Algériens Sans Frontières rejette l’élection du 12 décembre 2019

[zemfir]

Je ne sais pas pourquoi son parti n’a pas reçu d’agrément, je ne connais pas le dossier, il se peut que c’est justifié.
un qui sait tous mais arrivé a TABOU , rien .................traduction mounafak excuse moi mais c le dictionnaire du Hirak T-a-T ,qui donne la définition




siège facebook Espagne

[elbieroi]

oui, n'importe qui a droit à se regrouper et refléchir sur le pays et s'il a des idées...

Oui bien sur tous les algériens ont le droit de réfléchir et de participer dans la construction de leurs pays quel que soit leur tendances et quel que soit l’endroit dans lequel ils vivent.

On aimerait bien avoir des Mahrez, des Feghouli, des Andy delort en Médine, en architecture en politiques, en éducation… mais il faut que cela se fasse dans la discipline et dans un cadre légale. Cela passe comme dans tous les pays civilisés et développés à travers des partis et des associations politiques basés en Algérie et soumis au droit algérien, rien n’empêche ces partis politiques ou ses associations d’avoir des personnes ou des groupes de personnes résidents à l’étranger qui contribuent aux activités du parti.

Sinon cela devient de l’anarchie, tout le monde va créer son groupe et un jour ou l’autre va se mettre à parler au nom des algériens et aux étrangers de choisir et de promouvoir le groupe qui les arrangent, et même de donner la légitimer a des groupes donnés et discréditer tous les autres, il n y a aucun pays au monde qui a importé sa démocratie ou son développement.

[elbieroi]

Ca ne parle pas au nom de l'Algérie ni du peuple algérien, ca parle au nom de leur association ,

Il faut surfer sur les chaines algériennes ou sur les enregistrements YouTube, Tout le monde parle au nom du Hirak et par extension, dans leurs esprit au nom de tous les algériens, ou tout simplement au nom des algériens. Pire encore il y a des personnes qui prennent des position au nom du peuple algériens.

En revanche, y a des loustics au pouvoir qui parlent au nom du peuple, tel l'abruti Gaid ou l'autre plouc Tebboune,

Ceux-là non plus nom pas le droit de parler au nom du peuple, gaid peut peut-être parler au nom de l’ANP mais pas au nom du peuple nom. Ni lui, ni Bedoui, ni Bensalah, ni Teboune… ils n’ont pas été élu, personne en Algérie n’a le droit de parler au nom du peuple jusqu’à ce qu’il soit élu par le peuple.

[zemfir]

on parle pas au nom du peuple , on parle pour ceux qui veulent écouter

[Pomaria]

elbieroi

ui bien sur tous les algériens ont le droit de réfléchir et de participer dans la construction de leurs pays quel que soit leur tendances et quel que soit l’endroit dans lequel ils vivent.

On aimerait bien avoir des Mahrez, des Feghouli, des Andy delort en Médine, en architecture en politiques, en éducation… mais il faut que cela se fasse dans la discipline et dans un cadre légale. Cela passe comme dans tous les pays civilisés et développés à travers des partis et des associations politiques basés en Algérie et soumis au droit algérien, rien n’empêche ces partis politiques ou ses associations d’avoir des personnes ou des groupes de personnes résidents à l’étranger qui contribuent aux activités du parti.

Sinon cela devient de l’anarchie, tout le monde va créer son groupe et un jour ou l’autre va se mettre à parler au nom des algériens et aux étrangers de choisir et de promouvoir le groupe qui les arrangent, et même de donner la légitimer a des groupes donnés et discréditer tous les autres, il n y a aucun pays au monde qui a importé sa démocratie ou son développement.

Vu qu'il y a toute une issaba maffieuse qui a tout détruit dans ce pays et controle encore et encore toutes richesses et tous les rouages de l'état,

les algériens vont attendre que toi, tu daignes leur mettre tout ça decker et civiliser le pays... c'est ca ??

Gallek Anarchie !

On y est déjà. ainsi que le laissez-aller, la rapine à grande échelle, la corruption endémique, les détournements, la destrcution des biens, l'injustice et la hogra, les laisser-pour compte, le clientelisme ....etc etc etc on y est depuis des années déjà.

Aux algériens de bonne volonté doivent faire tout ce dont ils sont capables, du mieux qu'il le peuvent et chacun dans son coin. Et ce tant qu'on a pas un vrai état de droit, avec de vrai institutions qui permettent de choisir un vrai gouvernement qui permettent de réguler et organiser ces initiatives.

Qu'on se le dise !

[elbieroi]

un qui sait tous mais arrivé a TABOU , rien .................traduction mounafak excuse moi mais c le dictionnaire du Hirak T-a-T ,qui donne la définition

On passe à une étape supérieure pour discréditer l’autre opinion, on passe à la réduction, a la diffamation et a l’insulte. meme avec le smily et le nouveau dictionaire la techinique reste la même.

"Un qui sait", le "un" réducteur, ce n’est qu’un avis "insignifiant" parmi tant d’autres; "un qui sait tout", la diffamation, je n’ai jamais dit que je savais tout, je n’ai fait qu’exprimer mon opinion, transformer l’expression d’une opinion en une affirmation du "tout savoir" ce n'est rien d'autre que de la diffamation, pour l’accusation du nifak, une accusation lourde mais qui était je pense nécessaire.

Mais ne t’en fait pas, c’est un symptôme qu’on retrouve en générale dans la société algérienne lorsqu’on essaye de suivre les débats sur les différentes chaines YouTube. La majorité des personnes sont incapables de discuter les idées, ils tournent automatiquement la discussion au personnel ; les uns traitent les autres de doubabes, de lahassin rangers, de traitres au peuple … les autres les traitent de Wlad Franca, de Harka qui veulent déstabiliser le pays et de traitres a la nation, personne ne voit que le mal dans l’autre camp.

C’est pour cela que quand je regarde notre classe politique, et quand je regarde nos discussions nous le peuple, je me dis parfois que peut être notre pays n’est pas suffisamment prêt et suffisamment mature pour l’établissement d’une démocratie a l’image des pays développés comme l’Allemagne, la Suède, et le Canada …

[zemfir]

-j'ai posé le doigt la ou ça fait mal

-T-a-T ya3ni ardh ardh; 3la hassab fhamti ; .......smily en koi ça te gêne , tu n"as qu"as désactiver l'option et t'as un soucis en moins .
-et pi la prose de haut niveau c bien , pour faire jolie mais sa prend du temps a lire a écrire ,d'ailleurs c pour cela qu'il ya des idiots au USA qui on inventé les smilly
- et pi c mon avis , et t'es libre de penser qu'on doit rester sous la dictature ; dans ce cas il faut accepter d’être traiter de lahass c aussi T-a-T


voila un poète cheikh

[shadok]

Sans essayer de défendre le pouvoir en place, on doit reconnaître que nous n’avons malheureusement ni opposition, ni classe politique à la hauteur de la situation.

La faute incombe au pouvoir qui a décapité ou noyauté toute opposition depuis des années. Durant les 20 dernières années de Bouteflika, le champ politique a été verrouillé. Le pouvoir a infiltré tous les partis d’opposition pour les faire imploser de l'intérieur. Nous avons vu ce qui s’est passé pour le FFS, l’un des plus vieux partis d’opposition en Algérie.

Il a été interdit à l'opposition de militer, d'occuper le terrain, de se réunir dans des salles. L'opposition est privée d'accès aux grands médias. Quand l’opposition est empêchée d’exister, elle a peu d’impact sur la société.

Des sit-in pacifiques, contre le 5eme mandat de Bouteflika, organisés par le mouvement Mouwatana ont été réprimés. Aujourd’hui, même les partis de l’alternance démocratique sont empêchés de s’exprimer et sont discrédités par le pouvoir. Des chefs de partis d'opposition et militants politiques sont en prison.

Malgré cela, l’opposition a essayé d’élaborer des initiatives de transition démocratique avant et après le Hirak. Durant le Hirak, plusieurs rencontres et propositions de sortie de crise ont été faites par l’opposition mais n’ont pas trouvé d’échos par le pouvoir. Un pouvoir qui n'écoute personne, ni l'opposition, ni les millions d'algériens qui sont sortis dans la rue !

[katiaret]

L'argent sale pour soutenir une dictature

[nassim]

Sans essayer de défendre le pouvoir en place, on doit reconnaître que nous n’avons malheureusement ni opposition, ni classe politique à la hauteur de la situation.

Pourquoi d'après toi il n'y a pas d'opposition viable en Corée du Nord et en Arabie Saoudite? Parceque ces pays sont des régimes autoritaires et politiquement verrouillés. L'Algérie n'est pas très différente de ces 2 pays. D'ailleurs, en matière de démocratie et de liberté de la presse, l'Algérie est beaucoup plus proche du royaume daechien saoudien et de la Corée du Nord que de la Norvège et de la Suède.

Pose-toi cette simple question: en tant qu'Algérien, es-tu prêt à retourner en Algérie pour te lancer dans la politique pour moderniser et développer l'Algérie?

La politique est par nature l'un des métiers les plus pourris et les plus corruptibles du monde. Même dans des pays qui ont des décennies voire des centaines d'années d'expérience dans la démocratie, la politique est souvent perçue comme un métier pourri. Et c'est encore pire dans des pays autoritaires et corrompus comme l'Algérie qui n'ont pas d'Etat de droit et qui sont gérés comme des mafias.

En Algérie, un citoyen qui veut faire de la politique doit être prêt à se battre dans un environnement extrêmement hostile et verrouillé où il risque d'être emprisonné illégalement par un Etat mafieux, et où il fera face au boycott des médias publics et beaucoup de médias privés corrompus par le régime.

Par exemple, Karim Tabbou a tenté de faire de la politique et dès qu'il a critiqué le chef de la mafia algérienne Gaid Salah, il s'est retrouvé en prison et a été accusé d'être une menace à l'ANP et à l'Algérie.

Concrètement, l'opposition politique en Algérie n'est pas représentée par des partis politiques mais par les millions de citoyens qui manifestent pacifiquement depuis février pour exiger le départ des mafieux pourris du cartel ANP/FLN et l'instauration d'un Etat de droit en Algérie. L'instauration d'un Etat droit va encourager les jeunes algériens à se lancer dans la politique et à devenir des leaders politiques au service de la modernisation et du développement de l'Algérie.