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L'histoire du Gaz de Schiste est une diversion du pouvoir pour faire passer sa constitution

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  • #16
    Bachi
    oumma el ghoula
    Rien compris à ce que tu dis ici ?!

    Bachi
    Le schiste, c'est oumma el ghoula pour les Algériens. Ca se fera, un jour ou l'autre.
    On est d'accord.

    Mais ca ne doit jamais se faire dans l'état actuelle des techniques, de nos moyens et dans un tel environnement maffieux.

    D'Après les experts, les nouvelles techniques (Fracturation au fluoropropane, techniques à priori beaucoup moins polluante) dont on parle aujou'dhui, ne pourront être exploitées et industrialisées qu'à partir 2030 à 2032.
    Car c
    ette technique reste encore à optimiser pour la rendre vraiment rentable.

    D'ici là, on pourra dégager nos maffieux qui ne savent que vendre notre bas de laine, l'économie de la rente, pour se maintenir au pouvoir, et nous, nous devrions nous prendre en charge et nous retrousser nos manches.
    Dernière modification par Pomaria, 24 janvier 2020, 16h20.
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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    • #17
      @Shadok

      On en parlera dans 3 mois quand la marmite aura chauffé et que ce pouvoir va nous servir sa soupe...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #18
        L'Algérie doit attendre des décennies jusqu'à ce que la technologie trouvera éventuellement une meilleur technique pour l'exploitation de ce gaz sans répercussions sur l'environnement et sur la nappe de l'albien puisqu'ils disent que le pétrole et le gaz conventionnels s'épuiseront vers 2030
        Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
        (Paul Eluard)

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        • #19
          Très pertinent Accapulco, et 2 ministres de ce gouvernement disent la même chose... et c'est pour ça que c'est une grossière diversion qui va mettre en rogne les yankees...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #20
            Tebboune était hésitant hier lors de sa rencontre avec les médias sauf pour la question du gaz de schiste ou sa réponse à été catégorique : l'Algérie compte exploiter le gaz de schiste .IL a fait comprendre que notre situation économique et financière du pays nous obligeait à cette option .
            Le système maffieux compte beaucoup sur cette nouvelle source d'énergie pour remplir de nouveau la caisse de réserves de change et permettre au système maffieux de continuer sur la même voie de distribution de la rente . ILS vont dans quelque temps lâcher la machine de propagande pour faire croire au peuple que notre survie dépend de l'exploitation du gaz de schiste , et faire le choix entre l'option gaz de schiste ou la misère .

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            • #21
              c'est une grossière diversion qui va mettre en rogne les yankees...
              Tant pis pour les yankee , nous Algériens (le peuple) on doit faire passer l'intérêt du pays et non celui des yankees , est-ce que l'inverse est juste ?
              Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
              (Paul Eluard)

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              • #22
                il ya une diversion et machination du dossier Schiste ....pour aller plus pur que le Schiste

                par exemple la pollution de La cyanuration et ces catastrophe écologique sur les nape phréatique
                dz(0000/1111)dz

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                • #23

                  Commentaire


                  • #24
                    @ott

                    Détrompe toi, ce pouvoir va céder sur le gaz de schiste. Et dira aux yankees, vous voyez, je suis démocrate et j'écoute mon peuple...
                    Détrompe-toi, c’est juste un ballon de sondage, ils reviendront sur le Gaz de Schiste. Ces incompétents ne savent rien faire à part la rente pétrolière. Ils savent que les réserves financières de l’Algérie s’amenuisent et les années à venir seront difficiles. Tebboune, comme l’a fait Ouyahia, menace les algériens : soit vous acceptez le Gaz de Schistes soit vous acceptez la situation difficile que vivra le pays.
                    Dernière modification par shadok, 25 janvier 2020, 01h19.
                    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                    • #25
                      Où va la production d’Amesmassa ?

                      Le stock d’or stagne a 173,6 tonnes depuis 2015: Où va la production d’Amesmassa ?

                      Le Conseil Mondial de l’Or (WGC) vient de classer l’Algérie parmi les plus importants pays détenteurs d’or. Avec 173,6 tonnes en stock notre pays figure en effet parmi les 25 nations qui détiennent les plus grandes réserves d’or dans le monde.
                      Dans ce tout récent bulletin datant d’à peine une dizaine de jours, cet observatoire international de la production et des transactions aurifères, donne une appréciation positive de cette importante épargne en or dont les prix n’ont pas cessé d’augmenter depuis la crise économique de 2008 et qui continuent aujourd’hui encore, en raison des difficultés qui affectent les principales locomotives économiques du monde. Considérée comme une valeur refuge dans les périodes de crises, l’or a, comme l’indiquent les mercuriales, fortement augmenté de prix au cours de ces dix dernières années, pour atteindre 1561,74 dollars l’once (31 grammes) le 24 janvier dernier à la bourse de New York. A cette date on peut donc chiffrer le stock algérien à environ 10 milliards de dollars.

                      On trouve à la tête des pays possédant les plus importantes réserves d’or, les États-Unis qui continuent de dominer avec un stock de 8.134 tonnes, suivis par l’Allemagne avec une réserve en légère progression de 3.370 tonnes et l’Italie avec 2.452 tonnes. La France en compte 2.436 tonnes.

                      Si en matière de classement mondial, l’Algérie est loin de ces mastodontes, au niveau régional elle s’en tire par contre plutôt bien, puisqu’elle arrive à la troisième place avec ses 173,6 tonnes, juste après l’Arabie Saoudite et le Liban et, bien loin devant, la Libye (117 t), l’Irak (96 t) et l’Égypte (79t).

                      Si les statistiques du Conseil Mondial de l’Or, indiquent des variations périodiques de stocks pour chacun des pays concernés, il est tout de même étonnant de constater sur les tableaux de ces cinq dernières années, que l’Algérie déclare toujours la même quantité qu’elle avait quantifié en 2015, soit 173,6 tonnes. N’ayant à notre connaissance ni vendu, ni acheté des lingots d’or le niveau inchangé du stock a de quoi susciter des interrogations. D’aucuns s’étonnent en effet de cette curieuse stagnation de la réserve d’or algérienne qui aurait du connaître une augmentation ne serait-ce que du fait de l’apport des mines d’Amesmassa, Tirek et Tiririne (Tamanrasset), qui auraient extrait, au minimum 20 tonnes d’or au cours de ces cinq dernières années, selon les chiffres du ministère de l’Industrie et des Mines. Où est passé cette production d’or dont au moins une partie aurait du rejoindre les coffres forts de la Banque d’Algerie? Ni cette dernière, ni même, la société nationale qui exploite les gisements d’Amesmassa et Tirek (ENOR) n’ont soufflé mots sur cette énigme qui intrigue l’opinion publique algérienne. La question est importante, notamment en ce début de récession économique et on ne comprend pas pourquoi, les députés et sénateurs, dont la vocation est de faire la lumière sur tout ce qui touche au patrimoine public, n’ont pas invité le Gouverneur de la Banque d’Algérie à s’expliquer, en tant que premier responsable de nos réserves d’or ? Seul l’ex ministre de l’Industrie et des Mines, Youssef Yousfi, avait été interrogé en 2018, sur cette intrigante question de la production d’or qui n’est comptabilisée nulle part. Ce dernier avait, comme on s’attendait, volontairement zappé la question en centrant sa réponse uniquement sur la mauvaise santé financière de l’ENOR et sur une probable reprise de la production après l’assainissement financier dont venait de bénéficier l’entreprise. Le ministre avait même tablé sur une production de 2,86 tonnes en 2018. Faute d’informations fiables nous ne sommes évidemment pas en mesure de faire état du niveau de production atteint à cette date, ni même, où elle en est aujourd’hui.

                      On ne comprend toujours pas pourquoi, dans l’état actuel de nos réserves de change (moins de 50 milliards de dollars), de recul de l’investissement et de très forte hausse de la demande sociale, le gouvernement algérien donne si peu d’importance à cette question centrale du stock d’or qui stagne anormalement au même niveau depuis bientôt cinq années.

                      Il sait pourtant pertinemment qu’une augmentation de cette réserve d’or est de nature à donner à nos partenaires étrangers une idée plus positive de la santé financière du pays.

                      En effet, pour les opérateurs étrangers, plus le stock d’or est élevé, plus la solvabilité de l’Algérie est forte, notamment au regard des investisseurs et créanciers. Immédiatement convertible en moyens de paiement, l’or représente effectivement, au même titre que les réserves de change, une garantie supplémentaire à même de susciter d’intenses courants d’affaires avec l’Algérie, quand bien même, les recettes d’hydrocarbures seraient en baisse.
                      Par Nordine Grim - 25 janvier 2020 / 11 :06
                      dz(0000/1111)dz

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                      • #26
                        @Shadok

                        La position de Chitour sur le sujet est intéressante. Cette richesse a besoin d'une préparation longue pour une exploitation saine qui en maîtrisera tous les risque écologiques et économiques.

                        Quand les institutions démocratiques auront sécrété des organismes scientifiques indépendants, des associations écologiques crédibles, on pourra tous travailler à une exploitation saine et responsable de cette ressource.

                        Elle ne peut se faire ainsi que dans le cadre d'une représentation de la société civile saine et responsable, et certainement pas dans le cadre d'une dictature droguée au pétro dollars...

                        Ce pouvoir sait pertinemment qu'il n'a pas les moyens de faire passer le gaz de schiste au risque d'une exacerbation et une radicalisation du HIRAK. Ce qui m'a interpellé, c'est le gugus Bengrina désigné numéro 2 de la farce électorale, et ce pouvoir va l'utiliser dans son opération de charme qu'il prévoit pour le ramadhan ou juste après...
                        Othmane BENZAGHOU

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