Le président russe, Vladimir Poutine, a clairement affiché la détermination de son pays « à défendre ses alliés traditionnels contre toute attaque venant de l’ennemi ». S’exprimant, jeudi dernier devant la Douma (parlement fédéral), l’homme fort de Moscou, cité par le journal londonien Al-Quds Al-Arabi, a menacé de recourir à des frappes nucléaires à l’encontre des assaillants, en référence à l’OTAN et aux puissances occidentales.
Selon le même journal, l’intervention de la Russie en Syrie et ses livraisons d’armes de dernières générations à l’Algérie s’inscrit dans cette logique de défense anti-Occident. La Russie, ajoute le même quotidien, souhaite ainsi sauvegarder ses bases stratégiques en Méditerranée.
Pour le journal, les « livraisons d’armes à l’Algérie ne visent pas le Maroc voisin. Ils ont pour objectif de dissuader les puissances occidentales, notamment les USA qui ont voulu, dans la foulée des révoltes arabes de 2011, peser dans la succession du président Bouteflika », estime la même source, en citant les déclarations du ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, qui avait mis en garde, en Mars 2014, contre l’existence d’un plan de destabilisation de l’Algérie à travers des groupes terroristes venant de Tunisie et du Mali ou via l’exploitation « des problèmes ethniques » pour intervenir militairement dans le pays ».
« Les déclarations de Sergueï Lavrov ont été faites quelques mois seulement après les inquiétudes exprimée par l’Algérie suite au déploiement de forces américaines en Espagne. Le but de ce déploiement était de se préparer à une intervention en cas de trouble en Afrique du Nord », ajoute la même source.
Boualem M.
Selon le même journal, l’intervention de la Russie en Syrie et ses livraisons d’armes de dernières générations à l’Algérie s’inscrit dans cette logique de défense anti-Occident. La Russie, ajoute le même quotidien, souhaite ainsi sauvegarder ses bases stratégiques en Méditerranée.
Pour le journal, les « livraisons d’armes à l’Algérie ne visent pas le Maroc voisin. Ils ont pour objectif de dissuader les puissances occidentales, notamment les USA qui ont voulu, dans la foulée des révoltes arabes de 2011, peser dans la succession du président Bouteflika », estime la même source, en citant les déclarations du ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, qui avait mis en garde, en Mars 2014, contre l’existence d’un plan de destabilisation de l’Algérie à travers des groupes terroristes venant de Tunisie et du Mali ou via l’exploitation « des problèmes ethniques » pour intervenir militairement dans le pays ».
« Les déclarations de Sergueï Lavrov ont été faites quelques mois seulement après les inquiétudes exprimée par l’Algérie suite au déploiement de forces américaines en Espagne. Le but de ce déploiement était de se préparer à une intervention en cas de trouble en Afrique du Nord », ajoute la même source.
Boualem M.
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