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Benghabrit tire à boulets rouges sur le Cnapeste, annonce le licenciement des grévistes

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  • Benghabrit tire à boulets rouges sur le Cnapeste, annonce le licenciement des grévistes

    La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit, a tiré à boulets rouges aujourd’hui, mardi 6 février, sur le Cnapeste, l’accusant d’user de «mensonges et de désinformation » dans ses déclarations à l’opinion publique.
    La ministre de l’Education nationale Nouria Benghebrit a déclarée lors du forum de la Radio nationale, que le Cnapeste ne respectait pas le Code du travail en recourant de façon « illégale » à la grève. Elle annonce, à cet effet, que la procédure de licenciement des enseignants grévistes a été enclenchée.

    Mme Benghebrit assure, par ailleurs, que ‘’les portes du dialogue restent ouvertes au Cnapeste’’ et que le secteur de l’éducation est un secteur sensible, exigeant solidarité et sérénité.

    **********

  • #2
    La ministre de l’Education nationale Nouria Benghebrit a déclarée lors du forum de la Radio nationale, que le Cnapeste ne respectait pas le Code du travail en recourant de façon « illégale » à la grève. Elle annonce, à cet effet, que la procédure de licenciement des enseignants grévistes a été enclenchée.

    quelle belle ouverture d’esprit qu'elle vient de montré bengaufrette,le comble de l’absurdité c'est qu'elle est la première responsable de secteur pédagogique en algerie qui est censé apprendre aux enfants qui sont les futures héritier de la nation,la notion de la démocratie et l'acceptation des mouvements de protestation qui ont des points de vue différent
    L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
    Albert Einstein

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    • #3
      la notion de la démocratie et l'acceptation des mouvements de protestation qui ont des points de vue différent
      meme si c trois mois de greve?

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      • #4
        Digital
        meme si c trois mois de greve?
        3 mois de grève ??? c'est rien çà !
        Leurs objectifs : encore des augmentations, des gros rappels, et pourquoi pas renouveler leurs voitures qu'ils ont achété il y a 3 an grace au pactole en vue.

        ce syndicat, s'en fout de nos enfants. Grève illimité et année blanche s'il le faut, ca sera encore et toujours Benghebrit qui n'a pas su les éduquer !

        Bref, le bras de fer se poursuit ... au dépend de nos enfants.

        La ministre de l’Éducation vient de dénoncer hier l'attitude du Cnapeste en disant:
        "Le CNAPESTE ne sait qu'imposer, et c'est çà son crédo. " Eux ils imposent, et nous, il nous suffit d'exécuter !" Quelle logique ?!



        Les portes du ministère ont toujours été ouvertes,
        et on a toujours su montrer notre bonne volonté au dialogue et notre sens des responsabilités.

        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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        • #5
          en tout cas, les salaires tombent toujours en fin de mois pour les enseignants. Alors que les jours de grève ne doivent jamais être payés dans un pays normalement constitué. Encore plus pour une grève illégale, et encore plus illimité !! (l' illimitré en grève n'existe qu'en Algérie ! )

          Grève chômée et payée, tout en contraigant au maximum nos bacheliers à faire les cours du soir chez eux pour rattrapper les retards !
          Ces malheureux y sont obligés maintenant, pour ne pas rater leur BAC cette année.

          et pour couronner le tout, la majorité de nos enseignants sont d"accord avec cette devise :

          "Faire la Grève, c'est tout Bénéf !!"
          Dernière modification par Pomaria, 07 février 2018, 21h44.
          Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

          Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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          • #6
            digital

            meme si c trois mois de greve?

            ce bilan et tiré des longues années de lutte qui ont été étouffé par des fausses promesse cette attitude attise la colère chez les grévistes,enseignants ou médecin qui doutent de plus en plus de la sincérité des autorités vis a vis de la satisfaction de leurs demande ce qui pousse les syndicaliste a intensifier les mouvement des gréve et de protestation pour les rendre de plus en plus longues et radicales.

            c'est la façon de traité avec les grévistes qui sont légitimes qui est radicale. vous accepté ce que nous vous imposons ou allez mendiez.
            L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
            Albert Einstein

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            • #7
              vous acceptez ce que nous vous imposons ou allez mendiez.



              j'ajoute que cette expression nous donne l'impression que nous vivons dans une propriété privé et qu'en dehors du cercle de la vieille momie personne n'est algerien. ca me rappel le personnage de kunta kinte qui a passé tout sa vie entraîne d'essayé de s’échappé pour retrouve sa terre mère qui le reconnaisse pour gagné enfin sa liberté.
              L'escalier de la science est l'échelle de Jacob,il ne s'achève qu'aux pieds de Dieu
              Albert Einstein

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              • #8
                Au lendemain du ton ferme adopté par la ministre Nouria Benghebrit qui a menacé d’appliquer rigoureusement la loi à l’encontre des enseignants grévistes, le ministère de l’Éducation nationale est passé à l’acte.
                Des décisions de radiation ont déjà été signifiées à certains grévistes, révèle ce jeudi matin Nedjadi Messeguem, inspecteur général du ministère.

                « Tous ceux qui n’ont pas repris le travail sont en situation d’absence, on ne parle plus de grève puisque le juge a déclaré que la grève est illégale. Nous avons déjà entamé l’envoi des mises en demeure pour tout le personnel qui n’a pas repris le travail. À partir d’hier à Blida, des radiations ont été transmises aux enseignants absents depuis le 26 novembre », a déclaré Messeguem sur la Chaîne III de la Radio nationale.

                Il a ajouté que « ceux qui ont été radiés ont atteint la limite de la durée légale alors que d’autres sont au premier, au deuxième ou au troisième avertissement.»

                À Blida, il a été procédé au remplacement de 426 enseignants grévistes par des vacataires qui étaient sur la liste d’attente tandis que 500 à 600 enseignants risquent la radiation, a précisé le représentant du ministère.

                Il se félicite néanmoins du fait que chaque jour, beaucoup d’enseignants reprennent le travail : « Je pense que c’est un moyen très dissuasif. Beaucoup d’enseignants sont en train de rejoindre leurs postes. Hier par exemple à Blida, plus de 2000 enseignants ont repris. »

                « Nous comptons sur la sagesse des enseignants pour qu’ils reprennent, sinon il y a le glaive de la radiation et vous savez que la loi sera appliquée dans toute sa rigueur », a encore déclaré M. Nedjadi, qui montre la même inflexibilité devant ceux qui refusent les ponctions sur salaire.

                « Ces jours-ci, nous avons rencontré les membres du bureau du syndicat de Béjaïa pour écouter leur problèmes, et finalement, ils refusent la règle de droit, ils veulent reprendre sans ponction. La ponction, c’est une règle que nous appliquons depuis la venue de Mme la ministre en 2014. Nous avons commencé à l’appliquer et demandé à tous nos partenaires, que ce soit les syndicats ou fonctionnaires, qu’un travail qui n’est pas fait ne peut pas être payé. Et là, ceux sont les textes de la République algérienne que tout le monde reconnaît. Les syndicats avaient l’habitude avant 2014 de faire la grève et de refuser la ponction, mais maintenant, la ponction est devenue une règle sur laquelle il n’est pas possible de revenir », a-t-il détaillé.

                Durcissant le ton à l’égard de ceux qui « prennent les élèves en otage », l’inspecteur général estime que « ne pas avoir de contact avec l’administration, ne pas remettre les notes, ne pas signer des administratifs, tout cela relève de la rébellion. Nous avons le sentiment que ce syndicat (le Cnapeste, NDLR) est dans la désobéissance. Puisqu’il s’investit dans un champ illégal et toute cette terminologie utilisée dans leurs communiqués n’entre pas dans le champ de la loi.»
                TSA

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                • #9
                  Pour avoir la nationalité française Benghabrit n'est normalement pas ministrable, selon la constitution.
                  وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                  • #10
                    ...

                    ?

                    Beaucoup trop de mascarade dans le statut de la double nationalité, pourtant, et/ou hélas, au fil de chaque apprentissage puis de chaque responsabilité, Madame, Mesdames, Monsieur, Messieurs, Jeunes et moins Jeunes Gens, la "fondamentalité" d'une origine, d'une culture, d'une histoire n'a pas (encore) fait toute la lumière sur la réalité forcée de chaque identité..., les secrets libres et indépendants de la mesure juste et vraisemblablement unanime du respect commun et citoyen ne peut être le déséquilibre forcé et inégal des liens si mal dispensés à chaque raisons, qu'elles soient individuelles ou collectives... Alors, croyez le bien, ni la mer ni la terre des peuples et des natures ne sont, et ne peuvent être, dans leurs moindres différences et parmi les choses et les consciences, l'oeuvre "normale" et satisfaisante de la conjugaison historique et humaine...ce n'est pas tout, mais le fruit d'une valeur étrangère était-il la fleur d'un choix étranger...

                    merci...
                    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                    • #11
                      Benghabrit tire à boulets rouges sur le Cnapeste
                      J'aime bien la cnapeste qui a envoyé promener la scélérate UGTA...
                      C'est le début du vrai syndicalisme en Algérie indépendant, c'est un peu normal qu'il y ait des excès.
                      Mme Benghebrit a raison de s'emporter quand on prend en otage l'éducation de tous les enfants du pays.
                      La grève est partout encadrée par des lois, on ne peut y avoir recours n'importe quand...
                      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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