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Mais qui sont donc les comploteurs que vise la lettre de Bouteflika ? CPP du 28.11.2018

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  • Mais qui sont donc les comploteurs que vise la lettre de Bouteflika ? CPP du 28.11.2018

    https://www.youtube.com/watch?v=
    Dernière modification par mohoo, 30 novembre 2018, 08h09.

  • #2
    Nos journalistes devraient éviter de brouiller les messages, Hassan Ouali s'est abstenu de trop de discursion, car il a bien décrypté le message...

    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...71#post6229071
    Dernière modification par ott, 30 novembre 2018, 08h35.
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      la lettre de Bouteflika
      Je commence à croire que presque une grande partie des algériens est complice de cette mascarade qui consiste à coller à un invalide des réalisations,sans oser aller au-delà de leurs supposés raisonnements et critiques.

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      • #4
        Je commence à croire que presque une grande partie des algériens est complice de cette mascarade qui consiste à coller à un invalide des réalisations,sans oser aller au-delà de leurs supposés raisonnements et critiques.
        quand vous arrêterez de croire que mohamed 6 est un cherif descendant du prophète,qu'il a été élu par dieu,que son père avait la baraka et que son grand père a marché sur la lune sur son cheval blanc,à ce moment la et rien qu'a ce moment la,on acceptera vos commentaires sur nos croyances à nous ...en attendant,vous passez bien pour le peuple le plus crédule et le plus naif de la planète.
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • #5
          Tu regardes trop la tv Xénon,
          Paradoxalement à un nombre de tes interventions, je trouve étonnant que tu argumentes de cette manière, en hors-sujet en plus, tu me parles des choses anciennes et incroyables pour notre époque et tu penses qu'elles continuent de faire recette permis les marocains,
          Quoiqu'il en soit moi je te parle des dernières mois de 2018,année pendant laquelle un indigent qu'on fait croire au peuple algérien qu'il gouverne le pays pétrolier de 40 millions d'âmes et le plus vaste d'Afrique, et étrangement ce peuple accepte cet état de fait pour le moins insolite dans les annales de l'histoire.

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          • #6
            Anzoul cesse de poluer.

            Très dure comme lettre. Il doit avoir changer de conseiller.
            On ne sait plus quoi penser: le système veut garder le cadavre comme président ou seulement chercher à imposer une continuité ?

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            • #7
              Honnêtement où vois tu que je pollue le topiic?
              Je m'étonne que le fait qu'un presque mort écrit une supposée lettre adressée au peuple, ou mieux dicté, ne soulève aucun point d'interrogation chez les voisins à part qu'ils veulent le maintenir au pouvoir.. mais qui ils?
              ou c'est le pouvoir ou le système qui est responsable de....,sans être précis ou mettre des noms.

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              • #8
                On ne sait plus quoi penser: le système veut garder le cadavre comme président ou seulement chercher à imposer une continuité ?
                je pense que le système garderait bien boutef pour un 5 éme mandat,mais que ce n'est pas possible,c'est même trop risqué pour la stabilité de l’Algérie à l'intérieur et à l'extérieur .
                je pense qu'une bonne partie des centre de décisions et /ou de concertations ont admis cela et qu'ils donnent l'air de se ranger derrière Ouyahia qui semble être celui qui peut paraître comme le catalyseur nécessaire,il connait les dossiers,il parle avec tout le monde,il parle même les deux langues nationales de plus,il a l'avantage d'être connu en Afrique-dont il faudra reconquérir les cœurs-et l'attention et en occident .
                d'un point de vue du système et de l'Etat profond algérien,le choix d'Ouyahia serait logique,car il n'ya vraiment personne d'autres de l'intérieur de ce même système capable de cocher toutes les cases requises,ça ressemble fortement à l’élection d'un Dey .
                ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                • #9
                  je pense qu'une bonne partie des centre de décisions et /ou de concertations ont admis cela et qu'ils donnent l'air de se ranger derrière Ouyahia qui semble être celui qui peut paraître comme le catalyseur nécessaire,il connait les dossiers,il parle avec tout le monde,il parle même les deux langues nationales de plus,il a l'avantage d'être connu en Afrique-dont il faudra reconquérir les cœurs-et l'attention et en occident .
                  d'un point de vue du système et de l'Etat profond algérien,le choix d'Ouyahia serait logique,car il n'ya vraiment personne d'autres de l'intérieur de ce même système capable de cocher toutes les cases requises,ça ressemble fortement à l’élection d'un Dey .
                  Intéressant que les soutiens d'un candidat intra muros du systeme par défaut se ferait avec ce genre de cases, présélectionnés comme une espèce d'appel d'offre pippé où les critères sont sélectionnés sur mesure pour un candidat... point de programme puisque celui de fakhamatouhou que personne ne connaît suffit pour endormir les algériens.

                  La priorité des priorités est la reconstruction d'une véritable économie, et les décideurs le savent très bien. Ceux qui se contentent d'un système de privilèges qui leur profite pourrait voter pour celui qui a fait des cadeaux à tout les généraux et clan ramene par Bouteflika, allant de Belkheir avec l'argent de la caisse de retraite de Khalifa, les ports secs et la loi sur mesure pour les favoriser, les règles d'accès aux crédit documentaires qu'il a taillé pour des importateurs, le 51/49... Ceux la, leurs grands électeurs voteront l'apprenti Poutine...

                  Cependant il y a toute une nouvelle génération de cadres qui voient la voracité de leurs supérieurs et qui voudraient et d'un prendre des places ou d'autres nettoyer les écuries d'augias. Ils préféreraient la mise en place de règles économiques qui permettent de rapatrier les fortunes faramineuses à l'étranger par le retablisselent de la confiance, réformer le système bancaire et financier, et mettre les acteurs actuels dans les conditions d'une plus grande autonomie économique, de concurrence, sans faire dans la chasse aux sorcières, mais en assainant le doing business et réduisant la sphère informelle... les IDE peuvent aussi permettre une mise à niveau de l'economie et du management, en attirant des talents algériens qui se sentiraient plus confiants dans des multinationales et qui pourraient se lancer dans l'aventure entreprenariale quand l'économie sera moins dépendante de la commande publique...

                  Sur le plan diplomatique et international, l'absence d'un président est certes dommageable, mais des succès diplomatiques sont remarquables et ne nécessitent pas une réorientation externe fondamentale. L'enjeux sera au niveau regional, avec la remise en scelle du Maghreb. C'est sur le front intérieur que le nouveau président devra s'atteler, chasse gardée de certains décideurs qui préféreraient un.president des affaires étrangères bis, moins casse c... que Bouteflika, et la figure de Lamamra pourrait être le joker de certains décideurs....
                  Dernière modification par ott, 30 novembre 2018, 17h38.
                  Othmane BENZAGHOU

                  Commentaire


                  • #10
                    La priorité des priorités est la reconstruction d'une véritable économie, et les décideurs le savent très bien.
                    Les décideurs (qui sont ils ?) sont impliqués d'une manière ou d'une autre dans l'économie nationale,toute reconstruction devra être maîtrisée et canalisée afin de ne pas aller contre les intérêts bien compris des uns et des autres ,d'ou encore une fois la pertinence d'un Ouyahia ,ce n'est pas spécifique à l’Algérie .
                    encore ne fois,ici on discute des choix du régime pour son poulain et non du choix des citoyens qui peuvent adhérer ou non à cette option.
                    le système a une autre logique ,différente de la tienne et de la mienne.
                    leur but n'est pas de faire de l’Algérie un pays de start up (je caricature),mais de faire en sorte à ce qu'ils considèrent important pour l’Algérie comme il la conçoivent eux puisse être garanti .
                    Quand tu parle de poutinisation,tu n'as pas tord,ça procède d'une même logique,celle d'un système qui cherche une solution interne et cadrée.
                    il n'ya pas de place pour des candidats extérieurs.
                    et la figure de Lamamra pourrait être le joker de certains décideurs....
                    lamamra a trop été dans les affaires étrangères ,il n'a pas assez de réseau dans l'intérieur ni de relais avec l'administration et les services de sécurité ,je pense que ceci le défavorise devant Ouyahia.
                    Dernière modification par xenon, 30 novembre 2018, 17h50.
                    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                    • #11
                      Les décideurs (qui sont ils ?) sont impliqués d'une manière ou d'une autre dans l'économie nationale,toute reconstruction devra être maîtrisée et canalisée afin de ne pas aller contre les intérêts bien compris des uns et des autres ,d'ou encore une fois la pertinence d'un Ouyahia ,ce n'est pas spécifique à l’Algérie .
                      encore ne fois,ici on discute des choix du régime pour son poulain et non du choix des citoyens qui peuvent adhérer ou non à cette option.
                      le système a une autre logique ,différente de la tienne et de la mienne.
                      leur but n'est pas de faire de l’Algérie un pays de start up (je caricature),mais de faire en sorte à ce qu'ils considèrent important pour l’Algérie comme il la conçoivent eux puisse être garanti .
                      Quand tu parle de poutinisation,tu n'as pas tord,ça procède d'une même logique,celle d'un système qui cherche une solution interne et cadrée.
                      il n'ya pas de place pour des candidats extérieurs.
                      Pourquoi me poser la question puisque tu affirmes qu'ils sont impliqués dans l'économie nationale. Ils devront choisir, leur business ou la responsabilité. Finis le double emplois avec les passes droits et autres blocages, d'où justement la nécessité de barrer la route au stabilocrate qui favoriserait les uns ou les autres pour des objectifs politiques au lieux de permettre la compétition économique... L'apprenti Poutine, ça fait depuis 2001 que je le désigne de la sorte. Je crains qu'il n'ait pas finis sont apprentissage pour prétendre faire des arbitrages stratégiques, d'où les secousses de ce mois ci où des résistances sérieuses mettent en doute un scénario Poutinuen qui augmente le risque au lieu de le maîtriser...

                      Lamamra est un joker pour garder l'apprenti Poutine comme vizir en chef et rassurer les partenaires étrangers et les algériens qui vomissent le stabilocrate.

                      Pour ma part, je ne fais pas mystère de ma préférence pour Hamrouche depuis 2012, à l'époque pas beaucoup de monde en parlait, car il est capable d'une synthèse remarquable, politique et économique, qui en fait une personnalité rare et une chance dans cette période pour justement mettre en place les règles du fonctionnement sain de l'économie, tout en négociant avec les acteurs politique et économiques les réformes capable de sortir de la crise de système par le haut, Non avec les ornières des thuriféraires du système...
                      Othmane BENZAGHOU

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                      • #12
                        radio m appartient à kadi ihssane qui écrit à al watan qui appartient au DRS de l'ex reb dzayr toufik. je comprends pourquoi ils tirent à boulets rouges sur le pauvre Bouteflika.
                        il n'y a pas mieux qu'un 5eme mandat dans la situation actuelle.

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                        • #13
                          radio m appartient à kadi ihssane qui écrit à al watan qui appartient au DRS de l'ex reb dzayr toufik. je comprends pourquoi ils tirent à boulets rouges sur le pauvre Bouteflika.
                          il n'y a pas mieux qu'un 5eme mandat dans la situation actuelle.
                          Vaut mieux envoyer ces rapports pippes à vos thuriféraires Makhneziens, ça permettra de continuer vos bourdes diplomatiques qui font la risée du monde. El Watan a été créé à l'epoque Hamrouche et Ghrib sur le modèle du monde de journalistes qui possèdent leur journaux, modèle qu'a du abandonner le Monde, mais qui permet en Algérie d'avoir une presse avec une multitudes d'opinions et une ligne éditoriale relativement modérée. La dent de Belhouchet contre Bouteflika est plutôt d'ordre familiale et politique, car son frère général avait été de ceux qui ont barré la route à Bouteflika en 1979, par certaines confidences... Belhouchet était journaliste économique à El Moudjahed à l'époque du parti unique, comme El Kadi Ihsan, fils d'une figure très respecté de la révolution, qui était le représentant du FLN à Tripoli où s'est tenu le congrès du FLN en 1962...
                          Dernière modification par ott, 30 novembre 2018, 18h21.
                          Othmane BENZAGHOU

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                          • #14
                            Pourquoi me poser la question puisque tu affirmes qu'ils sont impliqués dans l'économie nationale. Ils devront choisir, leur business ou la responsabilité. Finis le double emplois avec les passes droits et autres blocages,
                            Oui ok,mais ca c'est ton souhait à toi et aussi celui de beaucoups de gens mais pas le souhait du régime,de ses obligés et de toute la faune tbeznissocrate qui profite d'une manière ou d'une autre du système.
                            il ya tout un pan de la société algérienne qui prospére sur le fait que l'économie soit débridée et que le ben3amisme fait loi,ces gens la sont nombreux et gravitent autour des partis dits de "la coalition présidentielle"
                            c'est eux qui font la pluie et le beau temps dans leurs douars et c'est aussi eux qui font l’élection ,c'est l’Algérie profonde qui est très loin de l'esprit start up..
                            d'où justement la nécessité de barrer la route au stabilocrate qui favoriserait les uns ou les autres pour des objectifs politiques au lieux de permettre la compétition économique...
                            qui va lui barrer la route?
                            il fera des scores très faible en Kabylie,un peu moins à Alger ,le reste il fera carton plein..( si dieu le permet évidemment).
                            Pour ma part, je ne fais pas mystère de ma préférence pour Hamrouche depuis 2012,
                            Hamrouche est en hibernation depuis la précédente élection ou un celle d'avant,il est hors système depuis un moment ,mise à part son coté lugubre ,il n'a que peu de relais dans la société ,ballak un peu dans le constantinois ..
                            aucune chance devant un gars qui a pour lui les moyens de l'Etat .
                            Dernière modification par xenon, 30 novembre 2018, 18h32.
                            ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                            On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                            • #15
                              " lamamra a trop été dans les affaires étrangères ,il n'a pas assez de réseau dans l'intérieur ni de relais avec l'administration et les services de sécurité ,je pense que ceci le défavorise devant Ouyahia."

                              Lamamra pourrait être le moins mauvais candidat à la succession de Boutef. Reste à savoir s'il briguera la présidence alors qu'il occupe un poste essentiel au Conseil de sécurité onusien?

                              - Ramtane Lamamra : « L’Algérie est là pour régler les différends, pas pour les exacerber »

                              Diplômé de l’École nationale d’administration (ENA) d’Alger, Lamamra a rejoint les Affaires étrangères en 1976. Diplomate dans l’âme, il a occupé le poste d’ambassadeur dans plusieurs pays (Éthiopie, Djibouti, Autriche, États-Unis, Portugal), a représenté son pays à l’ONU et s’est imposé très vite dans la gestion des conflits qui secouent le continent – la crise entre le Mali et le Burkina Faso en 1985, le différend territorial entre la Libye et le Tchad en 1988, ou encore la guerre civile au Liberia, en qualité d’envoyé spécial de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), entre 2003 et 2007.

                              Autant de médiations qui ont fait de Lamamra l’un des meilleurs africanistes de la diplomatie algérienne. En 2008, il est élu au poste de commissaire à la paix et à la sécurité de l’Union africaine (UA)-.


                              Jeune Afrique (extraits)

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