Alors qu’il attend « une initiative politique » de la part du Président
Une source bien informée a indiqué que le greffe judiciaire avait fini d’interroger Hassan Hattab, l’ex « émir » du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC) et les services de sécurité devraient le conduire prochainement vers le juge d’instruction. La même source a indiqué que Hattab attend « une initiative politique » de la part du président de la République.
La source a également révélé que le dossier du fondateur du GSPC est à présent classé au niveau du greffe judiciaire, et il est attendu que les services de sécurité défèrent Hattab devant le juge d’instruction près le tribunal de Sidi M’Hamed, qui pourrait l’inculper d’après le contenu de l’interrogatoire, ou bien ordonner l’extinction de la poursuite judiciaire.
Notre source n’a pas exclu une initiative du président qui pourrait amnistier Hassan Hattab, dans le cadre de la réconciliation nationale, car Hattab avait demandé à bénéficier des mesures de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, lorsqu’il s’était rendu le 22 septembre dernier.
La même source a indiqué que les services de sécurité qui avaient interrogé « Abou Hamza », n’ont pu obtenir beaucoup d’informations sur son retour à l’activité terroriste, ni sur la période durant laquelle il assurait le commandement général du groupe Salafiste.
El Khabar
Une source bien informée a indiqué que le greffe judiciaire avait fini d’interroger Hassan Hattab, l’ex « émir » du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC) et les services de sécurité devraient le conduire prochainement vers le juge d’instruction. La même source a indiqué que Hattab attend « une initiative politique » de la part du président de la République.
La source a également révélé que le dossier du fondateur du GSPC est à présent classé au niveau du greffe judiciaire, et il est attendu que les services de sécurité défèrent Hattab devant le juge d’instruction près le tribunal de Sidi M’Hamed, qui pourrait l’inculper d’après le contenu de l’interrogatoire, ou bien ordonner l’extinction de la poursuite judiciaire.
Notre source n’a pas exclu une initiative du président qui pourrait amnistier Hassan Hattab, dans le cadre de la réconciliation nationale, car Hattab avait demandé à bénéficier des mesures de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, lorsqu’il s’était rendu le 22 septembre dernier.
La même source a indiqué que les services de sécurité qui avaient interrogé « Abou Hamza », n’ont pu obtenir beaucoup d’informations sur son retour à l’activité terroriste, ni sur la période durant laquelle il assurait le commandement général du groupe Salafiste.
El Khabar
Commentaire