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Le journaliste du quotidien El Watan, Mohamed Larbi, est décédé, hier, samedi, d’une crise cardiaque, a-t-on appris. Il a été enterré hier après-midi. Le défunt était âgé de 65 ans et père de deux enfants. Mohamed Larbi qui s’est spécialisé dans les questions internationales à El Watan, dont il est l’un des membres fondateurs, avait commencé sa carrière journalistique au quotidien public El Moudjahid avant de se lancer avec ses collègues dans l’aventure de la presse privée avec la création du journal El Watan, après l’ouverture du champ médiatique dans les années 1990.
À El Watan, il s’est essentiellement consacré à la rubrique internationale dans laquelle il s’appliquera à apporter des éclairages et des décryptages sur les grands dossiers et les événements marquants en y mettant sa touche particulière, son écriture sobre, aux questions palestinienne et sahraouie, dont il décortiquait les enjeux qu’il maîtrisait parfaitement. Une rubrique dans laquelle il laissera son empreinte. Discret mais efficace dans son travail, il avait chaque jour sa propre approche du fait de l’événement qui rajoute à la différenciation d’El Watan des autres titres de la presse nationale. Avec sa disparition, c’est toute la presse algérienne qui perd une plume expérimentée, un homme qui a consacré sa vie à l’écriture, au journalisme. Une leçon pour la nouvelle génération de journalistes appelés à relever le défi du professionnalisme et à maintenir le cap.
Paix à son âme.
D. B.
Le journaliste du quotidien El Watan, Mohamed Larbi, est décédé, hier, samedi, d’une crise cardiaque, a-t-on appris. Il a été enterré hier après-midi. Le défunt était âgé de 65 ans et père de deux enfants. Mohamed Larbi qui s’est spécialisé dans les questions internationales à El Watan, dont il est l’un des membres fondateurs, avait commencé sa carrière journalistique au quotidien public El Moudjahid avant de se lancer avec ses collègues dans l’aventure de la presse privée avec la création du journal El Watan, après l’ouverture du champ médiatique dans les années 1990.
À El Watan, il s’est essentiellement consacré à la rubrique internationale dans laquelle il s’appliquera à apporter des éclairages et des décryptages sur les grands dossiers et les événements marquants en y mettant sa touche particulière, son écriture sobre, aux questions palestinienne et sahraouie, dont il décortiquait les enjeux qu’il maîtrisait parfaitement. Une rubrique dans laquelle il laissera son empreinte. Discret mais efficace dans son travail, il avait chaque jour sa propre approche du fait de l’événement qui rajoute à la différenciation d’El Watan des autres titres de la presse nationale. Avec sa disparition, c’est toute la presse algérienne qui perd une plume expérimentée, un homme qui a consacré sa vie à l’écriture, au journalisme. Une leçon pour la nouvelle génération de journalistes appelés à relever le défi du professionnalisme et à maintenir le cap.
Paix à son âme.
D. B.
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