Le sujet m’est inspiré par l’intervention d’un journaliste du CPP :
L'architecture du système politique algérien a été articulée autour de trois piliers : La présidence, les services de sécurité et l’armée. Ces trois piliers incarnés par Bouteflika (et son frère), Toufik Médiene et Gaid Salah ont régné en maitre sur ce pays avec un centre de gravité en perpétuel mouvement entre les trois acteurs.
Le Hirak, quoi qu’en dise les uns ou les autres, a emporté deux des trois piliers du système (charriant la 3issaba affiliée à eux) et a buté sur la résistance du troisième.
Maintenant que la mort a rattrapé Gaid Salah, troisième pilier du système, que les partis relais (FLN, RND, HMS, …) sont discrédités et affaiblis comme jamais, et un président mal-élu « quel serait la projection de l’Algerie au vu de cette nouvelle donne que le pays n’a jamais connu ? »
L'architecture du système politique algérien a été articulée autour de trois piliers : La présidence, les services de sécurité et l’armée. Ces trois piliers incarnés par Bouteflika (et son frère), Toufik Médiene et Gaid Salah ont régné en maitre sur ce pays avec un centre de gravité en perpétuel mouvement entre les trois acteurs.
Le Hirak, quoi qu’en dise les uns ou les autres, a emporté deux des trois piliers du système (charriant la 3issaba affiliée à eux) et a buté sur la résistance du troisième.
Maintenant que la mort a rattrapé Gaid Salah, troisième pilier du système, que les partis relais (FLN, RND, HMS, …) sont discrédités et affaiblis comme jamais, et un président mal-élu « quel serait la projection de l’Algerie au vu de cette nouvelle donne que le pays n’a jamais connu ? »
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