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Un institut américain s’interroge : «L’Algérie surmontera-t-elle sa crise ?»

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  • Un institut américain s’interroge : «L’Algérie surmontera-t-elle sa crise ?»

    Un institut américain s’interroge : «L’Algérie surmontera-t-elle sa crise ?»

    AP - Le 18/01/20

    Par Houari A. – L’institut américain basé à Washington Brookings Institution s’est interrogé, dans une étude publiée cette semaine, sur la capacité de l’Algérie à «surmonter sa crise politique de longue durée». «Alors que l’armée a démis de force Bouteflika le 2 avril, le mouvement pacifique ne se contente pas des demi-mesures ou des réformes de façade que proposent les autorités. Au lieu de cela, le gouvernement doit répondre aux demandes du Hirak et initier un véritable changement, plutôt que d’utiliser des subterfuges pour maintenir le système actuel», note cet institut, qui rappelle que «des millions d’Algériens défilent toujours dans le pays tous les vendredis pour exiger le démantèlement du régime et la mise en place d’un véritable système démocratique civil».

    «Confronté à un mouvement de protestation vigoureux, le gouvernement Bouteflika a lancé une feuille de route avant son éviction le 2 avril. Le puissant vice-ministre et chef d’état-major, Ahmed Gaïd-Salah, a cherché à mettre en œuvre ce plan. Son objectif était de nommer un Président fidèle pour fournir une façade civile aux militaires afin de maintenir le même système», souligne l’étude de Brookings, en précisant que si «le Hirak a réussi à forcer le régime à annuler les deux élections prévues en avril et juillet, Gaïd-Salah a pu imposer une nouvelle date, le 12 décembre, sans tenir compte de la volonté du peuple». «La participation des électeurs à ce scrutin était la plus faible de l’histoire de l’Algérie», rappelle l’institut qui constate que «le Hirak est resté remarquablement pacifique» et «n’a pas perdu de son élan».

    Pour Brookings Institution, le nouveau gouvernement a «échoué», car il «s’attendait à ce que ce processus apaise le Hirak, mais en vain», en notant que le fait qu’Abdelmadjid Tebboune soit désormais le ministre de la Défense et le chef suprême des forces armées, «cela ne prouve pas qu’il détient le véritable pouvoir». «Ainsi, selon le think tank américain, le président Tebboune a raté une occasion de susciter la confiance entre l’Etat et la société et d’entamer une véritable transition vers un ordre politique démocratique». «Sans surprise, les manifestants ont de nouveau rejeté le dialogue avec ce qu’ils considèrent comme un Président et un gouvernement illégitimes», observe Brookings pour lequel «les nouvelles autorités ont fait peu de concessions au Hirak».

    S’agissant du dialogue proposé par Tebboune, celui-ci «ne sert à rien d’autre, dans les circonstances actuelles, qu’à donner au gouvernement un semblant de légitimité», selon l’institut américain qui indique que «la crise n’est pas seulement politique», en ce sens que «l’économie a beaucoup souffert depuis l’effondrement des prix du pétrole en 2014». Et d’expliquer qu’Abdelaziz Djerad n’a pas nommé un ministre de l’Economie «probablement parce qu’aucun économiste de premier plan – comme Ahmed Benbitour – ne souhaite se joindre à un Exécutif qui pèche par un manque de légitimité».

    «Au-delà de l’économie, la poursuite de la crise représente un risque pour la sécurité, l’Algérie fait face à des menaces majeures le long de ses frontières, notamment en Libye et au Sahel», rappelle enfin Brookings Institution qui prône une «véritable transition démocratique à travers une Assemblée constituante ou tout autre mécanisme de transition consensuel» qui doit passer par la «dissolution du Parlement actuel».
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Qu'attend Tebboune pour dissoudre le parlement et le SENAT ??? Tout ce qui faisait le pouvoir de Bouteflika doit disparaître : les institutions , les partis de l'allégeance et syndicats , associations et en priorité les hommes et les femmes utilisés.

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    • #3
      L'election d'une assemblée constituante devra être concomitante à la dissolution des 2 chambres, il en va de soi...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        je me méfie comme de la peste de ces think thank et autres instituts américains de mes deux, ils ne sont que d'obscures officines de la CIA et rien d'autres
        les Américains n'ont absolument aucune volonté d'anticiper pour faire évoluer un pays tiers dans le bon sens, TOUS LEUR EFFORTS de PROPAGANDE n'est destiné qu'à affaiblir les Etats et leur implanter leur services et sytèmes et qui obligent les etats à negocier en position faible avec leur mutlinationales prédatrices

        l'Algérie y était déjà dans leur crocs durant le règne de Bouteftef, sauf qu'une fois, dégommé, rien ne dit que les courants politiques ( ou militaires ) dominantes en Algérie pencheraient pour les USA<

        d'ailleurs, on y est plein dedans, on n'est pas sorti encore du marécage sur cette question d'influence étrangères ( démocratie pluraliste ou pas, c'est secondaire )

        la constituante suppose qu'on dispose d'alliés géopolitiques sûrs, afin d'accompagner les longues années de négociations violentes entre islamistes et berberistes ( ou modernistes ) et la paupérisation croissante de la population, bonjour les dérives


        l'exemple tunisien est un paradis ( 2 ans de palabres et c'est pas terminé reellement ) par rapport à notre enfer assuré


        au temps d Ait Ahmed, on pouvait esperer une espèce de garantie morale, aujourd'hui, c'est la porte ouverte à une libye bis

        donc, la constituante est devenue ( malheureusement ) une stupidité politique, comme d'ailleurs, la "periode de transition" qui serait concédée par l'armée, c'est encore plus stupide

        si on veut l'une de ces deux solutions, il faut que le Hirak soit à la hauteur et doit peser dans la balance avec un pouvoir de nuisance réel ( pas obligé de quitter la silmiya pour autant, mais c'est pas facile d'y demeurer efficace et je le dit d'emblée je suis contre toute violence légitime ou illégitime, voilà qui est dit )

        pour le moment, c'est Teffoune qui est à la manoeuvre, bon ou pas bon, on le saura avec le temps, pourvu que ce temps soif bref.

        le Hirak, inchallah.
        Dernière modification par tizi oualou, 21 janvier 2020, 17h56.

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        • #5
          On joue avec les peurs...

          Notre parlement et sénat sont des chambres d'enregistrement depuis qu'ils existent c-a-d 40 ans. Tenter une assemblée constituante sans salaire pour les députés pour sortir les grands principes de l'état de droit et des équilibres des pouvoirs est dans la bonne direction, car ce sera la voie vers d'autres compromis politiques plus tard.

          Entre temps, ce pouvoir illégitime sera chargé des affaires courantes et verra sa date de péremption à la fin des travaux avec un retour aux urnes une fois l'accord constitutionnel obtenu... le plus rapidement pour aller vers une élection présidentielle et législative, selon le type de régime choisi.

          Quant aux yankees, ils analysent des situations que tous connaissent, et le manque de légitimité de ce pouvoir qu'ils mettent en exergue est connu de tous. Ils parlent de 2 processus possibles, celui prôné par le pouvoir en une conférence de dialogue nationale, et celui d'une assemblée constituante.

          Je n'ai aucune confiance en ce pouvoir et préfère sortir un texte fondateur de l'état moderne, en y incluant les conditions de son applicabilité...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #6
            La question qui seras le nouveaux SG du partis FLN ?
            dz(0000/1111)dz

            Commentaire


            • #7
              قالت مجلة الإيكومنيست البريطانية المتخصصة في تحليل القضايا الاقتصادية والسياسية، عبر صفحتها الرسمية بالفيسبوك، أنّ الجزائر خرجت من دائرة الدول الإستبدادية، وذلك بعد نجاح الحراك الشعبي في إزاحة الرئيس السابق بطريقة سلمية.
              كما أشار تقرير المجلة السنوي، الى تحسن الوضع الديمقراطي في الجزائر، مؤكدا أنها انتقلت من خانة الدول الاستبدادية إلى خانة النظام الهجين، وذلك بعد استقالة الرئيس عبد العزيز بوتفليقة العام الماضي.

              وأضاف التقرير، أنّ الجزائر قفزت من المرتبة 126 لرتبة 113 من أصل 167 بلد في تصنييف الديمقراطية، فيما احتلت المرتبة الرابعة عربيا بعد كل من تونس المغرب ولبنان.

              كما أنّ مؤشر الديقراطية يعتمد على قواعد، هي المشاركة السياسية والعملية الانتخابية والأداء الحكومي والتعددية السياسية والحريات العامة وسيادة القانون والمساواة.

              : ennaharonline


              dz(0000/1111)dz

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              • #8
                Les britishs aiment bien la démocratie cause toujours... ils l'ont pratiqué pendant des siècles avant que des réformes démocratiques réduisent certains privilèges aristocratiques...
                Othmane BENZAGHOU

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                • #9
                  pour le moment, rien n'a changé de fondamental, la 'démocratie' british qui est ma foi fort alléchante pour nous autres crève savate, n'est qu'un cache sexe de celui qui est derrière les commandes de tout l'UK et pratiquement les 3/4 de l'humanité,

                  Tout, absolument tout, découle de la City de Londres, le nid à frelons, et sa "Reine", pas la sorcière elisabeth mais le banquier ROTSHCHILD, et dire que c'est grâce aux stupides musulmans...et juifs de l'Espagne colonisée que tout cela est arrivé

                  à partir de là, tout le reste est littérature.

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                  • #10
                    Question du blanchiment de l’argent sur la place de londres

                    Selon la définition générale formulée par le Groupe d’action financière (GAFI), le blanchiment de capitaux est défini comme le fait de camoufler le produit du crime par des moyens légaux.

                    Si on se réfère au CIA Factbook, Londres est considéré comme un « centre du blanchiment d’argent », d’autres sources telles que Transparency international, confirme ce constat et estime que 100 milliards de livres britanniques sont issues du crime organisé en Grande-Bretagne. De plus, en Décembre 2018, Duncan Hames, directeur des politiques au sein de Transparency International UK, a déclaré :

                    « La réglementation britannique de lutte contre le blanchiment de capitaux dans le secteur privé reste faible, fragmentée, et manque de dissuasion crédible. Le gouvernement devrait adopter les lois sur la responsabilité des entreprises, celle-ci promises de longue date, afin de demander aux entreprises de rendre compte de leur rôle dans le blanchiment d’argent sale au Royaume-Uni. »



                    La fragilité de la place de Londres

                    Malgré l’ensemble des lois, mesures et conventions internationales prises contre le blanchiment de capitaux et la lutte contre le financement du terrorisme, la Grande-Bretagne garde une flexibilité évidence dans la façon d’enregistrer les sociétés ainsi que dans la manière de dissimuler les réels bénéficiaires économiques. Les révélations des panama papers, et autres affaires montrent une directe liaison entre les juridictions historiquement placées sous la responsabilité de la couronne britannique, et le blanchiment d’argent.

                    L’ONG Transparency international estime que plus de 86 000 propriétés immobilières britanniques appartiennent à des sociétés étrangères, implantés dans des juridictions étrangères, très souvent au sein du Commonwealth, où il est impossible d’identifier leur propriétaire physique. Bien que moralement repréhensible, cette concurrence déloyale par le jeu des juridictions, et îles britanniques aux statuts particuliers, profite au Royaume unis, ou les cas de blanchiment de capitaux sont actuellement évalués à plus de 90 milliards de livres par an.

                    À l’approche du Brexit, visiblement sans accord raisonnable, l’avenir économique et financier du Royaume-Uni suscite de plus en plus d’inquiétudes pour les autorités britannique. Parmi ces craintes, une tourmente économique, une volatilité boursière, et un assèchement des investissements. Comme l’expliquait Antonio Maria Costa (chef de l’Office des Nations Unies contre la drogue) lors de la crise des subprimes, plusieurs banques en manque de liquidités n’ont pas hésité à blanchir l’argent de la drogue pour un montant de 325 milliard de dollars US. Loin d’atteindre cette ampleur, les autorités britanniques sont néanmoins soucieuses de ce risque et prennent en compte la menace réelle de la montée du blanchiment d’argent. Le National Crime Agency (NCA), a déclaré avoir reçu 463 938 rapports d’activités suspectes en 2018, soit près de 10% de plus que l’année précédente. Les préoccupations concernant le blanchiment de capitaux avérés, ont quant à eux augmenté de 20%, pour atteindre 22196 cas en 2018. L’instabilité parlementaire du royaume, l’imbroglio politique, et l’indécision populaire créent autant d’opportunité de « placer » des capitaux étrangers en Grande-Bretagne

                    Avec un Brexit sans accord, les craintes concernant la sécurité budgétaire du Royaume-Uni sont de plus en plus grandes. Le Royaume-Uni deviendrait ainsi un pôle d’attraction encore plus important pour la criminalité en col blanc.

                    Utilisant implicitement l’argument fiscal et économique, afin d’obtenir des concessions de la part de Bruxelles, Londres brandit la thèse de la flexibilité, et des taux d’impositions plus compétitifs, créant ainsi une zone de complaisance fiscale aux portes de l’Europe. Le premier ministre Johnson a souligné la possibilité d’installation de ports francs, et de zones à fiscalité avantageuse, afin d’attirer les capitaux étrangers. Cette situation nouvelle ouvre la voie à nombreuses opportunités de blanchiment d’argent, facilitées par le flou règlementaire et l’incertitude post-Brexit.

                    Dans un tel contexte, il est à craindre un attrait potentiel de la City pour les capitaux d’origine criminelle. Cette soif d’investissement a amené l’économie britannique à être infiltrée par la mafia. En 2018 le Sunday Times explique comment la Ndrangheta calabraise a détecté l’avantage d’un besoin d’investissement, avec la flexibilité comptable britannique. Les cas les plus utilisés sur la place boursière de Londres sont ce que l’on appelle le trading miroir. Cela consiste à acheter des produits boursiers dans une devise, et revendre ces mêmes produits en euro ou dollars. Ceci fut le cas pour le client d’une banque basé à Moscou, qui à partir de roubles a pu les convertir en dollars américain pour un total d’au moins 6 milliards en dollars en utilisant les marchés. Une fois convertis en devise facilement échangeable, ces capitaux peuvent alors être transférés sur des comptes bancaires européens dans des pays tels que Chypre, Malte, l’Estonie et la Lettonie.



                    Les alternatives londoniennes de guerre boursière

                    La Grande-Bretagne dispose d’autres stratégies financières du fait de son écosystème financier regroupant un ensemble d’acteurs, qui conjointement peuvent fragiliser l’Union Européenne avec la méthode du shadow banking. En effet, les prêteurs, courtiers et autres intermédiaires de crédit ne relèvent pas du secteur bancaire conventionnellement réglementé, et donc disposent de plus de liberté que les institutions bancaires. Evoluant en dehors des régulation bancaire avec une puissance financière de 2.2 trillions de livres, le shadow banking britannique dispose d’une capacité de nuisance et de déstabilisation des plus importantes. En effet, les banques britanniques n’ayant pas la possibilité de réaliser certaines actions sur les marchés, celles-ci délèguent leurs taches aux acteurs non soumis à la règlementation bancaire. Dans un contexte de guerre économique les cibles sont les actions non cotées, produits dérivés non cotés, ou encore les credit default swap[2] (CDS) afin de déstabiliser des établissements ou juridictions concurrentes. Depuis mars 2019, une ligne swap c’est-à-dire d’échange, fut ouverte entre la banque centrale européenne et la banque d’Angleterre, permettant à ces deux institutions d’échanger dans leurs propres devises, mais aussi à la banque centrale européenne de prêter aux banques britanniques afin d’éviter une banqueroute.

                    Cependant, dans un contexte de crédit historiquement bas, le shadow banking par CDS, pourrait mener à parier sur un effondrement du système bancaire européen et une insolvabilité des établissements européens en difficulté, dont des banques italiennes et espagnoles, ainsi que la Deutsche Bank, la Commerzbank et plusieurs banques régionales allemandes.

                    La récente étude du cabinet McKinsey explique qu’une banque sur trois est menacée de disparition dans le monde. Au même titre que Georges Soros ayant spéculé contre la livre britannique en 1992, nous pouvons craindre une situation similaire de la part de nos alliés britannique contre l’Europe.

                    Le Royaume-Uni, à défaut de trouver une sortie diplomatique de l’UE, devrait chercher à conclure des accords de partage de données financières, qui bénéficieraient à tous les pays de l’UE.

                    La lutte contre la criminalité financière va devenir plus difficile et nous devons nous y préparer collectivement. Les représentants britanniques font preuve de cynisme en utilisant indirectement la fraude, le dumping, et le blanchiment de capitaux afin de négocier, ou à terme de déstabiliser une Europe déjà fragile sur les questions fiscale.

                    Ahmed Graouch
                    dz(0000/1111)dz

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                    • #11
                      Cet institut américain n'apporte rien de nouveau.
                      Le régime algérien est en crise depuis l'indépendance. Le coup de force de l'armée des frontières de Boumedienne à instauré un pouvoir militaire qui s'est renforcé de plus en plus .
                      Le Hirak dénonce le système maffieux dirigé par les militaires qui a mené le pays à cette situation désastreuse.

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                      • #12
                        Ave"c l'histoire du gaz de schiste, nos potentats démontrent aux yankees qu'ils sont les seuls qui pourraient conforter une alliance stratégique avec eux. Ils ont imposé une loi sur les hydrocarbures à 2 mois des présidentielles, puis ouvrent le dossier gaz de schiste de la même manière qu'en 2014, en préparant son échec et en engrangeant les dividendes politiques internes et externes... Parmi elles, de tuer dans l’œuf toute solidarité américaine avec le Hirak...
                        Othmane BENZAGHOU

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                        • #13
                          Salem ott
                          Ave"c l'histoire du gaz de schiste, nos potentats démontrent aux yankees qu'ils sont les seuls qui pourraient conforter une alliance stratégique avec eux.
                          Très possible ...

                          ott
                          Parmi elles, de tuer dans l’œuf toute solidarité américaine avec le Hirak...
                          Solidarité ? Mais de quelle solidarité américaine tu parles ? Il y en a jamais eu.

                          Leur neutralité avec le HIRAK dans cette affaire est très claire.
                          Si ce n'est des accords avec notre POUVOIR en catimini sur l'exploitation du Gaz Schiste.
                          Dernière modification par Pomaria, 24 janvier 2020, 09h02.
                          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                          Commentaire


                          • #14
                            Les yankees à travers certains Think Tank et autres organismes ont encouragé le dialogue et parlent même d'assemblée constituante. Un sacrilège pour notre pouvoir. Il ont primé notre véto Djadid avec le prix du plus grand démocrate de l'année, et il s'empresse à remplacer Benflis dans son rôle du plus grand "opposant" de ce régime...

                            Notre pouvoir signifie aux yankees, qu'il faut oublier la démocratie s'ils veulent une alliance stratégique avec notre état profond et son armée, dans la pure tradition de la diplomatie parallèle initiée par Zeghar à l'époque de Boumediene... rappelons nous, libéré de taule suite à une pression exercée par Bush père en personne, vice président des USA et ancien patron de la CIA lors de la visite de Chedli aux states en 1986...
                            Othmane BENZAGHOU

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                            • #15
                              les Américains ne considèrent l'Algérie que par les moyens de pressions, ils n'ont absolument rien à secouer ( et ne comprendront jamais notre façon étrange de vivre ou de ou de gouvener, peuple comme autorités ) et donc nous considèrent clients tant qu'on a du dollar
                              sinon, en parallèle, ils tissent des rezos de corruption avec les milliardaires ( et donc les potentiels vrais interlocuteurs ) comme ott vient de préciser pour le zeghar

                              les Américains, à part noyer un Etat par des rézos mafieux ( generaux busnessman ou patrons à la rabrab ) n'ont que faire de nos systemes politique, le leur n'est que corruptions à grande echelle et rien d'autres

                              ou alors, ils actionnent leur barbouzes en sous main quand il n y a ni Generaux ni les business men, les Daechs, les Boko haram, les AQMI et compagnies, sans compter le reso des drogues et trafic en tous genres, c'est la spécialité des USA pour des pays pauvres ou en voie de l'être

                              alors leur think tank à la noix, c'est juste pour des masturbations intellectuelles loooool

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