A l’instar de plusieurs entreprises qui sont se reconverties dans la fabrication du matériel médical lié au Coronavirus, l’Entreprise Nationale de l’Industrie Electronique (ENIE), filiale du Groupe public Elec El-Djazaïr, vient d’annoncer elle aussi son lancement dans la conception et fabrication d’insufflateurs et de respirateurs artificiels.
Selon un communiqué rendu public aujourd’hui dimanche par le ministère de l’Industrie et des Mines, sur sa page Facebook, l'ENIE a décidé de mettre la main à la patte pour soulager les hôpitaux qui accusent un manque dans ces équipement, entravant ainsi le travail des professionnels de la santé dans l’accomplissement de leur devoir d’assistance aux malades.
L’ENIE s’est ainsi engagée dans la conception d’un «mécanisme d’insufflateur artificiel» qui remplacera l’intervention manuelle d’assistance respiratoire à travers les moyens traditionnels, explique-t-on.
L’insufflateur en question est une version extrêmement simplifiée des respirateurs artificiels classiques, selon le même communiqué.
Le prototype a été spécialement conçu, développé et configuré pour répondre aux besoins des patients dont les capacités respiratoires auraient été affectées des suites d’une infection virale ou autres maladies et qui nécessitent une assistance automatisée pour le maintien ou l’amélioration de la fonction respiratoire.
L’Entreprise publique, s’est également lancée, après la publication en date du 31 mars 2020, de la décision de la société Medtronic de la cession, sur un plan humanitaire, de ses droits d’auteur sur l’invention du système de respiration médicale PB560, dans la fabrication des respirateurs artificiels dans le but de contribuer pour contenir cette pandémie, précise le ministère de l’industrie.
Algerie1
Selon un communiqué rendu public aujourd’hui dimanche par le ministère de l’Industrie et des Mines, sur sa page Facebook, l'ENIE a décidé de mettre la main à la patte pour soulager les hôpitaux qui accusent un manque dans ces équipement, entravant ainsi le travail des professionnels de la santé dans l’accomplissement de leur devoir d’assistance aux malades.
L’ENIE s’est ainsi engagée dans la conception d’un «mécanisme d’insufflateur artificiel» qui remplacera l’intervention manuelle d’assistance respiratoire à travers les moyens traditionnels, explique-t-on.
L’insufflateur en question est une version extrêmement simplifiée des respirateurs artificiels classiques, selon le même communiqué.
Le prototype a été spécialement conçu, développé et configuré pour répondre aux besoins des patients dont les capacités respiratoires auraient été affectées des suites d’une infection virale ou autres maladies et qui nécessitent une assistance automatisée pour le maintien ou l’amélioration de la fonction respiratoire.
L’Entreprise publique, s’est également lancée, après la publication en date du 31 mars 2020, de la décision de la société Medtronic de la cession, sur un plan humanitaire, de ses droits d’auteur sur l’invention du système de respiration médicale PB560, dans la fabrication des respirateurs artificiels dans le but de contribuer pour contenir cette pandémie, précise le ministère de l’industrie.
Algerie1
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