Algérie – C’est un phénomène contre lequel Américains et Français s’allient dans l’espoir de l’endiguer. Le terrorisme au Sahel, une région où sévissent les groupes terroristes les plus sanguinaires, dont Al-Qaïda et l’Etat islamique.
En octobre 2017, quatre soldats américains ont été tués dans une embuscade au Niger, l’opération française Barkhane perd aussi plusieurs de ses soldats au Mali. La zone est officiellement déclarée minée de groupes terroristes de plusieurs allégeances.
En Algérie, dont l’extrême Sud fait partie de cette région chaude, les choses sont plutôt sous contrôle, mieux encore : Des dizaines de terroristes rendent les armes et se livrent à l’Armée nationale populaire. En août dernier, le chef d’une « katiba » affiliée à l’organisation terroriste s’est rendu à Tamanrasset. Il s’agit de Abzou Aïssa, alias Soltan Oueld Badi. En juillet et août derniers, ils sont 32 terroristes à se rendent aux autorités militaires du Sud du pays.
L’efficacité d’une politique adoptée par le Moudjahid Ahmed Gaïd Salah
Moudjahid avant tout, le Chef d’Etat-Major de l’ANP, le Général de Corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, multiplie des visites d’inspection et de travail dans les régions du Sud. Au cours de ces visites, il donne toujours des instructions fermes et précises sur la lutte antiterroriste et l’importance d’une disponibilité opérationnelle sur les bandes frontières.
Depuis la dissolution du DRS et le limogeage du général Toufik, ex-patron du renseignement en Algérie, le Sud du pays est épargné de tout attentat terroriste. Depuis quelques mois, de plus en plus de redditions sont enregistrées, résultats d’une nouvelle politique qui s’avère être efficace.
Ouvrant la voie de la reddition aux terroristes avec une stratégie du renseignement et de la communication opérée par l’Etat-Major de l’ANP, le terrorisme dans tout le Sud de l’Algérie est pratiquement endigué. En effet, aucun attentat terroriste d’envergure n’a été enregistré dans ces régions, alors que les troupes militaires se déploient de plus en plus.
Alg24
En octobre 2017, quatre soldats américains ont été tués dans une embuscade au Niger, l’opération française Barkhane perd aussi plusieurs de ses soldats au Mali. La zone est officiellement déclarée minée de groupes terroristes de plusieurs allégeances.
En Algérie, dont l’extrême Sud fait partie de cette région chaude, les choses sont plutôt sous contrôle, mieux encore : Des dizaines de terroristes rendent les armes et se livrent à l’Armée nationale populaire. En août dernier, le chef d’une « katiba » affiliée à l’organisation terroriste s’est rendu à Tamanrasset. Il s’agit de Abzou Aïssa, alias Soltan Oueld Badi. En juillet et août derniers, ils sont 32 terroristes à se rendent aux autorités militaires du Sud du pays.
L’efficacité d’une politique adoptée par le Moudjahid Ahmed Gaïd Salah
Moudjahid avant tout, le Chef d’Etat-Major de l’ANP, le Général de Corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, multiplie des visites d’inspection et de travail dans les régions du Sud. Au cours de ces visites, il donne toujours des instructions fermes et précises sur la lutte antiterroriste et l’importance d’une disponibilité opérationnelle sur les bandes frontières.
Depuis la dissolution du DRS et le limogeage du général Toufik, ex-patron du renseignement en Algérie, le Sud du pays est épargné de tout attentat terroriste. Depuis quelques mois, de plus en plus de redditions sont enregistrées, résultats d’une nouvelle politique qui s’avère être efficace.
Ouvrant la voie de la reddition aux terroristes avec une stratégie du renseignement et de la communication opérée par l’Etat-Major de l’ANP, le terrorisme dans tout le Sud de l’Algérie est pratiquement endigué. En effet, aucun attentat terroriste d’envergure n’a été enregistré dans ces régions, alors que les troupes militaires se déploient de plus en plus.
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