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  • comment peut on amnistier des tueurs d enfantsd des terrorristes ?? des intolerants ?? des barbares??

    je vote non et nonnnnnnnn

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    • N'oublier pas les meurtre commit par le FLN, les Messalistes, ... etc
      il y a des gens d'entre eu qui sont encore en vie, meme si ca fait partie du passe.

      la justice ne connai pas de passe proche ou passe lointain.
      la justice ne connai pas un crime grave et un crime pas trop grave
      la justice est absolue

      zoom !
      je suis trés d'accord !....
      en effet, il n'ya pas plus malsain que venir nous donner un nom, une liste ou un illustre algerien assassiné par ses pairs ou par les autorités !
      lorsqu'on s'abrite juste derriere une victime ou une liste bien "ciblée", ca dénote le comportement sectaire de l'intervenant !
      en ce qui me concerne, je distinque deux epoques radicalement differentes, c'est celle d'avant et aprés 1988 !
      celle d'avant relevait d'un pouvoir totalitaire qui avait une politique connue, il n'y a aucun mystere la dessus, tout le pouvoir devait etre jugé pour cela,c'est clair comme de l'eau de roche !
      mais depuis 1988, le premiere victime à relever, c'est bel et bien le premier policier abattu dans la rue sans que personne ne leve le petit doigt et defendre l'algerie que representait bravement ce policier !
      evidement, les exités me repondront que la police n'etait pas aimé du peuple et pour cause ! alors dans ce cas, l''appellé militaire aussi, l'enseignant, la jeune fille "devergondée" et j'en passe la liste hélas des plus desarmantes d'atrocités !
      donc, ce qu'il nous faut, c'est une commission de reconciliation à la sud africaine ou à la marocaine (moudawana ), enfin si celle ci aboutirait à voir plus clair du coté de nos voisins !

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      • ...pour qu'il y ait reconciliation ou "harma" ou ce que vous voulez
        il faut d'abord que les assassins (tortionnaires, tueurs d'enfants, de femmes, d'hommes...) demandent pardon, ensuite on verra ...
        mais dire on oublie tout, comme si rien ne s'est passé, c'est de la folie :22:

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        • Salam

          Permettez moi de glisser au milieu de cette discussion cette chronique :

          Envoyé par Kamel Daoud-Le Qutidien d'Oran-19/05/2005

          L’âme morte d’un tracteur socialiste


          Aujourd’hui je vais me réconcilier avec moi-même : je vais m’appeler Larbi El-Kebaïli et je ne vais plus bouger. Ni à gauche vers l’est ni à droite vers l’ouest. Le regard fixe et le visage sous la forme d’un panneau d’utilité publique, je vais imiter le drapeau du pays dans son mystère des origines. Personne ne saura qui m’a fabriqué le premier et tout le monde croira que c’est sa grand-mère qui était derrière la machine à coudre. Benbella ? C’est un immortel. Bouteflika ? Il est plus immortel que lui. Messali ? c’est plus qu’un aéroport pour moi. Je suis un réconcilié et on le reconnaît facilement à cette façon que j’ai à ressembler à une banderole lorsque j’ai l’air absent. Je n’ai pas d’angles ni de virage dans le cahier de mon destin scolaire. Je suis né lorsque mes parents se sont embrassés et je vais mourir lorsque je vais embrasser la mort après avoir embrassé tout le monde. Mon activité du jour est bien simple : le matin je me souviens et je pardonne. L’après-midi je cherche les coups, on me frappe et je pardonne. Le soir venu, je lis l’histoire du nationalisme algérien de Mahfoud Keddache, et je pardonne. Mon moment préféré est, lorsque, dans la ville, il arrive que je croise un repenti ou un garde communal sous enquête pour dépassement «individuel» et qu’ils me reconnaissent à ma façon d’être incolore et invraisemblablement vide de toute contradiction comme un bilan socialiste. Là c’est l’extase de ma fonction de pardonneur : je les regarde bien au fond des yeux comme un douanier, je les approche comme un intermédiaire pour un marché de gré à gré, je les dévisage comme un contrôleur de bus puis, brusquement je m’étale dans la fonction primaire du sourire et je leur pardonne bruyamment en les étreignant comme en 62 et les porte sur mes épaules comme lors du match gagné de 82 contre les Allemands. Il arrive alors que nous nous mettions à table dans un café et que nous évoquions les années de chien avant notre traitement chimiothérapique par la réconciliation : «Te souviens-tu ce vendredi où tu m’as donné treize coups de pied au barrage de Ouled Sidi Saturne parce que je ne répondais pas vite ?» Et «toi, tu te souviens le jour où tu as presque failli m’égorger si ce n’était que tu as eu une crampe à la main après l’effort du massacre ?». Nous pleurons alors tous les trois et, face au risque de nous faire mal et de retomber dans la haine réactionnaire, nous reprenons alors une dose de réconciliation rose, servie dans les boîtes de Chemma, depuis peu, juste après le dernier référendum. Je suis alors, et juste après, au sommet enneigé de la réconciliation. Le point le plus haut de ma nouvelle âme. Je suis alors le vrai Larbi El-Kebaïli. L’homme dont les racines sont enfin anesthésiées par la tendresse humaine. Le citoyen proche de revoir, dans une sorte de vision d’effet secondaire, autour d’une seule table, tous ses ancêtres égorger un seul mouton qui ressemble à un âne qui me regarde presque en riant comme vous regarde votre portrait dans un miroir inexplicable. Réconcilié, je me sens bien partout, mais j’ai un sorte de mal flou dans un endroit rare. J’ai beaucoup gagné dans cette réconciliation, mais j’ai quand même perdu quelques objets : mes os d’abord, un peu mes dents depuis que je ne bois plus que du lait, le pare-brise de mon cerveau, mes contours, le calcium de mon caractère, mon charisme mécanique d’enseignant et les dernières cordes qui me reliaient au monde des solides et des palpables. Des raisons pour lesquelles mes enfants se rient de moi dans mon dos, devinant intuitivement que je n’aie perdu mon statut de chose vivante animée par son lot de contradictions fondatrices. Mais cela ne fait rien : Bouteflika me les rendra. Il suffit de tout pardonner à partir de l’âge de pierre et jusqu’à l’âge du plastique. Que cela ressemble à de l’oubli plutôt qu’à de l’assimilation freudienne, ce n’est pas la faute du médicament : c’est son effet secondaire. La réconciliation c’est comme les tracteurs de la révolution agraire : plus on en importait, plus il était prouvé que cette révolution a réussi.
          Chronique Raina Raikoum du 19/05/2005
          Dernière modification par Thor, 18 mai 2005, 22h58.

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          • FFS, FIS, .....Aministie.......

            quotidien L'expression ( 19 mai 2005):

            KARIM TABOU LORS DE LA RENCONTRE NATIONALE DES ÉTUDIANTS:

            Abordant la réconciliation nationale et l’amnistie, Karim Tabou s’est montré catégorique, «nous sommes le seul pays où il y a autant de dégâts sans qu’aucun responsable ne soit jugé». Puis, s’étalant sur des faits qu’illustre la tragédie qualifiée de «sale guerre», le porte-parole du FFS dira que «le projet d’amnistie et de réconciliation est une démarche destinée plus à organiser le silence et l’impunité qu’à réaliser la véritable réconciliation nationale». Cette dernière, ajoute le conférencier «doit passer par la connaissance de la vérité et le jugement des responsables des crimes contre l’humanité». Il posera ensuite le problème de la qualification de la crise. Plus loin, il citera dans le détail l’exemple de l’Afrique du Sud.

            http://www.lexpressiondz.com/T20050519/ZA4-8.htm

            --------------

            Abassi Madani soutient l’amnistie générale:

            Dans un dernier sursaut, le n°1 de l’ex-FIS dissous, Abassi Madani, s’est déclaré favorable à la politique du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, portant réconciliation nationale et amnistie générale. Sentant, peut-être, la mort approchée, le n°1 de l’ex-Fis dissous, Abassi Madani, vient de rédiger une «dernière lettre» très appuyée dans laquelle il considère l’amnistie générale comme «un bienfait» pour le peuple algérien.

            http://www.lexpressiondz.com/T20050519/ZA4-2.htm

            --------------

            quotidien Le Jeune Indépendant ( 19 Mai 2005)

            Mehri préconise un dialogue sans exclusive :

            L’amnistie générale et la réconciliation nationale nécessitent l’implication de toutes les forces politiques impliquées dans la crise qui secoue le pays depuis 1991, y compris le FIS dissous, faute de quoi elles seraient un échec. C’est ce qu’a souligné M. Abdelhamid Mehri, ancien secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), dans un entretien accordé avant-hier au quotidien émirien Al-Itihad.

            http://www.jeune-independant.com/dis...rticleId=15854

            L'interview de Mehri avec L'itihad ( journal arabophobe Émirates, 16 Mai 2005):

            http://www.alittihad.co.ae/print.asp?id=12271
            Dernière modification par aitmakki, 19 mai 2005, 00h18.
            De l'algérie je suis nostalgique

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            • Ce que penent les islamistes:
              Anwar N. Haddam et Ahmed Zaoui

              "...la réconciliation juste impose la connaissance de l’identité réelle des responsables derrières la perpétration de tous les massacres collectifs, des crimes d’exécutions sommaires et arbitraires et de la pratique de torture commise à l’encontre des populations civiles. De même elle impose de faire toute la lumière sur le sort disparus, et faciliter le retour des personnes déplacées, à l’intérieur du pays, et des exilés à l’étranger, à leurs domiciles et à réintégrer leur emplois.


              Nous considérons que toute tentative qui ignorerait les droits légitimes, qui écarterait les partis concernés par la crise, qui pervertirait la vérité, qui imposerait la politique du fait accompli, ou qui passerait outre le retour au véritable processus démocratique; nous considérons qu’une telle tentative est vouée inéluctablement à l’échec et fera passer notre pays à coté d’une autre opportunité historique pour une réconciliation réelle.


              Nous renouvelons par ailleurs notre disposition pour une participation active dans tout projet sérieux dont l’objectif consiste à réaliser le Tassamouh global entre les différentes composantes du peuple, ainsi qu’à une réconciliation nationale réelle et équitable capable de réconcilier les parties en conflit, panser les plaies, enterrer les haines, de tourner la page des affrontements, et d’ouvrir une nouvelle page qui concrétiserait les aspirations du peuple à la vie fondée sur la liberté et la justice et qui permettrait à l’Algérie de restituer son bien-être et sa position légitime qui lui revient de droit parmi les nations."


              Signatures :
              Anwar N. Haddam
              Ahmed Zaoui
              Redditions - Réconciliation - Amnistie
              AccueilAWViolations des droits humainsArticlesAnalyse & OpinionGalerieLiensRecherche
              www.algeria-watch.org

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              • Amnesty International publie le rapport!

                édition 2150 du jeudi 26 mai 2005 Amnesty
                Amnesty International publie le rapport préliminaire de son séjour en Algérie

                «Oui à l’amnistie générale, non à l’impunité»


                par Rosa Mansouri

                La délégation d’Amnesty International qui séjourne depuis trois semaines en Algérie pour enquêter sur la situation des droits de l’homme dans notre pays, a rendu publics, hier, lors d’une conférence de presse, les résultats préliminaires de ses investigations à travers plusieurs wilayas du pays.

                Quatre thématiques ont constitué l’objectif de cette délégation qui, durant tout son séjour, a essayé de trouver réponse à de multiples interrogations. Ainsi, la violence à l’égard des femmes, la torture des détenus dans les prisons, la question des disparus, l’impunité et l’amnistie générale, dont le projet de loi est en cours d’élaboration, sont les principales préoccupations qui ont conduit la délégation à rencontrer des représentants du mouvement associatif, des organisations victimes de terrorisme, de la Commission nationale pour la promotion des droits de l’homme et des institutions publiques, à savoir des représentants du ministère de la Justice et du ministère délégué chargé de la Famille et de la Condition féminine.

                Procédant par sujet, le président de la délégation M. Philip Hensmans, accompagné de trois de ses collègues, a brossé une situation des plus alarmantes sur la situation de la femme en Algérie. Selon lui, malgré les progrès positifs qui se traduisent par certaines modifications apportées au code de la famille et au code de la nationalité, «un travail énorme reste à faire».

                «La discrimination à l’égard des femmes reste bien inscrite dans le code de la famille, car cette loi ne protège pas efficacement les femmes contre certaines violations, notamment dans le milieu familial où encore la violence sexuelle», a-t-il fait remarquer.

                Sur ce sujet, la délégation d’Amnesty International a rencontré à Alger les femmes de Hassi Messaoud victimes de violences sexuelles, et s’est renseignée sur les conclusions de la justice sur cette affaire. En termes de recommandations, Amnesty International a invité l’Algérie «à se conformer aux obligations internationales, notamment à la convention des Nations unies pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes».

                Le conférencier a relevé que «toutes ces violences contre les femmes ont laissé des séquelles et des conséquences sérieuses sur la situation morale, légale et matérielle de milliers de femmes et d’enfants». Evoquant par la suite les questions des détenus et des disparus, les représentants d’Amnesty International ont pointé un doigt accusateur sur les établissements pénitentiaires qui, selon leurs conclusions, «sont à l’origine des tortures et des disparitions de beaucoup de personnes».

                Les disparus auxquels la délégation fait allusion ne sont pas ceux qui ont disparu durant les années de terrorisme, mais ceux «soupçonnés d’appartenance à des groupes armés, qui ont été arrêtés et puis ont disparu dans des conditions mystérieuses», a dévoilé M. Philip Hensmans.

                Après une visite dans plusieurs établissements pénitentiaires, les membres de la délégation ont affirmé qu’ils ont reçu des allégations sur des cas de torture et d’abus «commis par des agents des services sécuritaires». Cependant, ils sont dans l’impossibilité de confirmer ces informations auprès du ministère de la Défense nationale qui n’a donné aucune suite à la demande d’entretien qui lui a été adressée par l’ONG internationale.

                Pour ce qui est de l’initiative d’amnistie générale, la délégation a fait part de ses réserves quant à tout commentaire sur cette question. «Nous ne pouvons pas tirer des conclusions sur un projet dont nous ne connaissons que le nom», a déclaré le conférencier, avant d’ajouter que son «organisation est prête à collaborer à ce projet, à condition que la justice soit rendue et que l’impunité ne soit pas érigée en règle».

                «Les victimes et leurs familles ont droit à la vérité, quels que soient les responsables des malheurs qui les ont frappés.» «Oublier l’histoire, c’est se condamner à la revivre et accorder l’impunité aux auteurs des abus, c’est ouvrir la porte à des tragédies futures», a souligné encore l’orateur.

                Revenant sur la situation générale des droits de l’homme en Algérie, Amnesty International a conclu dans son rapport préliminaire que l’Algérie, malgré la volonté politique et les efforts fournis en la matière, «a devant elle un travail urgent à faire, notamment en ce qui concerne la promotion de la liberté de la presse et de l’expression». «Si l’Algérie veut se reconstruire sur de nouvelles bases et instaurer la paix et la réconciliation, il est clair que le respect des libertés syndicales, des libertés d’expression est une condition fondamentale», a souligné le conférencier, qui ne termine pas son chapitre sans condamner les peines de prison requises contre des journalistes. R. M


                le débat est ouvert :
                deux questions simples:

                1 er __qui est contre ? et pourquoi?
                2 emme__ qui est pour ?, justifiez vous!

                merçi de participer a ce débat!

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                • Salam,

                  L'internet aide beaucoup le monde de communication, s'il est bien utilisé il ferait des merveilles: voici une publication sortie sur le sujet de l'aministie en l'algérie des editions Hoggar. Le livre est un collections de contributions : Me Ali Yahia Abdennour, Mehri, Addi, Aggoun, Joinet, ........ Cette publication est disponible en ligne ( sous forme Zippée). ' peut ¸etre consculté:

                  http://www.hoggar.org/modules.php?na...ReadBook&id=12
                  De l'algérie je suis nostalgique

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                  • «Les victimes et leurs familles ont droit à la vérité, quels que soient les responsables des malheurs qui les ont frappés.»
                    C'est la phrase que je retiens de ce texte. La vérité est la principale motivation de la justice. Tous les acteurs du drame algérien doivent répondre de leurs actes sans exclusive. Le choix du pardon ne peut revenir qu'aux familles à mon avis.
                    Surtout, soyez toujours capables de ressentir au plus profond de votre coeur n'importe quelle injustice commise contre n'importe qui, où que ce soit dans le monde. C'est la plus belle qualité d'un révolutionnaire.
                    Ernesto guevara

                    Commentaire


                    • Grâce à Dieu, Je n'ai perdu aucun de mes proches. Je suis donc indécis. Mais même si j'avais perdu l'être le plus proche (ma mère) j'accepterais le verdict du peuple si le referendum est réellement démocratique.

                      Commentaire


                      • Nouvelle Constitution et Amnistie Générale

                        Salam,

                        Pourfaire le comble le régime ne recule devant rien, insulter la mémoire des victimes, et aller de l'avant en adaptant à sa forme une nouvelle constitution et une amnistie generale pour eux meme: faut il combattre cette option ?


                        --------------------
                        Quotidien L'expression 31 Mai 2005:
                        NOUVELLE CONSTITUTION ET AMNISTIE GÉNÉRALE
                        Un double référendum à la rentrée
                        31 mai 2005 - Page : 3

                        Sur les deux sujets, le chef de l’Etat s’est explicitement exprimé, en affichant sa préférence pour la voie du référendum.

                        A la prochaine rentrée sociale le corps électoral sera convoqué pour voter la nouvelle Constitution et l’amnistie générale. Les deux consultations auront lieu le même jour, annoncent des sources généralement bien informées. Ne pas surcharger le calendrier électoral est l’un des principaux soucis des décideurs.
                        ------

                        http://www.lexpressiondz.com/T20050531/ZA4-0.htm
                        De l'algérie je suis nostalgique

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                        • Je ne pense pas qu'il soit question de juger des personnes au cas par cas.

                          Je ne pense pas non plus que l'idée d'une amnistie conduise à une totale impunité de certains criminels connus.

                          Tous les terroristes n'ont pas été répertoriés au sein des services de sécurités et pour ceux qui l'ont été, personne ne sait (sauf leurs acolytes) précisemment quels crimes ils ont peu commettre (vol, assassinat, viol etc...)

                          D'autre part, il faut savoir que si les terroristes islamistes ont commis des crimes, les services de sécurités en ont commis aussi de tout aussi graves.

                          L'instruction du dossier ''Algérie: les années de sang'' ne peut se faire sereinement.

                          Les Algériens, de près ou de loin ont tous été victimes de l'horreur de ces années là.

                          Familles des victimes du terrorime, Familles des victimes des services de sécurités, réglements de comptes...

                          Comment faire: Juger tous les terroristes sans exceptions et tous les membres de services de sécurités ayant outrepassés leurs prérogatives en commettant eux aussi des crimes de sang?

                          Techniquement, c'est impossible et l'Algérie n'aura pas fini les procès qu'elle aura ouvert encore dans vingt ans.

                          Cela ne fera que maintenir la haine entre les Algériens même si les victimes du terrorisme sont plus nombreuses que celles des services de sécurités.

                          Est ce là le but? Est ce que c'est l'atmosphère dans laquelle l'Algérie devra évoluer?

                          Il y'aura probablement des procès, comme il y'en a en ce moment qui concerneront certains ''chefs terroristes'' ou ''bras droits'' qui devront répondre au nom des algériens qui en ont terrorisés d'autres. Cela pour dire qu'il n'ya pas d'impunité.

                          Mais je crois qu'une reconciliation est nécessaire. Il n'est pas facile de referemer la plaie du jour au lendemain, mais plutôt commencer maintenant et essayer de balayer la haine au fil du temps pour qu'un jour il y'ait le grand pardon entre les Algériens.

                          Tel est je crois, l'esprit de l'amnistie
                          Dernière modification par calif_70, 31 mai 2005, 19h53.
                          Qui béné amat béné castigat

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