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L’eau potable absente des robinets

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  • L’eau potable absente des robinets

    Les intempéries qui ont sévi dans la région Est du pays ont été à l’origine de beaucoup de désagréments. A Annaba, depuis le retour du mauvais temps, de nombreux quartiers sont privés d’eau potable.

    Les habitants des quartiers du 5 juillet, l’AADL Sidi Achour, Oued Kouba, et même le centre-ville n’arrivent pas à abreuver leur soif, la cause, selon eux réside dans le fait que l’eau aurait été contaminée suite aux dernières chutes de pluies diluviennes.

    Depuis mardi dernier, les citoyens sont privés de ce liquide précieux et leur patience est mise à rude épreuve. Si par un passé récent, l’eau potable desservie sentait mauvais, depuis presque une semaine elle est absente de leurs robinets... Son odeur était repoussante et ceci a été maintes fois dénoncé par de nombreux foyers car elle était mauvaise pour la consommation, mais elle coulait à flot, se sont- ils plaints. A chaque fois qu’il y a un semblant de pluie, on se retrouve sans ce liquide vital, ont-ils ajouté.

    Des mesures devraient être prises à temps pour éviter ce désagrément, ont-ils crié en rappelant les risques qu’ils ont dû affronter en consommant de l’eau douteuse, accentuant les risques de maladie à transmission hydrique (MTH). Aujourd’hui, l’eau de pluie non potable n’est disponible que dans la rue où elle stagne un peu partout...

    Certains quartiers, à l’image de celui de Bouali Saïd enregistrent une alimentation perturbée en eau potable. Ce liquide est desservi pendant quelques minutes, insuffisantes à abreuver la soif...des citoyens. Nombreux ceux qui se sont rabattus sur les bouteilles d’eau minérale. Et comme d’habitude, les frais induits par cet achat obligatoire se font ressentir tout particulièrement au sein des petites bourses ....

    Les quartiers de la « coquette » à l’image dite la cité des « Hongrois » ou de la cité Sidi-Achour sont aujourd’hui contraints eux aussi à opter pour son achat. D’autres préfèrent se déplacer quotidiennement jusqu’à la ville de Seraïdi pour ramener l’eau de source naturelle du mont Bouzizi et profiter d’une eau au goût fort appréciable.

    Dans les deux cas, le citoyen consommateur se doit de consentir des frais supplémentaires pour l’acquisition d’une eau de meilleure qualité......Un véritable cri de détresse est lancé par ces familles qui menacent de recourir à la rue pour satisfaire une revendication somme toute légitime...D’autant plus que les conditions climatiques sont meilleures depuis deux jours.
    Le Jeune Indépendant

  • #2
    Du temps des Français , il y avait moins de problèmes.

    Que les annabis demandent à SELLAL de permettre à des privés de prendre en charge , avec l'aide des spécialites gouer , la gestion de cette eau et dans quelques mois , les robinets seront de nouveau alimentés . Les citoyens auront juste à en payer le prix.

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    • #3
      L’eau potable absente des robinets
      ça sous entend d'abord qu'il y'en aurait eu..
      potable ?
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