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Khalida Toumi arrêtée par les services de sécurité

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  • #16
    C. L’ONCI ET LES PRESTATIONS POUR LE MINSITERE DE LA CULTURE

    En mai 2006, Toumi a licencié M. Tebbani Saïd, ex directeur de l’administration et des moyens. Pourquoi ? Parce qu’il a refusé de payer un chèque de 4 milliards à l’ONCI pour une prestation qui valait à peine un milliard de centimes. De quoi s’agit-il ? De l’organisation de la conférence des ministre Arabes et Sud-Américains qui s’est déroulée en janvier 2006 à Alger. L’hébergement et la prise en charge d’une poignée de ministres pour 40 millions de DA !

    Or, les semaines culturelles organisées par Tebbani lui-même n’ont pas dépassé 800 millions de centimes. Mais la Ministre a préféré donner l’organisation de certaines manifestations juteuses à l’ONCI sous prétexte que le ministère lui-même n’a pas les cadres et le personnel pour organiser ces manifestations. C’est quoi réserver des chambres et des billets et des véhicules VIP ? La surfacturation de l’ONCI, dont le DG connaît la chanson, c’est : Je bouffe, tu bouffes. Bentorki a fait ses preuves lors de la manifestation 50ème anniversaire de la Révolution : il a géré des centaines de milliards en se mettant plein les poches.

    En comparant sa facture et celle de Bentorki, Tebbani a compris que l’ONCI est une caisse utilisée pour le détournement. La réservation de chambres d’hôtels, de véhicules, des salles d’exposition ou de projection, et l’achat de billets d’avion, ne nécessite pas de faire appel à une structure externe au ministère. Après avoir licencié Tebbani, Toumi peut donner autant de manifestations qu’elle veut à l’ONCI, d’autant que « Alger capitale de la culture arabe 2007» allait être une opportunité en or de s’enrichir et d’enrichir Bentorki et consorts. Il ne fallait pas que le directeur des Moyens généraux soit un gêneur au sein même du ministère. Tebbani sera viré, Allim sera viré, Meftahi sera viré ! Et vive « Alger capitale de la corruption » sans les gêneurs !!! D’autres gêneurs seront licenciés, plus tard.

    III. AUTRES OPERATIONS DE CORRUPTION

    A. LA SALLE DE CONCERT DE L’INSM

    Près du Bastion 23 (Bab El Oued) se trouve l’Institut supérieur de musique. Une salle de concert était prévue, ce qui est normal pour un institut de musique. L’ancienne directrice (Mme Mokrani) n’a pas marché dans la combine de la ministre qui avait d’autres plans. Alors elle l’a licenciée afin que le plan maffieux soit exécuté. La salle de concert ne sera pas réalisée. Raison invoquée par la ministre : elle se situe dans le périmètre protégé du Bastion 23, monument protégé (ce périmètre est de 100 mètres). Pourtant l’Institut de musique lui-même, se situe aussi dans ce périmètre ? La presse a avalé la pilule, donc elle peut exécuter son plan : remplacer la salle de concert par un théâtre de plein air !!! Oui, un théâtre de plein air sera réalisé dans un croisement de carrefours, au milieu des klaxons !!! Et le projet peut revenir à l’oncle de Mme Sator, amie de la ministre, une corrompue qui a bénéficié de plusieurs appartements quand elle était maire ! Oui, les voleurs retombent toujours sur leurs pattes !!!

    B. MUSEE D’ART MODERNE

    Les ex Galeries Algériennes d’Alger seront transformées en musée d’art moderne. L’étude d’aménagement de ce musée a été réalisée pour la somme de 4 300 000 0,00 DA !!! Une étude à ce prix (400 000 Euros), même les plus grands architectes du monde n’en rêvent pas ! Les des études d’architecture des plus grands architectes du monde ne coûtent pas cette somme qui est octroyée pour une simple étude d’aménagement d’un édifice qui existe déjà !!!

    Comment a eu lieu l’appel d’offres ? Le bureau d’études Architectes associés de Faidi, a été ramené par Orif. La ministre a chargé ce bureau d’études du projet bien avant que l’appel d’offres ne soit lancé. Il a donc travaillé sur l’étude plus que les autres soumissionnaires. Comme son projet était meilleur sur le plan technique, son offre financière a été acceptée sur instruction de la ministre.

    Ceux qui croient que les appels d’offres stoppent la corruption ne connaissent pas Khalida Toumi !!! Elle camoufle des contrats gré à gré en marchés en bonne et due forme !!!

    C. LA MINISTRE A CANNE: cinéma algérien ou corruption?

    La soi-disant manifestation algérienne à Cannes organisée par le ministère de la culture en 2007 a coûté 300 000 euros. En guise « d’hommage à Mohamed Lakhdar Hamina », il y a eu une petite réception à laquelle moins de vingt personnes ont assisté, dont la majorité sont des Algériens résidants en France. Il n’y a eu ni réalisateurs, ni producteurs étrangers ! Cette histoire de « rencontre autour du cinéma algérien » : du bidon ! Comment faire une « Rencontre sur le cinéma algérien » en marge du Festival de Canne alors qu’aucun film algérien n’était programmé à cette manifestation ?

    C’est l’Agence de Rayonnement Culturel (ARC) qui s’est chargée de la préparation de la « manifestation ». Son directeur est Orif Mustapha.

    La manifestation de Cannes a consisté à louer une salle pour la conférence et commander un dîner dans un restaurant. Le dîner n’a pas eu lieu parce que les « invités » n’étaient pas venus !!! La manifestation algérienne a eu lieu durant l’hommage au cinéma du Burkina Faso, un pays respectable dont la production cinématographique est importante, qui est connu pour son sérieux et qui a préparé sa manifestation avec sérieux. Vous croyez que les gens du Burkina Faso peuvent payer 300 000 euros ? Pourtant ils ont fait leur manifestation ! Les prix des salles, des restaurants sont pareils pour tout le monde à cannes !! Comment donc arriver à300 000 euros pour la réservation d’une salle de conférence et un dîner non consommé ainsi que l’achat d’une page de publicité dans une revue bidon !!! Demandez à Orif et à ses accompagnateurs de vous donner les dépliants et documents réalisés pour cette occasion ou les articles de presse française à son sujet !!! Rien !

    Gonfler les factures : c’est la méthode qu’utilise la ministre pour voler !!!

    Personne ne se rend compte en Algérie, d’autant que si quelqu’un doit demander des comptes à Orif (ARC) c’est sa complice, la ministre.

    Etaient présents à Cannes avec Orif et la ministre :

    1. Le directeur du CNCA, Ait Oumeziane, qui était toujours saoul à Cannes.

    2. Lamine Merbah, ex directeur de l’ENPA, actuel président de la commission de lecture du FDATIC et ex président de la commission de lecture de « Alger capitale culturelle arabe 2007 ».

    3. Mazif Sid Ali. Son dernier film, le documentaire sur les femmes présenté en février dans le cadre de « Alger 2007 », est entièrement fait avec des documents d’archives de la télé. Il fait passer un film d’archives pour un documentaire, alors qu’il a empoché 4 000 000 DA. Comme il a montré la ministre et Mme Sator dans son film, elle ne lui demandera pas des comptes !!! Voilà un autre détournement, car en réalité ce film d’archives n’a pas coûté 200 000 DA !!!

    L’AGENCE DE RAYONNEMENT CULTUREL (ARC)

    Personne ne peut demander des comptes à Orif si ce n’est la ministre. Comment le chef du gouvernement ou le ministre des finances peuvent-ils savoir que cette manifestation bidon n’a pas coûté 300 000 euros ? Impossible ! Le prochain ministre, s’il est intègre, n’y verra que du feu.

    L’ARC est une entreprise du ministère qui a sa propre comptabilité. Son directeur (Orif) n’a rien à craindre sauf si l’inspection générale ou la cour des comptse ou l’IGF s’en mêlent. Mais qui alertera ces contrôleurs ? La ministre ! C’est elle le cerveau de la corruption au ministère de la culture !

    Pourquoi elle a créé l’ARC ? Pour détourner de l’argent. Car l’Algérie n’a pas besoin d’une entreprise pour organiser des manifestations culturelles à l’étranger ! Même l’Egypte n’a pas ce genre d’agence. Depuis 1962, c’étaient les cadres du ministère qui organisaient des manifestations à l’étranger.

    En France, l’Agence (AFAA) est une entreprise économique qui fait des recettes, alors que la nôtre sert à voler ! Le siège de cette soi-disant agence ARC est le Palais Rouge ou la Palais du Souf, à la Casbah. Il n’y a pas trois personnes ! Même pas de secrétaire ! Comment une agence qui n’a pas une secrétaire peut-elle organiser une rencontre sur le cinéma à Paris ? Orif n’a même pas capable de vous citer le nom de trois cinéastes algériens et aucun nom de cinéaste étranger !

    D. Lamine MERBAH :

    - Lamine Merbah était directeur de l’ENPA. Lorsque l’entreprise allait être liquidée, il a détourné des milliards destinés à la production de films. Tous les cinéastes le savent. Pourquoi n’est-il pas parti en prison ? Pourquoi elle le garde ?

    En 2004, dans le cadre du 50ème anniversaire de novembre, Lamine Merbah a bénéficié de75 000 000 DA pour produire un film d’animation sur la révolution algérienne. Il a été payé par le biais de l’ONCI. A ce jour, ce film n’est pas sorti et ne sortira jamais tant qu’il a la bénédiction de la ministre qui le couvre. Avec cet argent, Merbah a créé une entreprise qui s’appelle « Amine Intaj » et acheté du matériel et des caméras !!! La manifestation « du cinquantième anniversaire de Novembre, en 2004 » n’a pas été sanctionnée par une expertise comptable. L’ONCI n’a donné aux directions du ministère de la culture (direction de l’administration et des moyens) aucune information sur les projets financés dans le cadre de Novembre 2004 (cinéma, théâtre, musique…).

    Aujourd’hui Merbah continue de voler, car il est protégé. En récompense, Toumi l’a nommé président du département cinéma dans la manifestation « Alger 2007 ».

    Vous voyez comment il est facile de voler des milliards en Algérie ? Vous voyez comment Toumi et ses complices détournent de l’argent ?

    Il y a même des producteurs qui ont pris de l’argent dans le cadre de l’Année de l’Algérie en France (2003) et qui n’ont pas fait leurs projets à ce jour !!!

    Alger 2007 a financé 22 films de fiction (subvention de 10 000000 DA par film), 42 documentaires (subvention de 4000 000 DA) et 40 téléfilms. Combien ont été réalisés ? Trois ou quatre documentaires dont le film d’archives sur les femmes, de Mazif cité plus haut. C’est tout ! Combien seront réalisée ? Aucun !!! Pourquoi ? Parce que les producteurs bénéficiaires de subventions n’ont pas d’argent et veulent faire des films qui coûtent entre 3 et 6 milliards !!! S’ils n’ont pas d’argent à investir dans leurs projets, pourquoi l’Etat leur donne-t-il des subventions ? Pourquoi subventionner quelqu’un qui n’a pas suffisamment d’argent pour faire un film ?

    Demain, un ministre honnête arrive : il ne saura jamais que des gens ont pris de l’argent et n’ont pas réalisé leurs projets ! Il ne saura jamais que l’ONCI ou le CNCA ont bénéficié d’un budget pour financer des activités et des produits culturels, que Merbah et d’autres ont bénéficié de subventions…
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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    • #17
      Pour détourner du fric à son profit, Toumi a créé les conditions pour que des producteurs, des éditeurs et d’autres gens malhonnêtes puissent voler ! Il n’y a aucune possibilité de suivi car les dossiers restent à l’ONCI ! Demain, comment un ministre honnête pourra-t-il savoir que Merbah a pris de l’argent dans le cadre de Alger 2007 ou du 50ème anniversaire de 2004 ou l’année de l’Algérie en France ? Impossible !! Pour voler, elle autorise que d’autres puissent voler ! Les vautours s’entourent de vautours !!! E. LE FILM SUR L’EMIR ABDELKADER

      En 2006, le ministère a eu un budget pour « l’étude d’un projet de film sur l’Emir Abdelkader ». Allez comprendre ce que cela veut dire mais c’est ça !!! C’est sous cet intitulé que Toumi a demandé du fric au ministère des finances ! Qui lui a octroyé la somme demandée pour cette « étude » dont l »intitulé même est bidon !! Il ne s’agit pas de l’écriture du scénario car le scénario existe déjà ! Ni de la production. Car pour la production de ce film, elle a demandé au ministère des Finances 120 millions d’euros !!! Lamine Merbah a dû lui dire que les films hollywoodiens coûtent ce prix-là. Donc pourquoi ne pas demander une somme hollywoodienne ? Espérons que le ministère des Finances va se rendre compte que c’est de la pure arnaque !

      Mais il a accordé 3 000 000 0,00 DA pour l’étude bidon intitulée « étude d’un projet de film sur l’Emir Abdelkader »!!! Qui va bouffer ces 3 milliards ?

      Ahmed Bedjaoui et Lamine Merbah ont été nommés chefs e projet de film sur l’Emir Abdelkader !!! Il faut trois milliards pour trouver un scénariste (américain ? français ?…) en vue de réécrire le scénario existant et chercher un réalisateur (américain, japonais, français… ?) pour le faire ? Vraiment, ils sont en train de chercher un réalisateur américain pour faire un film sur l’Emir Abdelkader ! La débilité côtoie la corruption !

      Les cadres du ministère des finances ne connaissent malheureusement rien aux choses de la culture, alors la ministre leur demande des sommes astronomiques ! Ils s’exécutent car ils ne pensent pas qu’un ministre soit capable de tels mensonges pour détourner du fric !!! Oui, c’est aussi simple que cela de voler !!! Le ministre Benachenhou, lui, savait qu’elle dilapidait du fric.

      Pourquoi donner le projet à Merbah et à Bedjaoui alors qu’ils ne sont pas fonctionnaires du ministère de la culture ? Vous avez vu d’autres ministères charger de simples consultants de projets aussi importants ? Comment peuvent-ils signer des documents alors qu’ils n’ont pas de cacher officiel ?

      Orif était le Chef de projet du musée d’art moderne pendant une année, bien avant de devenir un employé du ministère !!! Conséquence : il a ramené Faidi qui a empoché 4,3 milliards pour une simple étude d’aménagement !!!

      F. LES FILMS DE ALGER CAPITALE 2007 :

      Lamine Merbah était président de la commission de lecture du département audiovisuel de « Alger 2007 ». Les membres de cette commission de lecture étaient payés à raison de 8000 DA par scénario !!! Ils ont « lu » 280 scénarios en quatre mois !

      - le film « INDIGENE » de Bouchareb Rachid a eu 4 000 000 DA dans le cadre de Alger 2007 ! Alors que ce film est sorti depuis plus de six mois. C’est un film français. Le nom du ministère algérien de la culture ne figure même pas au générique !! Comment donner de l’argent à un film déjà sorti et qui, de plus, insulte notre histoire !! « Indigène » montre les Algériens comme des amoureux de la France qui vont combattre contre Hitler pour défendre leur « mère la France » !!!

      - Une autre cinéaste qui vit en Irlande a reçu de l’argent de Alger 2007 pour faire un film sur « Le rôle des Juifs dans la musique chaabi » !!! Avec l’argent algérien de Alger 2007 !!

      G. GROS DETROUENEMENTS AU PATRIMOINE

      Les projets inscrits dans le secteur du patrimoine du Ministère de la culture sont composés essentiellement d’études de restauration. Des centaines d’études sont inscrites pour des sommes faramineuses (entre 1 et 3 milliards par étude) ! Mais il n’y a aucune opération de restauration inscrite. Comment peut-on inscrire (au programme de l’Etat) des études de restauration alors que la restauration elle-même ne se fait pas ? Peut-on faire des études d’architecture pour des stades sans jamais construire de stades ? Si on le fait c’est qu’il y a quelque chose d’anormal. Oui, le ministère de la culture inscrit des centaines d’études pour la restauration de sites mais il n’y a que très peu de restauration car il n’y a pas quatre entreprises algériennes spécialisées dans la restauration du patrimoine!!! Alors pourquoi fait-on des études dans ce cas ? Pour donner des marchés à trois bureaux d’études : Gore, Archimède… Le ministère des Finances ne voit pas ces aberrations ? Non, bien que cela saute aux yeux et dure depuis des années !!!

      L’affaire de PKZ traitée par le journal Al Fadjr n’est pas de la blague! Le dossier Patrimoine est une grande affaire !!! Il ne s’agit pas d’une petite affaire de 4 ou dix milliards dont parle Al Fadjr!! Oui, 10 milliards c’est une petite affaire dans ce ministère !!!

      H. VIVE « DAMAS, CAPITALE ARABE 2008 SANS CORRUPTION » !

      Les Syriens sont en train de préparer Damas, capitale de la culture arabe 2008. Eux ne pensent pas à voler et détourner de l’argent mais à promouvoir la culture de leur pays. Il y aura des écrans sur toutes les places publiques et dans tous les moyens de transport (trains, bus), des animations sur l’ensemble du pays, des manifestations, des subventions de projets d’artistes. Car leur ministre n’est pas un voleur et ne s’entoure pas de voleurs !!!

      IV. L’EX DIRECTEUR DE LA CULTURE DE BOUMERDES : 2 milliards !!

      L’ex directeur de la culture de Boumerdès (M. Bekki) a détourné 20 000 000,00 DA. Deux milliards ! Comme sanction, il a été mis fin à ses fonctions en mars 2006. il continue de percevoir son salaire ! Pourquoi il n’a pas été traîné devant un tribunal ? Amitiés de la ministre, quand tu nous tiens…

      Est-ce qu’un ministre intègre permet à autant de gens de voler ? Les Orif, les Merbah, les Bentorki, Bekki…

      V. PRET DE 1 700 000 0,00 DA

      En 2004, le Crédit Populaire Algérien a accordé à Khalida Toumi un prêt de 1 700 000 0,00 DA.

      VI. ACHAT D’UNE VILLA PAR KHALIDA TOUMI,

      Toumi a acheté une villa à Telemly au prix de 3 000 000 0,00 DA. En vérité, son prix doit être au moins le double.

      Comment peut-elle acheter une villa à ce prix-là en 2005 alors que les salaires des ministres sont connus ?

      VII. LICENCIEMENT DES CADRES ARABOPHONES DU MINISTERE DE LA CULTURE

      La croisade de Toumi contre les cadres intègres du ministère de la culture et leur remplacement par des fonctionnaires à la solde, des beni oui-oui ou des corrompus lui permet d’écarter tous les gêneurs pour voler impunément!

      Les premiers gêneurs :

      En janvier 2006 : licenciement de Said Tebbani,
      En mars 2006 : licenciement de Allim Saïd, le sous directeur du budget
      En mars 2006 : licenciement de Meftahi, sous directeur des moyens généraux.

      Evidemment, licencier les cadres intègres de la direction la plus sensible : l’administration et les moyens, direction qui gère l’argent, qui signe les contrats et conventions, avalise ou rejette les marchés !

      Les autres gêneurs :

      Khalida Toumi a licencié douze (16) directeurs de la culture en mars 2007. Certains d’entre eux étaient près de la retraite avec 16 ou 20 ans d’expérience ! Elle n’a pas de respect pour les compétences ni de pitié pour les vieux. D’eux de ces cadres ont eu des attaques cardiaques après avoir été écartés.

      A propos du Directeur de la culture de Sétif, Toumi disait récemment qu’elle l’a licencié à cause du théâtre romain de Timgad qui risque d’être déclassé. Menteuse ! Non, ce directeur est un homme très compétent, la preuve, le wali de Sétif l’a recruté lorsque Toumi a mis fin à ses fonctions ! Le directeur de Tipasa, Sahi, très compétent mais pas corrompu, et qui connaît certaines affaires de corruption sur la direction du Patrimoine : donc il est remplacé. Enlever seize directeurs compétents, c’est un crime !

      Un de ceux qu’elle a désigné comme directeur de culture de wilaya est encore en stage en France ! Il se spécialise dans la restauration des objets muséographiques en métal. Pourquoi l’envoyer en formation si c’est pour en faire un directeur de la culture alors qu’il sera plus utile dans un musée ? Il a refusé le poste car il compte rester en France !!! Cet acte est le plus criminel commis contre la culture depuis 62 !!!

      En décembre 2006, licenciement de Mme Mokrani, ex directrice de l’INSM (cas évoqué plus haut). Celle qui a refusé la corruption est remplacée par celle dont l’oncle a pris le marché de la salle de concert : Mme Sator, une ignorante, qui se prétend médecin, qui devient directrice de l’Institut supérieur de musique !!! La boqala à l’INSM !!!

      En mars 2007, licenciement de El Hadj Tahar Ali, directeur du développement et de la promotion des arts, écrivain, grand reporter et ex fondateur du quotidien Elhayet El Arabia.

      En mai 2007, licenciement de Mme ZOGHBI, directrice du Ballet national

      En juin 2007, licenciement d’Aboulkacem, directeur du Bastion 23. Un homme intègre et compétent ! M. Aboulkacem, est un cadre qui ne fait pas partie des clans de la ministre, ni de ceux qui brossent dans le sens du poil, ni de ceux qui bouffent.

      En juillet 2007, licenciement de Tidjini, directeur de l’OREF, l’incorruptible dont on a parlé plus haut. Sous prétexte que l’OREF est mal géré ! Les locataires (dont Orif qui y possède une galerie d’art, la galerie Isma) ne paient pas leurs loyers car il n’y a plus de clients. Comment Tidjini peut-il réactiver l’OREF sans argent et sans visiteurs, surtout quand la ministre lui met des bâtons dans les roues car il n’est pas corrompu ?

      Les gens intègres et honnêtes sont licenciés, les corrompus restent avec Toumi la corrompue, surtout quand ils occupent des postes importants… Les autres se taisent.

      Comment la Présidence peut-elle avaliser ces fins de fonction alors que ces cadres ont des décrets présidentiels !!!! C’est ça l’Algérie ? On met aussi facilement fin aux fonctions d’un cadre supérieur de l’Etat aussi facilement, au bon vouloir d’un ministre, sans que la présidence ne fasse une enquête ?

      Une femme avide et corrompue qui se comporte avec des cadres comme s’ils étaient des serviettes jetables, une honte dans ce pays !

      Une maffia à la tête de la culture algérienne !!

      Ce cris n’a pas trouvéd’oriels ici en Algérie par la presse nationale c’est la raison que nous vous demandons de nous aider à publier ce témoignage signes par de 67 cadres du Ministère
      Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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      • #18
        Dés fois les jours se ressemblent mais les camps changent

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        • #19
          Chaque époque a ses traitres, le Hirak n'échappe pas à la règle.

          Beaucoup ont retourné leurs vestes avec le pouvoir
          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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          • #20
            A plusieurs reprises on nous avait dit qu'elle fut arrêtée , mais ce n'est que mensonges jusqu'à preuve du contraire
            Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
            (Paul Eluard)

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