appelé l'ami des pauvres , et ca parle ailleurs de 200 da pour la consultation et non 500 Da ..
Décès du docteur Zaïm à Guelma : La population pleure le toubib humaniste
La nouvelle est tombée tel un couperet mercredi et s'est répandue comme une traînée de poudre dans toute la région. Mohamed Zaïm, ce docteur hors du commun, est décédé chez lui alors qu'il accomplissait la prière d’el-icha, à la suite d'un arrêt cardiaque, semble-t-il. Exerçant depuis le début des années 80 à Belkheir, à quelques encablures de Guelma, il est connu, respecté et apprécié par la population qu'il reçoit dans son cabinet médical ouvert durant toute la nuit. En effet, ce médecin, sexagénaire, originaire de la wilaya de Biskra, s'illustre par ses qualités humaines, son dévouement et sa générosité. Son voisin témoigne : “Ses honoraires sont fixés à 500 DA, contrairement à ses collègues qui exigent le double à leurs
patients ! Il préfère travailler durant toute la nuit pour soigner et réconforter les malades qui affluent de partout. Croyez-moi, il soigne gratuitement les démunis, leur paye parfois les médicaments prescrits et n'hésite pas à les raccompagner chez eux à bord de son véhicule. Il vit parmi nous depuis plus de 35 ans et il connaît tout le monde. C'est un homme foncièrement bon, prêt à aider son prochain et qui se déplace à n'importe quelle heure pour ausculter ceux qui sont alités. Que Dieu ait pitié de son âme.”
source liberté
La nouvelle est tombée tel un couperet mercredi et s'est répandue comme une traînée de poudre dans toute la région. Mohamed Zaïm, ce docteur hors du commun, est décédé chez lui alors qu'il accomplissait la prière d’el-icha, à la suite d'un arrêt cardiaque, semble-t-il. Exerçant depuis le début des années 80 à Belkheir, à quelques encablures de Guelma, il est connu, respecté et apprécié par la population qu'il reçoit dans son cabinet médical ouvert durant toute la nuit. En effet, ce médecin, sexagénaire, originaire de la wilaya de Biskra, s'illustre par ses qualités humaines, son dévouement et sa générosité. Son voisin témoigne : “Ses honoraires sont fixés à 500 DA, contrairement à ses collègues qui exigent le double à leurs
patients ! Il préfère travailler durant toute la nuit pour soigner et réconforter les malades qui affluent de partout. Croyez-moi, il soigne gratuitement les démunis, leur paye parfois les médicaments prescrits et n'hésite pas à les raccompagner chez eux à bord de son véhicule. Il vit parmi nous depuis plus de 35 ans et il connaît tout le monde. C'est un homme foncièrement bon, prêt à aider son prochain et qui se déplace à n'importe quelle heure pour ausculter ceux qui sont alités. Que Dieu ait pitié de son âme.”
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