La qualité de l’enseignement en Algérie laisse à désirer. Selon un responsable du ministère de l’Education National, plus de la moitié des élèves algériens de 15 ans sont plutôt faibles en mathématique, science et lecture.
«61% des élèves de 15 ans n’ont pas le niveau en compétence d’analyse en mathématiques, en sciences et en lecture», a déclaré à ce propos Farid Benramdane, directeur général de la pédagogie au ministère. Celui-ci s’est appuyé sur les résultats de l’enquête menée par le Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) entre 2012 et 2015. Des résultats en deçà des attentes confirmés également «lors de plusieurs conférences à l’instar de celles de 2014 et de 2015 ou encore lors de l’opération de recensement et d’analyse des erreurs commises par les candidats lors des examens nationaux organisés par le ministère en collaboration avec les laboratoires de recherche universitaires ou à travers la participation des élèves aux concours internationaux», a renchérit la ministre de l’Education national, Nouria Benghabrit, qui a qualifiée ces résultats d’«insuffisants». A cet effet, ce département ministériel a décidé d’élaborer un «plan national de formation» à l’endroit des enseignants qui s’étalera jusqu’en 2020. 53 thèmes de formation ont été choisis. Il faut noter, en dernier lieu, que dans le programme PISA, initié par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l’Algérie s’était classé, dans la dernière étude, publié en 2016, 69e en mathématique et science et 68e en lecture. 70 pays avaient pris part à cette étude.
Elyas Nour
«61% des élèves de 15 ans n’ont pas le niveau en compétence d’analyse en mathématiques, en sciences et en lecture», a déclaré à ce propos Farid Benramdane, directeur général de la pédagogie au ministère. Celui-ci s’est appuyé sur les résultats de l’enquête menée par le Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA) entre 2012 et 2015. Des résultats en deçà des attentes confirmés également «lors de plusieurs conférences à l’instar de celles de 2014 et de 2015 ou encore lors de l’opération de recensement et d’analyse des erreurs commises par les candidats lors des examens nationaux organisés par le ministère en collaboration avec les laboratoires de recherche universitaires ou à travers la participation des élèves aux concours internationaux», a renchérit la ministre de l’Education national, Nouria Benghabrit, qui a qualifiée ces résultats d’«insuffisants». A cet effet, ce département ministériel a décidé d’élaborer un «plan national de formation» à l’endroit des enseignants qui s’étalera jusqu’en 2020. 53 thèmes de formation ont été choisis. Il faut noter, en dernier lieu, que dans le programme PISA, initié par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l’Algérie s’était classé, dans la dernière étude, publié en 2016, 69e en mathématique et science et 68e en lecture. 70 pays avaient pris part à cette étude.
Elyas Nour
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