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Vidéo/ Un comité de soutien en faveur de la candidature de Saïd Bouteflika à l’élection présidentielle de 2019

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  • #16
    Soutenir un candidat à la présidence de la république sans connaitre son programme et sans meme connaitre ses positions politique !!oeilfermé IL faut le faire

    Je ne sais pas si cela existe ailleurs dans d'autres républiques bananières

    Les algériens sont entrés dans le domaine de la politique-fiction .
    Dernière modification par ELKSOURI, 08 octobre 2016, 17h42.

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    • #17
      ELKSOURI
      beaucoup de gens soutiennent Emmanuel macron sans connaitre son programme.
      Il ne l'a toujours pas présenté.

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      • #18
        Envoyé par awtil
        beaucoup de gens soutiennent Emmanuel macron sans connaitre son programme.
        Il ne l'a toujours pas présenté.

        bonsoir awtil ,
        Emmanuel Macron a été ministre sous la présidence de Holande et a démissionné .Ceux qui le soutiennent doivent connaitre ses positions politiques et les valeurs qu'il veut défendre .Il fréquente les médias et les plateaux de télévision ,et les français peuvent connaitre tout ce qui le concerne tant sa vie politique que privée . Tu as donné le mauvais exemple

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        • #19
          Un comité de soutient du vent, franchement ayamet je me demande ce qu'il y a à l'intérieur de certains crânes.

          D'accord il y a des gens qui aiment la chitta encore faut-il qu'il y ait une chaussure au moins pour brosser, la y a même pas une semelle, une chaussette, un orteil rien et déjà que des fracassés du crâne brandissent leur brosse.

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          • #20
            Saïd Bouteflika- plus crédible que son aîné Abdelaziz- n'en possède pas pourtant ses actes de noblesse afin de charmer le peuple algérien.
            _________________

            Sens de la tactique

            S'il garde une aura, il la doit à ses coups d'éclat diplomatiques. En 1974, alors président de l'Assemblée générale des Nations unies, il accueille Yasser Arafat, dirigeant de l'OLP, avec les honneurs dus à un chef d'Etat. Mieux: il expulse les représentants de l'Afrique du Sud alors sous le régime de l'apartheid. Washington et ses alliés enragent

            Source: L'express.fr

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            • #21
              S'il garde une aura, il la doit à ses coups d'éclat diplomatiques
              Il travaillait sous l'aile du burnous de Boumédienne .IL suivait à la lettre ce que demandait Boumédienne pour ne pas dire éxécutait les ordres. La diplomatie était menée et pensée par Boumédienne ,il ne jouait que le role d'intermédiaire .
              Dernière modification par ELKSOURI, 08 octobre 2016, 21h40.

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              • #22
                ELKOURSI dixit: " Il travaillait sous l'aile du burnous de Boumédienne .IL suivait à la lettre ce que demandait Boumédienne pour ne pas dire éxécutait les ordres."

                C'est l'inverse plutôt. Le discret Boumediène avait tout légué à son ministre des affaires étrangères (Boutef) et d'où le "curriculum vitae" tronqué de l'actuel président algérien.
                _________________________

                Dans le sillage de Boumediene, il avait acquis une vision de la révolution - et de l'Algérie elle-même, phare du tiers-monde, à l'avant-garde des pays dits non alignés - plus cohérente que celle de Ben Bella et de son populisme brouillon.

                Sa famille politique reste le nationalisme. A l'égard du reste du monde arabe, il manifestait alors un mépris à peine voilé; tenait les régimes voisins, Tunisie et Maroc, pour le comble de l'abomination.

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                • #23
                  il n y a pas de fumée sans feu , boutef a eu le poste malgré son état, pourquoi pas son frere , et ce , dans la continuité, les Algériens vont ils se révolter, surement pas, surtout, avec les oiseaux de malheurs qui les guettent, les islamistes, les berberistes, et beaucoup d autres prédateurs, donc, espérons que le pouvoir aura pitié de nous et n imposera pas boutef junior !

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                  • #24
                    @ arhas: Contrairement au Maroc, en Algérie le pouvoir ne s'hérite pas!

                    A preuve, ce sont les fascistes Hassan II, Bourguiba et Kadhafi qui détiennent toujours les records de longévité des gouvernements en Afrique du Nord.

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                    • #25
                      en Algérie le pouvoir ne s'hérite pas!

                      Aucun président en Algérie n a quitté le pouvoir de son propre gré , soit c est la mort , soit les coups d'états ; a l exception d "un seul .

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                      • #26
                        arhas dixit: " Aucun président en Algérie n a quitté le pouvoir de son propre gré , soit c est la mort , soit les coups d'états ; a l exception d "un seul ."

                        Zéroual et Chadli?

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                        • #27
                          Chadli , c est un coup d'état !

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                          • #28
                            ahras dixit: " Chadli , c est un coup d'état!"

                            Ah bon? alors, vous n'êtes pas Algérien pour stipuler une telle ineptie.

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                            • #29
                              Ah bon? alors, vous n'êtes pas Algérien pour stipuler une telle ineptie.

                              Comment t as deviné que je n étais pas Algérien , juste parce que , j'écrit que pour Chadli c"était un coup d'état!
                              C"est vrai , y avait pas d effusion de sang , pas de chars , mais n empêche que c est un coup d'état ....

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                              • #30
                                Meme pour Zeroual , il n a pas quitté le pouvoir de son propre gré , la pression sur lui était tres forte , il n a pu résister !

                                L'EVICTION DE LAMINE ZEROUAL expliquée par un ex-général
                                Propos du général à la retraire Hocine Benhadid, recueillis par Adlene Meddi.



                                "C’est un autre cas de figure, une lutte d’un autre genre, un conflit qui remontait au duel Nezzar-Beloucif. Beloucif avait été nommé chef d’état-major par Chadli qui lui était proche, il fallait donc le dégommer et ils lui ont créé des problèmes au point qu’il a été emprisonné. Puis c’est Khaled Nezzar qui a été nommé chef d’état-major (en empêchant le général le plus apte, Kamal Abderrahim, d’accéder à ce poste) et ministre de la Défense nationale par la suite, en 1990, sous le parrainage de Larbi Belkheir. Les officiers supérieurs d’alors – Hadjeres, Attaïlia, Betchine, Abdelmadjid Cherif, etc. – ont été dégommés par Nezzar. En 1993, pour calmer la scène politique et apaiser certains hauts officiers qui étaient hostiles à la situation dans l’armée, on a installé Liamine Zeroual comme ministre de la Défense nationale.

                                Ce dernier était respecté au sein de l’armée. Et à la fin du mandat du HCE, fin 1993, le président de cette instance, le regretté Ali Kafi, qui était aussi président de l’Organisation nationale des moudjahidine avec un solide réseau, a tout fait, lors de la Conférence de dialogue national (janvier 1994), afin de désigner Zeroual chef de l’Etat. Kafi voulait couper l’herbe sous le pied de clans qui voulaient imposer quelqu’un d’autre à la place de Zeroual. Il en résulta que les autres clans avaient de la haine : "Pourquoi Zeroual et pas nous !" Ils ont continué à jouer en coulisses contre Zeroual, et comme ils savaient que ce dernier avait le général Betchine comme ami, ce sont eux qui ont proposé à Zeroual de le ramener à ses côtés.

                                C’était un piège. Il s’ensuivit les affaires contre Betchine pour affaiblir Zeroual, et ce dernier a quitté le pouvoir car il avait à faire face à une situation compliquée. Il s’est retrouvé pris dans les solides fils d’une toile d’araignée.»



                                Source : El Watan

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