L’acharnement du pouvoir contre le capitaine d’industrie Issad Rebrab ne connaît pas de limite et ne veut pas s'arrêter. Selon le quotidien Liberté, le directeur du port de Béjaïa, Djelloul Achour, a récidivé en interdisant le débarquement de 16 conteneurs importés par le groupe Cevital dans le cadre d’un projet d’investissement.
L’homme s’est déjà illustré, il y a de cela plusieurs mois, en empêchant le déchargement de toute une usine de l’homme d’affaires algérien destinée à la trituration de graines oléagineuses pour la production d’huile. Demain, quand l’Algérie deviendra normale et que les gens devront rendre des comptes, ce directeur ne pourra pas expliquer son comportement antipatiotique par des «instructions venues d’en haut», car l’hostilité manifestée contre Issad Rebrab et qui défie toute logique devient, avec le temps, un crime contre l’économie nationale. Le patron de Cevital, courtisé et respecté dans le monde entier, est tenace et refuse de jeter l’éponge. Il fait preuve d’un patriotisme et d’un amour pour son pays qu’on ne trouve pas chez les usurpateurs qui se sont accaparés des pouvoirs exorbitants dans notre pays. Issad Rebrab est connu pour être un créateur de richesses et d’emplois, contribuant ainsi au développement du pays et à la résorption du chômage. De ce fait, il est devenu le second contributeur au fisc après Sonatrach.
Et il ne se décourage pas pour autant devant la cabale montée contre lui. Celle-ci ne date pas d’hier et n’est pas orchestrée par de simples sous-fifres, comme on le voit à Béjaïa. C’est Abdelaziz Bouteflika en personne qui serait derrière l’hostilité manifestée contre Rebrab. Un exemple parmi d’autres : l’homme d’affaires a proposé de construire un port en eau profonde pour n’utiliser que 20% de ses capacités, le reste étant offert gracieusement à l’Etat : refus des autorités.
Les Marocains sautent sur l’occasion pour en construire un à Tanger. Conséquences : les gros porte-conteneurs ne peuvent débarquer dans aucun port algérien.
Ce qui fait que les grands conteneurs sont d’abord débarqués dans le port tangerois avant d’être acheminés en Algérie, d’où pratiquement un doublement du coût des transports pour les importateurs algériens.
Malheureusement, le scandaleux comportement de ce directeur de Béjaïa n’a que des conséquences négatives. Le Financial Times de Londres, pourtant très loin des préoccupations algériennes, s’était ému lorsque l’usine a été interdite de débarquement, une interdiction qui dure toujours. Cela a un impact très négatif sur le climat des affaires et n’encourage pas les investisseurs étrangers à venir s’installer chez nous.
Même la Banque mondiale a relevé ce mauvais climat. Pourquoi ce pouvoir travaille-t-il contre les intérêts de l’Algérie ? Il a réussi la prouesse de faire de cette «Mecque des révolutionnaires» un pays quelconque, qui n’exerce aucune attractivité sur le reste du monde.
Tayeb Belghiche
L’homme s’est déjà illustré, il y a de cela plusieurs mois, en empêchant le déchargement de toute une usine de l’homme d’affaires algérien destinée à la trituration de graines oléagineuses pour la production d’huile. Demain, quand l’Algérie deviendra normale et que les gens devront rendre des comptes, ce directeur ne pourra pas expliquer son comportement antipatiotique par des «instructions venues d’en haut», car l’hostilité manifestée contre Issad Rebrab et qui défie toute logique devient, avec le temps, un crime contre l’économie nationale. Le patron de Cevital, courtisé et respecté dans le monde entier, est tenace et refuse de jeter l’éponge. Il fait preuve d’un patriotisme et d’un amour pour son pays qu’on ne trouve pas chez les usurpateurs qui se sont accaparés des pouvoirs exorbitants dans notre pays. Issad Rebrab est connu pour être un créateur de richesses et d’emplois, contribuant ainsi au développement du pays et à la résorption du chômage. De ce fait, il est devenu le second contributeur au fisc après Sonatrach.
Et il ne se décourage pas pour autant devant la cabale montée contre lui. Celle-ci ne date pas d’hier et n’est pas orchestrée par de simples sous-fifres, comme on le voit à Béjaïa. C’est Abdelaziz Bouteflika en personne qui serait derrière l’hostilité manifestée contre Rebrab. Un exemple parmi d’autres : l’homme d’affaires a proposé de construire un port en eau profonde pour n’utiliser que 20% de ses capacités, le reste étant offert gracieusement à l’Etat : refus des autorités.
Les Marocains sautent sur l’occasion pour en construire un à Tanger. Conséquences : les gros porte-conteneurs ne peuvent débarquer dans aucun port algérien.
Ce qui fait que les grands conteneurs sont d’abord débarqués dans le port tangerois avant d’être acheminés en Algérie, d’où pratiquement un doublement du coût des transports pour les importateurs algériens.
Malheureusement, le scandaleux comportement de ce directeur de Béjaïa n’a que des conséquences négatives. Le Financial Times de Londres, pourtant très loin des préoccupations algériennes, s’était ému lorsque l’usine a été interdite de débarquement, une interdiction qui dure toujours. Cela a un impact très négatif sur le climat des affaires et n’encourage pas les investisseurs étrangers à venir s’installer chez nous.
Même la Banque mondiale a relevé ce mauvais climat. Pourquoi ce pouvoir travaille-t-il contre les intérêts de l’Algérie ? Il a réussi la prouesse de faire de cette «Mecque des révolutionnaires» un pays quelconque, qui n’exerce aucune attractivité sur le reste du monde.
Tayeb Belghiche
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