Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les frères Kouninef ont été arrêté (lu sur TSA)

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    C'est bien.mais est ce que Tliba, les enfants du général gaid vont ils être arrêtés à leur tour?

    faut voir avec lahassine randjas
    "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

    Commentaire


    • #17

      Commentaire


      • #18
        Du temps où l’actuel ministre des Finances, Mohamed Loukal, était à la tête de la Banque extérieure d’Algérie (BEA), Nutris SPA, propriété à parts égales de Réda, Karim et Noah Kouninef, ainsi que de leur mère et de leur sœur, s’est vu octroyer un crédit bancaire pour le moins faramineux en vue du financement d’un projet d’usine de trituration de graines oléagineuses à Jijel. Paraphée en date du 27 décembre 2015, notamment par le responsable des engagements de la BEA, devenu par la suite P-DG de cette banque, la convention de crédit relatif à ce projet d’usine, qui attend toujours d’entrer en activité, portait sur un montant global de plus de 20 milliards de dinars, débloqué par un consortium de trois grandes banques publiques chapeauté par la BEA et composé, en plus de celle-ci, de la Banque nationale d’Algérie (BNA) et de la Caisse nationale d’épargne et de prévoyance (Cnep).

        Assorti de beaucoup d’avantages, en plus de ceux accordés par l’Andi, de différés de paiements et de bonifications d’intérêts, ce financement bancaire alloué aux Kouninef avait fini par susciter de graves soupçons de complaisance surtout par son caractère colossal par rapport aux évaluations rationnelles des coûts du projet auquel il est destiné. Des suspicions de très fortes surévaluations sur le dos des banques et du Trésor public qui furent par la suite d’autant plus mises en évidence par des blocages injustifiés de projets similaires de trituration de graines oléagineuses, lancés par des opérateurs concurrents pour des coûts nettement moins élevés et des équipements, ainsi qu’un potentiel de production et d’exportation bien plus importants. Si ces très fortes suspicions autour de possibles avantages et crédits de complaisance qui auraient été accordés aux Kouninef par certains responsables et banquiers, dont Loukal et Ouyahia, restent, cependant, encore à confirmer par la justice, le fait est que les dirigeants politiques et les oligarques proches de l’ancien clan présidentiel devront sans doute être les premières cibles de toute campagne judiciaire qui sera menée en cette période contre des faits de corruption et de dilapidation d’argent public. Il reste que les Kouninef ne sont pas les seuls à avoir bénéficié d’avantages indus grâce à leur proximité avec la famille Bouteflika. Il faut sans doute s’attendre à voir défiler devant la justice d’autres proches du clan présidentiel déchu.


        Akli Rezouali
        Liberté
        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

        Commentaire


        • #19
          De la poudre aux yeux. Lorsque le parrain Said ou les enfants Gaid seront convoqués par la justice ... on y croira.

          Cherchez encore quelqu'autres subterfuges parce que là, ça passe pas. Le peuple est "Aware"

          Commentaire

          Chargement...
          X