" Je trouve bizarre les gens qui tentent par une diversion de défendre l'indéfendable, "
Il s'agit pas d'une diversion, mais d'une réalité commune à tous pays. Donc, soyez démocrate et ceci quand bien ce genre de condamnation est...condamnable!
- Maroc : un journaliste condamné pour offense à Bouteflika
Le directeur d’Al Michaâl (Maroc) a été condamné par la Cour d’appel de Casablanca à une peine d’un an de prison avec sursis et l’amende de 100 000 dirhams pour offense visant le président algérien Abdelaziz Bouteflika.
Le journaliste a été condamné pour "atteinte à la personne d’un chef d’Etat", sur la base de l’article 52 du code de la presse marocain. Reporters sans frontières dénonce cette sentence et rappelle, une fois encore, la nécessité d’une réforme visant à dépénaliser les délits de presse.
Le journal marocain "Al Michaâl" a dénoncé dans un communiqué, publié le 10 mai 2006, les conditions du procès : "Le verdict n’a pris en considération aucune des nombreuses réclamations de la défense concernant les vices de forme flagrants, et dont le plus important, est le refus de la présentation de la dite requête du président Algérien".
Lors de la dernière audience les avocats du journal avaient refusé de plaider et s’étaient retirés en déclarant que "les conditions d’un procès équitable et le respect des droits de la défense n’étaient pas garantis".
L’hebdomadaire marocain avait publié, dans son édition du 31 mai au 6 juin 2005, une caricature et un article satirique commentant la vie privée du président algérien Abdelaziz Bouteflika, jugés diffamatoires par ce dernier.
www.algerie-dz.com/article5152.html
Il s'agit pas d'une diversion, mais d'une réalité commune à tous pays. Donc, soyez démocrate et ceci quand bien ce genre de condamnation est...condamnable!
- Maroc : un journaliste condamné pour offense à Bouteflika
Le directeur d’Al Michaâl (Maroc) a été condamné par la Cour d’appel de Casablanca à une peine d’un an de prison avec sursis et l’amende de 100 000 dirhams pour offense visant le président algérien Abdelaziz Bouteflika.
Le journaliste a été condamné pour "atteinte à la personne d’un chef d’Etat", sur la base de l’article 52 du code de la presse marocain. Reporters sans frontières dénonce cette sentence et rappelle, une fois encore, la nécessité d’une réforme visant à dépénaliser les délits de presse.
Le journal marocain "Al Michaâl" a dénoncé dans un communiqué, publié le 10 mai 2006, les conditions du procès : "Le verdict n’a pris en considération aucune des nombreuses réclamations de la défense concernant les vices de forme flagrants, et dont le plus important, est le refus de la présentation de la dite requête du président Algérien".
Lors de la dernière audience les avocats du journal avaient refusé de plaider et s’étaient retirés en déclarant que "les conditions d’un procès équitable et le respect des droits de la défense n’étaient pas garantis".
L’hebdomadaire marocain avait publié, dans son édition du 31 mai au 6 juin 2005, une caricature et un article satirique commentant la vie privée du président algérien Abdelaziz Bouteflika, jugés diffamatoires par ce dernier.
www.algerie-dz.com/article5152.html
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