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Vibrant hommage à Abdelaziz Bouteflika
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Certains ont de la nostalgie pour Bouteflika
L’hommage du SG de l'ONU Antonio Guterres à Bouteflika ne changera rien à son passé sulfureux en tant que ministre des Affaires étrangères
Selon les archives déclassifiées des services secrets français (DGSE), Bouteflika ne travaillait pas. Il s’éclipsait en France des semaines durant où il se donnait à ses désirs. Boumediene ne lui faisait pas confiance. Il avait demandé à ses services de surveiller son dauphin
Les archives françaises rapportent que Bouteflika vouait une haine à l’épouse de Boumediene car elle lui aurait volé la vedette lors d’un voyage à Cuba. Pour la faire éclipser, Bouteflika l’aurait menacé de jeter une sombre tâche sur sa réputation en divulguant les factures de bijoux achetés à Paris
Voilà la véritable image que je regarderais de Bouteflika : un mégalomane susceptible et un prévaricateurDernière modification par shadok, 16 octobre 2021, 18h17.Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
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Boumediene ne faisait pas confiance à Bouteflika. Il avait demandé à ses services de surveiller son dauphin
Question : en politique, surveiller son "dauphin" est un incontournable. Qd on a le verbe concis, on relève qu'il est vain de promouvoir une paranoïa chez Boumédiène pour déconstruire (phénoménologie) le personnage de son "dauphin"
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Ces archives de la DGSE qui éclaboussent la réputation de Bouteflika
A la une / Actualité
Il est décrit comme manipulateur, prévaricateur et imbu de sa personne
Ces archives de la DGSE qui éclaboussent la réputation de Bouteflika
Ces documents se rapportent à l’époque où le chef de l’État était ministre des Affaires étrangères. Certaines informations sont déclassifiées alors que d’autres ont été obtenues en exclusivité par l’hebdomadaire français ‘’L’Obs’’ en janvier dernier.
L’hebdomadaire français L’Obs (anciennement Le Nouvel Observateur), qui sera disponible en version papier aujourd’hui, a publié une enquête sur le président Bouteflika, à l’époque où il était ministre des Affaires étrangères. Cet article a été construit sur la base d’archives de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE).
Selon la journaliste Celine Lussato, une partie des documents sont déclassifiés (ils font référence à la période entre 1962 et 1983) alors que d’autres ont été obtenus exclusivement par L’Obs en janvier dernier.
La plupart des informations concernant Bouteflika proviennent de notes diplomatiques, dont les télégrammes chiffrés quotidiens adressés par l’ambassade de France à Alger au Quai d’Orsay.
Le profil qui est dressé du chef de la diplomatie algérienne qu’était alors Bouteflika est plutôt sombre. “Le jeune homme frêle et fluet” est décrit comme un intrigant, un prévaricateur et un mégalomane susceptible.
Des notes évoquent “un personnage dénué de scrupules, doté d’une intelligence aiguë et d’une grande ambition, capable de risquer sa mise sur un seul coup”.
Le Sdece, ancêtre de la DGSE, s’intéresse de plus en plus à lui, à la suite du coup d’État contre Ben Bella dans lequel il apparaît comme le principal instigateur. Celui qui se présente comme “un homme de gauche”, un lecteur assidu et qui s’impose comme “un négociateur retors” est qualifié de grand manipulateur.
À propos du coup d’État contre Ben Bella, une note révèle que Louis Dauge, ministre délégué à l’ambassade de France, a été convoqué dans la matinée qui a suivi le renversement de l’ex-Président, au MAE où Bouteflika lui a fait part de ses impressions. Le diplomate écrira plus tard : “Il est clair que le ministre des Affaires étrangères fait du coup d’État une affaire personnelle.”
Un autre document révèle que Bouteflika a convaincu Houari Boumediene, chef d’état-major, de se débarrasser de Ben Bella car celui-ci constituait une menace, surtout pour lui. Après avoir fait arrêter son chef de cabinet, Abdelatif Rahal, l’ancien Président lui aurait demandé de “quitter son poste de ministre”.
Le jeune ministre des AE se chargera, selon les services secrets français, d’éliminer, plus tard, tous ses rivaux, y compris l’épouse du président Boumediene.
Une des notes, datant du 7 octobre 1974, souligne qu’“il est à peu près certain que le président Boumediene s’est vu contraint par l’action conjuguée de MM. Bouteflika et Medeghri, ministre de l’Intérieur, de ramener dans l’ombre sa propre épouse” car “elle portait ombrage à ceux qui, comme le ministre des Affaires étrangères, avaient jusque-là l’exclusivité de l’accès direct auprès de Houari Boumediene”. Les diplomates français à Alger rapportent à ce sujet que Bouteflika aurait mal vécu un voyage à Cuba, où l’on voyait, à la télévision, Anissa Boumediene “souriante à côté du Président tandis que Bouteflika, perdu dans la foule, essayait vainement de sauver la face”. Pour se venger, le ministre des AE aurait transmis à Boumediene des factures d’achat de bijoux à Paris par son épouse, l’obligeant à la mettre définitivement à l’écart.
Plus grave, les services secrets français laissent penser que Bouteflika est peut-être impliqué dans l’assassinat d’opposants politiques. Le meurtre de Krim Belkacem à Francfort, en Allemagne, a été planifié, selon les services de renseignements français, par l’attaché militaire de l’ambassade d’Algérie à Paris.
Malgré ces soupçons, le ministre algérien est perçu par Paris comme un allié et on cède à son désir de vouloir paraître comme le “second personnage du régime”. “Le jeune farfelu d’autrefois a fait place à un homme politique qui croit vraiment à la coopération entre son pays et la France (…) Bouteflika a grandement évolué. Alors que pour lui, Castro était autrefois l’exemple à suivre, il ne qualifie plus le chef de l’État cubain que de fou furieux”, se félicite Paris.
À Alger, le président Boumediene a une toute autre opinion. Il ne fait pas totalement confiance à son ministre des AE et le fait surveiller.
Cet espionnage servait, selon les notes obtenues par L’Obs, “à recueillir des éléments sur les écarts de mœurs”. Après la mort de Boumediene, Bouteflika tombe en disgrâce. Des notes diplomatiques confirment à cette époque que “toute son équipe a été liquidée”. D’autres relayent les soupçons de corruption.
“La corruption de Bouteflika était de notoriété publique”, souligne un télégramme du 17 mai 1983. L’ancien ambassadeur de France, Guy Georgy, avait, notamment, écrit qu’“il passait pour un grand prévaricateur” et “constituait un gibier de choix non seulement pour sa gestion des fonds publics, mais aussi parce qu’il avait peuplé son ministère de copains et de coquins”.
Liberté
28-02-2019Dernière modification par shadok, 16 octobre 2021, 18h22.Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
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Ait Menguellet a une célèbre chanson dans laquelle il dit : Nous sommes "mauvais "
C'est les étrangers qui organisent des hommages aux nôtres. Pourquoi ? sommes-nous des pleutres ou des haineux narcissiques ?
gredin
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On peut tout dire quand le roi est mort
Bouteflika post independance avait bcp de influence sur les décisions de Boumediene
İl a été un artisan actif dans le coup de état contre ben Bella
İl a micmaque tout le scénario du coup d' état
et a préparé la représentation diplomatique à d' éventuelles réactions
A pu convaincre les usa et l' URSS du bien fonde de ce coup d état reprochant à ben Bella de trop se rapprocher de la Chine
Gone with the Wind.........
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Question : en politique, surveiller son "dauphin" est un incontournable
Boumediene n’avait pas confiance en Bouteflika, non pas qu’il avait peur de lui pour prendre son poste, mais à cause de son fainéantisme et ses écarts de mœurs
Selon Farid Alilat, Bouteflika ne travaillait pas. Il était un ministre de façade. Boumediene avait créé une diplomatie parallèle
D'après un témoignage d'Abdelaziz Rehabi, Bouteflika ne lisait jamais les télégrammes diplomatiques. La lecture des dossiers l'ennuyait
Continue de croire que Bouteflika était un grand diplomate
Dernière modification par shadok, 17 octobre 2021, 03h14.Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
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Farid Alilat : "Bouteflika était juste le porte parole de la diplomatie algérienne. C'est quelqu'un qui ne travaillait pas, qui ne se rendait presque jamais au bureau. Il était souvent à l'étranger. Il disparaissait pendant un mois, deux mois sans donné aucun signe de vie. Boumédienne s'est rendu compte qu'il ne devait pas dépendre exclusivement de Bouteflika en matière de diplomatie. Il a installé une diplomatie parallèle"
A partir de [4:04]
Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
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il existe encore des adeptes de Boutpz !
Ca pend toutes sortes de mondes pour faire un monde et les cons en font parie...
J'ai trouvé con Zemmour tresser des lauriers à Pétain, le faire vis à vis de Boutoz c'est à peu près la même bêtise.ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément
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L'exercice le plus facile chez les algériens c'est de faire des louanges ou bien des calomnies.
C'est ainsi que la majorité des algériens vont vous descendre en flammes bouteflika sans même savoir pourquoi ? Aucun bilan rationnel !!
Bouteflika est ainsi devenu le symbole de leurs démarches tautologiques à l'exp du président dont ils ont hérité qui a réussi la performance de passer de fakhamatouhou à 3issaba en seulement deux années !!Dernière modification par Tizwel, 16 octobre 2021, 22h39.
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