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Amel Triki : L’ex- épouse d’Abdelaziz Bouteflika perd ses privilèges à Paris

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  • Amel Triki : L’ex- épouse d’Abdelaziz Bouteflika perd ses privilèges à Paris

    Elle bénéficiait d’un statut diplomatique aux côtés de Mohamed Bedjaoui, selon "Jeune Afrique"

    L’ex- épouse d’Abdelaziz Bouteflika perd ses privilèges à Paris


    Amel Blidi
    04 mars 2021 à 11 h 05 min

    Certaines personnalités qui gravitaient autour de l’ancien régime du président déchu, Abdelaziz Bouteflika, auraient perdu leurs privilèges en France, suite à une décision prise en octobre 2020 par l’ambassadeur d’Algérie à Paris, Antar Daoud C’est ce que révèle la revue Jeune Afrique dans son édition du 2 mars qui cite, notamment, l’ex-épouse de Abdelaziz Bouteflika, Amel Triki, et l’ancien ministre des Affaires étrangères, Mohamed Bedjaoui.

    L’on y apprend ainsi que l’ancienne femme de Abdekaziz Bouteflika, qu’il aurait épousée en août 1990, disposait d’un statut diplomatique dans la mesure où elle avait été nommée secrétaire aux Affaires étrangères, ce qui lui ouvrait droit à une immunité, à une plaque diplomatique ainsi qu’à un salaire de plus de 5400 euros.

    L’existence de l’épouse de l’ancien Président a toujours été un sujet tabou, empreint de secrets et de ouï-dire, tant Abdelaziz Bouteflika et son entourage ont toujours entretenu le silence sur sa vie privée. Les personnes au fait du dossier murmurent que l’ancien Président avait été, au début des années 1990, brièvement marié avec la fille du diplomate Yahia Triki, alors premier conseiller à l’ambassade d’Algérie au Caire.

    «Rappelée à l’automne 2019 au lendemain de la fin officielle de ses fonctions, écrit Jeune Afrique, elle (Amel Triki, ndlr) n’avait pas souhaité quitter Paris, où elle s’était installée en 2001, après avoir été nommée secrétaire aux Affaires étrangères, avec des émoluments mensuels supérieurs à 5400 euros. Immunité, plaque diplomatique et loyer modéré. Sur demande de l’ambassadeur Antar Daoud, Amel Triki a dû restituer la carte diplomatique qui lui avait été délivrée selon l’usage par le Quai d’Orsay.

    Ce titre de séjour spécial lui ouvrait droit à une immunité, mais aussi à d’autres privilèges, conformément à la Convention de Vienne de 1961.» Le magazine souligne, par ailleurs, que l’ex-épouse d’Abdelaziz Bouteflika avait droit à un abattement à hauteur de 60% de sa quittance de loyer et qu’elle disposait d’un bureau à l’ambassade restant inoccupé. Se pose alors la question épineuse des «emplois fictifs» dont profitaient les proches du Président déchu.

    C’est notamment le cas de Mohamed Beddjaoui, ancien ambassadeur à Paris et ministre des Affaires étrangères de 2005 à 2007 qui occupait, selon Jeune Afrique, le poste de conseiller diplomatique à Paris, touchant un salaire 9000 euros par mois sans jamais exercer d’activité diplomatique. «L’ambassadeur Antar Daoud a également décidé de procéder au retrait de ses cartes diplomatique et d’immatriculation», révèle ainsi l’hebdomadaire, précisant que «Mohamed Bedjaoui n’exerçait aucune activité diplomatique en échange de ce poste, qui lui avait été accordé lorsque Bouteflika était au pouvoir».


    El Watan.
    Dernière modification par sako, 05 mars 2021, 19h10.

  • #2
    C’est notamment le cas de Mohamed Beddjaoui, ancien ambassadeur à Paris et ministre des Affaires étrangères de 2005 à 2007 qui occupait, selon Jeune Afrique, le poste de conseiller diplomatique à Paris, touchant un salaire 9000 euros par mois sans jamais exercer d’activité diplomatique.

    Tous des escrocs !
    Dernière modification par sako, 05 mars 2021, 19h15.

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    • #3
      Qui est Amel Triki, l’ex-épouse de Abdelaziz Bouteflika ?

      La vie maritale de Abdelaziz Bouteflika a toujours été un mystère. Le président déchu a bien été marié au cours de l’année 1990, assure le journaliste algérien Mohamed Benchicou, auteur de Bouteflika, une imposture algérienne. « Il a épousé Amal Triki, fille du diplomate Yahia Triki, alors premier conseiller à l’ambassade d’Algérie au Caire. L’acte de mariage a été établi par un agent de la mairie de Sidi-M’hamed, un quartier d’Alger, dépêché spécialement dans l’appartement », a-t-il révélé.

      « Le procès-verbal, dûment rédigé et enregistré, comporte, comme l’exige la réglementation, les signatures de deux témoins: le beau-frère de Bouteflika et son ami Abdelkader Dehbi », souligne Mohamed Benchicou. Bouteflika avait rencontré sa future femme lors d’un de ses voyages au Caire. Amel Triki, alors étudiante en médecine, « était une jeune femme cultivée, belle et très intelligente ». Elle avait 32 ans de moins que Bouteflika. Amel Triki n’est jamais apparue aux côtés de Bouteflika et n’a jamais figuré officiellement dans son entourage. Le couple a fini par divorcer.

      Observalgerie

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      • #4
        C'est de la science fiction
        Des emplois fictifs
        Femme fictive
        Il y'a que l'argent qu'ils encaissent qui est réel
        "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

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        • #5
          سفير الجزائر في باريس يطرد أمال تريكي طليقة بوتفليقة تطرد من شقتها و يسحب منها السياره

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