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Annaba, un Tiguentourine numérique pour démilitariser la conception de la sécurité nationale

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  • Annaba, un Tiguentourine numérique pour démilitariser la conception de la sécurité nationale

    Le ralentissement de l’activité économique nationale provoqué depuis jeudi dernier par la rupture d’un câble sous-marin est un moment de vérité. Deux conceptions vieillottes à la fois de la souveraineté nationale et du développement économique prennent la tasse sous la marée de Annaba. D’abord la seconde.

    C’est l’économiste et ancien ministre Smaïl Goumeziane qui avait suggéré un «naming» pour la stratégie économique des années Bouteflika en l’appelant stratégie des infrastructures industrialisantes – clin d’œil aux années Boumediène des industries industrialisantes. Une dizaine d’années plus tard, la crise sous-marine de Annaba dévoile l’archaïsme du rattrapage algérien des infrastructures.

    Le rattrapage s’est fait sur un flanc, celui des équipements physiques, et s’est accompagné d’un immense gouffre creusé sur un autre flanc, celui de l’infrastructure des flux d’information de masse et des services liés : le numérique et son autoroute des données.

    Celle qui commande le monde 3.0. Pour dire les choses simplement, la crise en cours n’est envisageable que dans un pays numériquement retardataire. Un pays où les contenus numériques domestiques sont négligeables, ou le e-commerce n’existe pas, où la e-gouvernance en est à ses premiers balbutiements, où les réseaux intelligents (smart green) ne gouvernent rien : ni les grands chantiers, ni la sécurité des ménages, ni la consommation énergétique, ni les chaînes de production. Maintenir l’Algérie dans une telle dépendance à un seul câble (80% du flux à l’international) est symptomatique du peu d’importance que l’accès à internet continue d’avoir pour le gouvernement. Plus préoccupé à le surveiller qu’à le rendre disponible en continuité et en masse.

    L’Algérie repousse chaque année le virage numérique qu’elle doit donner à son développement. D’abord en fixant dans le pays une partie du trafic internet.

    Ouvrir des négociations avec Google, Facebook et les autres grands acteurs du web pour les amener à venir installer des plateformes de serveurs locaux en Algérie est une nécessité. En parallèle, le développement des data centers privés et publics est aujourd’hui plus stratégique que la restauration des licences d’importation. La dissémination des IPX, ces nœuds d’échange local de données entre opérateurs téléphoniques a pris du retard et fait transiter – internet mobile - un flux important des requêtes des internautes par l’étranger, lorsque la réponse peut venir du réseau voisin.

    Un héritage hérétique de Zohra Derdouri hostile à la présence des acteurs privés dans ces bornes d’interconnexion. Un peu comme si l’on interdisait les supermarchés à l’investissement du privé. La crise actuelle de la connectivité dénote le caractère encore marginal de l’enjeu numérique algérien. Moins de 30% de taux de pénétration d’internet.

    C’est proportionnellement pire que le ratio de la Chine de la révolution culturelle –fin des années 60’ - vis-à-vis de l’automobile. Contenus, acteurs, accessibilité, services, l’Algérie est encore, sur le web, à l’âge du tricycle et du baudet. L’âge tardif de ses gouvernants - le président Bouteflika et les principaux autres responsables - explique en partie ce décalage culturel. En partie seulement.

    Si l’Algérie est autant en retard sur le plan numérique c’est parce qu’elle a une conception strictement militaire de la sécurité et de la souveraineté nationale. Le développement du service numérique en Algérie est resté coincé dans la trappe de la lutte anti-terroriste des années 90’. Tout est soumis à la pesanteur du sécuritaire.

    C’est-à-dire du militaire. Le désert numérique vient de là : le retard ridicule du lancement de l’internet mobile (3G), l’absence burlesque de service GPS, l’interminable feuilleton de la naissance avortée de l’organisme de certification de la signature électronique clé de voûte du e-commerce, jusqu’à et y compris l’incapacité désarmante de TDA (monopole public de la télédiffusion) à numériser la simple reconnaissance des bandes FM sur les autoradios ou à diffuser en signal HD pour les téléviseurs algériens, tout provient d’une doctrine prudentielle militaire non écrite. «Si cela se numérise, cela ne se contrôle plus».

    En tout cas, ne se contrôle plus à l’ancienne. Lorsque l’administration ne peut pas s’ajuster aux nouvelles techniques de cadrage des flux numériques, elle diffère leur libération. Sous la discrète invitation des autorités sécuritaires.

    Ou même pas. Le réflexe est intégré. Ce sont des milliers d’applications, de sites web, de solutions clients à distance, qui sont ainsi maintenus en hibernation, un continent de l’industrie algérienne du développement et de l’intégration web qui est englouti sous la phobie du numérique. Internet devient secondaire. Peu de choses sérieuses s’y règlent en Algérie. Il peut dépendre d’un seul câble. Qui peut se rompre.

    En réalité, la dématérialisation d’une partie des transactions en Algérie requiert préalablement une démilitarisation du coût sécuritaire maintenu artificiellement sur le pays. Des think tanks et des économistes travaillent sur les meilleurs scénarios de cadrage de la dépense publique par temps d’affaissement des ressources en devises. Il manque dans toutes les propositions une évaluation du coût sécuritaire sur l’économie algérienne.

    Le câble rompu au large d’Annaba est un Tigentourine numérique. Il révèle combien est important le sous-investissement, outre celui dans les connexions sous-marines, celui dans l’économie immatérielle de l’intelligence et des réseaux. Il aurait maintenu une partie des flux en Algérie. Pour entamer enfin un rattrapage sur ce flanc, aujourd’hui plus important que celui des trémies et des nouveaux sièges de daïra, il faut accepter l’idée que le risque sécuritaire a changé. Que la réponse militarisée est inadaptée.

    Qu’elle est trop coûteuse. Et pas seulement parce qu’elle retarde l’émergence d’une webosphère.dz. moins gourmande en bande passante importée. Le coût de réponse au risque sécuritaire n’est pas plus évalué que le risque lui-même. Autour d’Alger, par exemple, les barrages de Baba Ali sur l’autoroute de Blida ou celui du tunnel de Birtouta sur la seconde rocade Sud sont censés surveiller l’entrée de la capitale. Or, il est impossible d’arriver à Alger sans repasser devant deux, trois ou quatre autres barrages sécuritaires.

    Ces barrages, et des centaines d’autres à travers le pays, ne sont pas seulement inutiles, ils greffent le budget de l’Etat en temps de travail des usagers, en salaires d’effectifs, en carburant pour les bouchons qu’ils provoquent, en frais de santé pour les stress dont ils sont responsables, en accidents de la route pour les réactions de vitesse qu’ils suscitent aussitôt la chaussée libérée à nouveau.

    Personne dans l’administration ne voulait évaluer cela par temps de pétrole à plus de 100 dollars. Aujourd’hui, sur internet et les autoroutes virtuelles autant que sur les autoroutes physiques, le dispositif qui prévient ou qui traque le risque est plus préjudiciable que le risque de départ. C’est le cas pour le retard numérique. Il tenait à un câble pour le montrer par le chaos.

    El Kadi Ihsane
    ----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----

  • #2
    Pile poil avec la problématique j'ai soulevé sur un autre fil.

    nous sommes en retard de plusieurs décénnie. le tout sécuritaire a bloqué tout le pays.

    http://www.algerie-dz.com/forums/sho...9&postcount=85

    merci pour l'article GLP !
    Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

    Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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    • #3
      Envoyé par Pomaria
      Pile poil avec la problématique j'ai soulevé sur un autre fil.
      yep ! j'ai eu un certain "soulagement" à lire ton poste d'ailleurs, va comprendre pourquoi et ça m'a rappelé l'impression que j'ai eu à lire cet article l'autre fois.

      Faut que ça change, par la force des choses et non par des "aspirations" passives ou de tentatives de raisonnement, tout ce qu'il faut savoir ils le savent pertinemment "là haut". Mais si le malade trouve consciemment un intérêt à être malade, ce n'est pas les prière du professeur-toubib qui vont le guérir ni les tentatives de le raisonner de l'expert-psychologue, mais c'est l'action de changer cet intérêt, peu importe qu'elle vienne du portier même .

      c'est ma façon spirituelle de "juguler" cette triste réalité oeilfermé
      ----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----

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      • #4
        Cet article part d'une (ou plusieurs) hypothèse fausse et d'une méconnaissance totale de la réalité, conséquence les conclusions sont forcément fausses.

        Algérie Télécom et l'état algérien ne sont pas des carriers et don non propriétaires, en principe ces derniers seront les premiers à crier au scandale et à déposer plainte.

        Le bateau de France telecom marine n'a pas été sollicité directement par les algériens mais par d'autres acteurs. dans ce genre de situation les algériens se plaignent uniquement de la rupture de service du lien qu'ils louent même si le cable est rompu dans les eaux territoriales, sauf si ce cable appartient à AT auquel cas il faudra revenir à l'historique de ce cable et à qui il a appartenu et à qui il appartient à la date de l'incident.

        a partir de là on peut dire ce qui ne va pas et éventuellement comment y remédier.

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        • #5
          à qui il a appartenu et à qui il appartient à la date de l'incident.
          Le cable appartient a un consortium dont l’Algérie est membre avec la landing station a Annaba. Dans ce cas particulier le SEA-ME-WE 4

          Les coupures ça peut arriver n'importe ou ,a n'importe qui !!!









          "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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          • #6
            Il ne s'agit pas de ce cable, la section coupée appartient dans les faits à OTH et ce n'est pas Sea-me-we 4 mais une branche qui lui est raccordée qui s'appelle Med Cable.

            C'est marqué sur ton doc.
            Un flash back
            L’Etat, qui désormais détient 51% du capital de Djezzy à travers le Fonds national d’investissements (FNI), devrait, sous réserve d’un nouvel accord, hériter d’un «bonus caché »… immergé au fond de l’océan.

            Un nouveau chapitre de négociations s’ouvrira dans quelques mois sur le câble sous-marin que possède Global Telecom Holding (GTH), le Med Cable, actuellement à l’arrêt.

            Selon une source de la direction de Djezzy, qui n’a pas souhaité divulguer son identité, « les parties engagées dans le dossier du rachat de Djezzy ont convenu d’enclencher de nouvelles discussions dans les mois qui suivent qui porteront quasi exclusivement sur la récupération et la réactivation du câble sous-marin Med Cable, qui relie, sur une longueur de 1300 km, Alger à Marseille via Annaba et Oran ».

            MedCable_Plan

            Actuellement, le câble de transmission n’est pas exploité et pas un octet n’y transite. « Nous espérons pouvoir réactiver le transit de données par ce câble, mais le gouvernement n’a pas encore pris position ; pour notre part, nous ne souhaitons pas lui forcer la main », révèle notre source qui estime qu’avec la montée en puissance de la 3G, « nous aurons besoin de toutes les ressources nécessaires qui se présentent à nous pour augmenter nos capacités de trafic ».

            L’histoire de Med Cable est intrinsèquement liée à celle du conglomérat Orascom. En novembre 2012, Orascom Telecom Media and Technologie Holding avait annoncé publiquement avoir cédé la totalité de ses participations dans Med Cable à Orascom Telecom Holding (Global Telecom), pour une valeur de 12,3 millions de dollars, devenue de fait sa filiale en propriété exclusive. Une transaction à l’époque mal vue par le gouvernement algérien qui a annoncé immédiatement la suspension de toute activité de Med Cable.

            Au vu de la croissance exponentielle de l’échange de données et l’explosion du nombre d’abonnés à l’Internet mobile – 8,2 millions de clients à la 3G à décembre 2014 contre seulement 1,4 million pour l’ADSL, selon l’ARPT – Djezzy voit dans Med Cable une opportunité doublement bénéfique, d’abord sur le plan de la trésorerie, de sorte qu’il lui épargne un effort financier supplémentaire pour augmenter sa bande passante, et sur le plan de l’infrastructure, vu que « c’est un actif » à la disposition du groupe.

            Si un accord est trouvé sur cette liaison à fibre optique, ce sera la première fois qu’un opérateur télécoms – à moitié privé – pourra utiliser son propre réseau de transmission à l’international sans passer par Algérie Télécom, qui en détient le monopole jusqu’à présent. L’Algérie, à travers l’opérateur historique, dispose d’une importante bande passante Internet qui transite par un maillage de liaisons sous-marines à l’international porté par SeaMeWe4 (reliant Annaba à l’Europe), d’une capacité de 640 Gbps, et par Alger-Palma de 80 Gbps.

            La dernière liaison sous-marine est celle reliant Oran – Valence, encore en projet et qui, une fois finalisé, portera la capacité totale de la bande passante Internet à plus de 1,9 Tbps (térabits). Le pays se connecte au monde aussi à travers des liaisons terrestres, Annaba – Tunisie, avec STM-1, Tlemcen-Oujda Maroc, (STM-16) et In Amenas-Libye. Il reste une dernière liaison en chantier, Alger-Zinder-Niger- Abudja-Nigeria, dont seule la partie Alger-In Guezzam, sur 4700 kilomètres, est opérationnelle.Cependant, le projet patine, principalement pour des raisons financières de la part des partenaires de l’Algérie dans cette liaison, mais aussi sécuritaires.

            Quoi qu’il en soit, réactiver Med Cable, c’est aussi avoir dans l’immédiat et à disposition, autant pour Djezzy que pour la bande passante à l’international de l’Algérie, une capacité de transit de 1,28 Tbps.

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            • #7
              citoyen
              Cet article part d'une (ou plusieurs) hypothèse fausse et d'une méconnaissance totale de la réalité, conséquence les conclusions sont forcément fausses.

              Algérie Télécom et l'état algérien ne sont pas des carriers et don non propriétaires, en principe ces derniers seront les premiers à crier au scandale et à déposer plainte.
              citoyen

              je ne crois pas que l'auteur de l'article incrimine AT ou autre pour cette coupure. non !

              il dit plutot que cette coupure a mis à nu le retard flagrant de l'algérie dans l'investissement numérique.

              je pense que tu n'as pas lu tout l'article...
              Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

              Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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              • #8
                Si si pomaria, j'ai lu l'article...

                Dire qu'il y a un retard et même une regression c'est une évidence. En revanche lorsqu'il dit que l'incident de Annaba a révélé le retard et charge le manque d'infrastructure là il a tout faux.

                techniquement AT a brillé par son incompétence flagrante car elle n'a pas été capable de rediriger d'une manière optimale le traffic après avoir perdu seulement le 1/3 de sa bande passante à l'internationale, en calcul mental c'est fastoche si j'ai 1 Mo théorique j'en aurais après coupure et lorsque j'ai des cadors seulement 750 Ko ou moins du fait du travail sup des équipements.

                Sur le plan matériel, l'infrastructure algérienne est plutôt au dessus de la moyenne, en revanche la manière de l'exploiter relève de l'amateurisme.

                lier la connectivité et la disponibilité des accès à de simples plateformes genre google.dz et facebook.dz relève également de l'amateurisme.

                Puis en matière de telecom que veut dire souverainté nationale lorsque pour poser 1 m et le raccorder à un réseau dit "sans couture" de fibre optique il faut demander l'autorisation des US autrement on peut poser 200000 Km de fibre optique sous marine mais il faut obtenir l'autorisation des US pour se raccorder à quelque chose qui a de la valeur. Autrement on peut se raccorder à des réseaux qui ne donnent accès à rien

                Il s'attèle à démontrer que les points d'interconnexion doivent être partagés et cogérés par les opérateurs mais oublie que 2 ans auparavant 2 opérateurs obéissaient exclusivement à leur donneurs d'ordre étrangers : il faudra savoir ce qu'il veut ce monsieur !!!!!

                Bref je ne voulais pas rentrer davantage dans les détails, et surtout l'allusion faite aux barrages de la gendarmerie et police, car je ne voyais pas vraiment la relation avec le sujet tel qu'il a été "batisé" par l'auteur.

                Voilà pourquoi j'ai dis qu'il est parti d'hypothèses fausses

                Wech thab oulla wech t'habi (au choix) c'est comme çà, il y a les forts du moment et il faut composer avec.....intelligemment.

                pour l'anecdote : les smart network pour lui c'est smart green et en théorie cela incite le lecteur un peu averti à tirer le frein à main.

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                • #9
                  citoyen:
                  Dire qu'il y a un retard et même une regression c'est une évidence.
                  Donc y'a pas de mal à le rappeler, histoire que ça n'évolue pas vers le fait accompli et accepté par fatalité.

                  En revanche lorsqu'il dit que l'incident de Annaba a révélé le retard et charge le manque d'infrastructure là il a tout faux.
                  C'est exactement ce qui est arrivé: les algériens n'avaient pas idée à quel point leur connexion internet etait exposée à un incident aussi mineur que la coupure d'une (1) liaison. C'est comme si toute l’électricité d'une ville dépendait de la position ON du disjoncteur de chez toi.

                  Quant aux responsables d'AT, ils l'ont reconnu eux même: cet incident a sérieusement entaché l'image de cette entreprise.

                  Enfin, les responsables des TIC en Algérie ont excellé en remords, des dizaines de responsable ont reconnu le retard souligné et mis sous les projecteurs, à part un imbécile qui s'est distingué par un réflexe Saoudien d'incriminer les victimes (le type de consommation des utilisateurs). On a deux exceptions au fait: ce responsable indélicat et toi ici qui ne veut pas entendre parler d'un retard mis à nu par cette panne. ça ne doit pas être un facteur d'appréciation de la justesse de ton opinion et on doit bien considérer pour celà tes arguments, mais tu dois convenir qu'on a bien droit à être sceptiques par avance.

                  Je commenterai ton argumentaire à une prochaine occasion (peut être dans quelques minutes). Je t'invite à méditer sur ce que je viens de te partager comme impression.
                  ----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----

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                  • #10
                    On ne parle pas du même retard donc faux diagnostic.

                    Quand tu vois ton médecin et il te fais un faux diagnostic donc bye la guérison.

                    Ce n'est pas un retard en matière d'infrastructure physique ce qui est faussement admis par tous et le retard en matière de compétence à exploiter correctement un réseau (aucune allusion faite la dessus).

                    par ailleurs le scénario de Annaba n'est pas nouveau et il y a eu plusieurs types d'incidents et personne n'est à l'abri, c'est comment gérer l'incident qui devient crucial.

                    reconnaître une telle anomalie (exploitation anarchique du réseau avec toutes ses composantes) chez l'opérateur historique veut dire que des têtes vont tomber et çà personne ne va le reconnaître.

                    >>>ça ne doit pas être un facteur d'appréciation de la justesse de ton opinion et on doit bien considérer pour celà tes arguments, mais tu dois convenir qu'on a bien droit à être sceptiques par avance.

                    perso je n'ai aucun intérêt particulier à intervenir sur ce sujet mais j'ai cru bon (avec mes maigres connaissances) éclairer ceux qui veulent savoir, le peu de données que j'ai étalé donnent déjà un aperçu des enjeux et évitent au lecteur de descendre les marches par paquet de 3

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