadi a aussi mis en cause en partie la pelouse dans la mauvaise performance de ses joueurs.
Un véritable champ de patates, ont ironisé non sans raison de nombreux internautes. Beaucoup d’observateurs ont pointé du doigt le manque de préparation du Cameroun pour abriter cette joute africaine.
Contre vents et marées, le président de la fédération camerounaise de football Samuel Eto’o a pu éviter que la CAN ne soit déplacée dans un autre pays comme en 2019, ou pire annulée.
L’affaire s’est tassée et voilà qu’un spécialiste camerounais revient à la charge en pointant le mauvais état de la pelouse de Japoma, allant même à parler de « sabotage » de l’équipe nationale algérienne. « Jusqu’à preuve du contraire (…) je pense qu’il y a eu du sabotage », a-t-il dénoncé, en pointant l’étendue du « désastre » de cette pelouse.
Selon ce spécialiste camerounais, la pelouse du stade Japoma a été importée, ce qui signifie qu’elle est « en situation d’adaptation ». « Il lui faut accorder quand même un certain nombre d’exigences », relève-t-il, allant même à demander jusqu’à réclamer des comptes aux responsables en charge de la bonne tenue de la pelouse.
Ce spécialiste avance même que l’eau avec laquelle la pelouse du stade Japoma était censée être arrosée contient de produits chimiques qu’il aurait fallu traiter.
L’ancienne star des Lions indomptables du Cameroun, Patrick M’boma est venu au secours de ses compatriotes en affirmant dans un tweet, daté du 20 janvier, que la pelouse où l’équipe d’Algérie a évolué n’était finalement pas aussi mauvaise que cela.
« J’en connais qui me doivent des excuses pour avoir dit, de façon véhémente de surcroît, que la pelouse de Japoma était désastreuse! J’ai vu une superbe équipe de Côte d’ivoire qui ne m’a pas laissé voir des faux rebonds. Mais bon, tout le monde ne comprend pas le football », a-t-il écrit. Mais un internaute le reprend : « Il faut quand même avoir l’honnêteté de reconnaître que cette pelouse est déplorable, et indigne d’un « pays du football » ! C’est aussi ça « comprendre » le football ».
tsa-algerie.
Les coéquipiers de Riyad Mahrez n’ont pas fourni une prestation digne des champions d’Afrique en titre qu’ils sont et qui a fait d’eux les favoris de cette compétition.
Accrochés lors du premier match par une modeste équipe de Sierra Leone, puis battus 1 à 0 par les Equato-Guinéens avant de s’incliner face à la Côte d’Ivoire par 3 buts à 1 lors du troisième et dernier match, les Fennecs d’Algérie sont sortis par la petite porte avec un seul but inscrit et 4 encaissés.
Cependant, certains éléments objectifs permettent de relativiser cette sortie prématurée des Verts de la CAN. Lors de leur première sortie face à la Sierra Leone, les poulains de Djamel Belmadi ont dû évoluer à 14h sous une chaleur écrasante et une forte humidité.
Pour tout dire, peu de sélections ont évolué à cet horaire depuis le début de cette CAN. Mais l’élément qui a le plus impacté le jeu léché des Verts c’est l’état déplorable de la pelouse du stade de Japoma à Douala. Un état qui a suscité l’indignation des supporters algériens. Le sélectionneur national Djamel Belmadi a aussi mis en cause en partie la pelouse dans la mauvaise performance de ses joueurs.
Un véritable champ de patates, ont ironisé non sans raison de nombreux internautes. Beaucoup d’observateurs ont pointé du doigt le manque de préparation du Cameroun pour abriter cette joute africaine.
Contre vents et marées, le président de la fédération camerounaise de football Samuel Eto’o a pu éviter que la CAN ne soit déplacée dans un autre pays comme en 2019, ou pire annulée.
L’affaire s’est tassée et voilà qu’un spécialiste camerounais revient à la charge en pointant le mauvais état de la pelouse de Japoma, allant même à parler de « sabotage » de l’équipe nationale algérienne. « Jusqu’à preuve du contraire (…) je pense qu’il y a eu du sabotage », a-t-il dénoncé, en pointant l’étendue du « désastre » de cette pelouse.
Selon ce spécialiste camerounais, la pelouse du stade Japoma a été importée, ce qui signifie qu’elle est « en situation d’adaptation ». « Il lui faut accorder quand même un certain nombre d’exigences », relève-t-il, allant même à demander jusqu’à réclamer des comptes aux responsables en charge de la bonne tenue de la pelouse.
Ce spécialiste avance même que l’eau avec laquelle la pelouse du stade Japoma était censée être arrosée contient de produits chimiques qu’il aurait fallu traiter.
L’ancienne star des Lions indomptables du Cameroun, Patrick M’boma est venu au secours de ses compatriotes en affirmant dans un tweet, daté du 20 janvier, que la pelouse où l’équipe d’Algérie a évolué n’était finalement pas aussi mauvaise que cela.
« J’en connais qui me doivent des excuses pour avoir dit, de façon véhémente de surcroît, que la pelouse de Japoma était désastreuse! J’ai vu une superbe équipe de Côte d’ivoire qui ne m’a pas laissé voir des faux rebonds. Mais bon, tout le monde ne comprend pas le football », a-t-il écrit. Mais un internaute le reprend : « Il faut quand même avoir l’honnêteté de reconnaître que cette pelouse est déplorable, et indigne d’un « pays du football » ! C’est aussi ça « comprendre » le football ».
tsa-algerie.
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