Sous un autre angle, l’affaire Saadani, Nekkaz, qui pour moi ne révèle rien de plus que ce qu’on sait déjà, sur les deux personnages, dont l’un est un bandit sous protection des deux rives, et l’autre un farfelu qui parasite l’action politique rationnelle et efficace, avec ses sorties folkloriques sous les fenêtres des concernés, curieusement limités à trois larrons, sur quelque milliers de biens, plus ou moins illégaux de différents maîtres de la régence locale.
Par contre, il est une chose de sure, et c’est la cécité intéressée et ordonnée de la justice française sur tous les fonds engrangés par ce pays, en revendant un immobilier ancien à trois fois sa valeur réelle, à des détenteurs de fonds, dont nous connaissons l’origine délictuelle, et pour le moins non déclarés chez nous.
Il existe bien une convention fiscale et une autre judiciaire Algero française, sur la non double imposition des revenus, mais aussi sur la collaboration en matière fiscale, qui dicte aux deux parties de collaborer en matière d’identification de revenus et de leurs origines, ratifiée par les deux pays, et engageant les deux parties,
Cette convention, est activée du coté français pour quelque milliers d’euros pourtant légitimement gagnés, de plusieurs algériens juste à la recherche d’une voiture à acheter, et les procédures les plus restrictives sont imposées à ces fonds, non protégés des deux cotés de la méditerranée, par une connivence de pillards associés.
Mais curieusement elle devient muette, des qu’ils s’agit de millions d’euros présentés par des parties qui n’ont même pas qualité commerciale pour les avoir en détentions, et en plus des politiques ou affidés.
Ceci, le Fisc, les banques et la justice française le savent, das le détail et connaissent même l’origine exacte des fonds et le détail des combines qui les ont générés, tant leurs agents locaux sont actifs dans tous les sens du terme.
Alors, au lieu de se pointer devant les fenêtres des gens, comme un moineau en mal de porte cochère par un jour d’hiver,
Monsieur Nekkaz, lui même versé dans l’immobilier de manière, peu orthodoxe, et connaisseur en matière d’exigence légales sur les mouvement de capitaux en France,.
Serait bien inspiré, de constituer un collectif d’avocat, au nom d’une asssociation facile à creer en france, e vue de reclamer les procedures suvies par la banques et l’admnistration fiscale française vis à vis de ces fonds et de leurs detenteurs.
C’est plus legal, plus efficace, et engage la partie la plus perfide dans ces affaires, en l’occurence l’admnistration française, et les gouvernements successifs de ce pays.
Tout le reste n’est que du Folklore.
Ceci, dit, que nos larrons locaux, ne se trompent ni sur les intentions de la france, ni encore moins sur la perennité de leur statut actuel, individuel ou collectif.
Des qu’ils cesseront pour une raison ou une autre, de servir d’aspirateurs dans le sens favorable à l’economie hexagonale, ou qu’ils seront dans l’obligation de quitter le verger local, faute de fruits ou de sécurité pour les cueuillir,
Ils peuvent etre surs, qu’ils seront reduits par cette meme administration française, à la mendicité, si ce n’est à la prison, là ou ils pensent jouir à l’aise des fruits d’un coup de force.
Cette administration, qui a toujours des réflexes coloniaux avec les supplétifs en disgrace, va non seulement profiter de l’occasion pour saisir ce qui est saisissable à son profit et pas le notre, mais aussi, se rabibocher avec l’équipe aux trousses de cette équipe en fin de vie politique, tout en s’offrant les bonnes grâces du bon peuple, qui va crier à la justice du pays du droit.
Ben Ali, Kadhafi, et bien d’autre avant eux et après eux, en Afrique, ont eu à goûter à la reconnaissance de la France une fois les carottes cuites chez eux.
Personnellement j’encourage Macron, à rompre avec les réflexes économiques de la Françafrique, après avoir rompu avec les réflexes politiques de la gauche caviar et de la droite paillarde.
Il est temps, pour ce pays, d’appliquer ses lois chez lui, rien que ses lois, tout en respectant ses conventions avec nous, même si ses prédécesseurs ne les ont établies que dans un esprit malsain de ne jamais les respecter intégralement, au même titre que les nôtres d’ailleurs.
La France ne s’en portera que mieux, sachant que le prix à payer, pour les clandestins en afflux permanent, et pour une éventuelle déstabilisation par la faute de cette gouvernance par la prédation, sera autrement plus cher pour son pays, que les dividendes glanés de ce genre de combines, qui ont peut être servi quelques politiciens véreux en France, mais en aucun cas la France en tant que Pays.
Ferhat AIT-ALI : Expert financier
Par contre, il est une chose de sure, et c’est la cécité intéressée et ordonnée de la justice française sur tous les fonds engrangés par ce pays, en revendant un immobilier ancien à trois fois sa valeur réelle, à des détenteurs de fonds, dont nous connaissons l’origine délictuelle, et pour le moins non déclarés chez nous.
Il existe bien une convention fiscale et une autre judiciaire Algero française, sur la non double imposition des revenus, mais aussi sur la collaboration en matière fiscale, qui dicte aux deux parties de collaborer en matière d’identification de revenus et de leurs origines, ratifiée par les deux pays, et engageant les deux parties,
Cette convention, est activée du coté français pour quelque milliers d’euros pourtant légitimement gagnés, de plusieurs algériens juste à la recherche d’une voiture à acheter, et les procédures les plus restrictives sont imposées à ces fonds, non protégés des deux cotés de la méditerranée, par une connivence de pillards associés.
Mais curieusement elle devient muette, des qu’ils s’agit de millions d’euros présentés par des parties qui n’ont même pas qualité commerciale pour les avoir en détentions, et en plus des politiques ou affidés.
Ceci, le Fisc, les banques et la justice française le savent, das le détail et connaissent même l’origine exacte des fonds et le détail des combines qui les ont générés, tant leurs agents locaux sont actifs dans tous les sens du terme.
Alors, au lieu de se pointer devant les fenêtres des gens, comme un moineau en mal de porte cochère par un jour d’hiver,
Monsieur Nekkaz, lui même versé dans l’immobilier de manière, peu orthodoxe, et connaisseur en matière d’exigence légales sur les mouvement de capitaux en France,.
Serait bien inspiré, de constituer un collectif d’avocat, au nom d’une asssociation facile à creer en france, e vue de reclamer les procedures suvies par la banques et l’admnistration fiscale française vis à vis de ces fonds et de leurs detenteurs.
C’est plus legal, plus efficace, et engage la partie la plus perfide dans ces affaires, en l’occurence l’admnistration française, et les gouvernements successifs de ce pays.
Tout le reste n’est que du Folklore.
Ceci, dit, que nos larrons locaux, ne se trompent ni sur les intentions de la france, ni encore moins sur la perennité de leur statut actuel, individuel ou collectif.
Des qu’ils cesseront pour une raison ou une autre, de servir d’aspirateurs dans le sens favorable à l’economie hexagonale, ou qu’ils seront dans l’obligation de quitter le verger local, faute de fruits ou de sécurité pour les cueuillir,
Ils peuvent etre surs, qu’ils seront reduits par cette meme administration française, à la mendicité, si ce n’est à la prison, là ou ils pensent jouir à l’aise des fruits d’un coup de force.
Cette administration, qui a toujours des réflexes coloniaux avec les supplétifs en disgrace, va non seulement profiter de l’occasion pour saisir ce qui est saisissable à son profit et pas le notre, mais aussi, se rabibocher avec l’équipe aux trousses de cette équipe en fin de vie politique, tout en s’offrant les bonnes grâces du bon peuple, qui va crier à la justice du pays du droit.
Ben Ali, Kadhafi, et bien d’autre avant eux et après eux, en Afrique, ont eu à goûter à la reconnaissance de la France une fois les carottes cuites chez eux.
Personnellement j’encourage Macron, à rompre avec les réflexes économiques de la Françafrique, après avoir rompu avec les réflexes politiques de la gauche caviar et de la droite paillarde.
Il est temps, pour ce pays, d’appliquer ses lois chez lui, rien que ses lois, tout en respectant ses conventions avec nous, même si ses prédécesseurs ne les ont établies que dans un esprit malsain de ne jamais les respecter intégralement, au même titre que les nôtres d’ailleurs.
La France ne s’en portera que mieux, sachant que le prix à payer, pour les clandestins en afflux permanent, et pour une éventuelle déstabilisation par la faute de cette gouvernance par la prédation, sera autrement plus cher pour son pays, que les dividendes glanés de ce genre de combines, qui ont peut être servi quelques politiciens véreux en France, mais en aucun cas la France en tant que Pays.
Ferhat AIT-ALI : Expert financier
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