Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Algérie-Premiers affrontements entre opposants au gaz de schiste et forces de l'ordre à In Salah

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #46
    Envoyé par Lgoumri
    Ils veulent tout faire pour déstabiliser le pays, mais les gens ont vecu une décennie noire et ne veulent plus la revivre, certe il y'a la corruption, mais elle ne sera pas reglé par une guerre civile comme le veulent les néo harkis
    par une sympathique cure de désintoxe peut être ?

    Ceux qui complotent contre l'Algerie profiteront pour envoyer les leurs manifester, bruler des choses
    Pour faire la fumée, filmer et sur médiatiser l’événement, actuellement ils créent des troubles dans le monde par les images et les vidéos, c'est des pro, il faut que la police algerienne controlent laba
    Je l'aurais cru pour les kabyles, je l'aurais cru pour les beni mzab... peut être par méconnaissance, mais là, comment je peux te le dire: y'a pas de doute que t'es tout à coté de la plaque avec ton scénario importé sans retouche.
    ----| GLP © production 1886 - 2016 . All rights reserved |----

    Commentaire


    • #47
      انشأء الله تشعل النيران في كل الجزائر وان تصبح الجزائر كلها وديان من الدماء
      لانه شعب شبع خبز وهو نعسان
      الله ماجعل الجزائر مثل سوريا وليبيا والعراق

      حتى يعرفو قيمة النعمة والامان
      .






      .
      Dernière modification par MEK, 02 mars 2015, 00h38.

      Commentaire


      • #48
        Violents affrontements, des blessés et des interpellations

        El Watan le 01.03.15 | 10h00
        Forte affluence hier des citoyens de la ville d’In Salah vers la...

        La situation a pris un cours dramatique hier à In Salah, où les échauffourées entre agents antiémeute et manifestants se sont mues en violents affrontements qui ont fait des dizaines de blessés, dont plusieurs femmes ainsi que trois gendarmes. Samedi 28 mars 2015. 60e jour de la contestation antigaz de schiste.


        En milieu de matinée, 300*personnes décident d’aller voir de plus près du côté de Halliburton, la multinationale chargée de la fracturation hydraulique, selon l’information arrivée à la commission technique représentant la société civile d’In Salah, histoire de vérifier. Les jeunes ont parcouru les 10 km séparant la base de vie de la ville d’In Salah à bord de véhicules de tourisme qu’ils ont laissés à une centaine de mètres. Ils ont commencé par dessiner des graffitis sur le mur d’enceinte, écrivant en gros caractères les slogans de place Somoud*: «Non au gaz de schiste», «Halliburton dégage» et «Get out of In Salah».

        Selon des témoins oculaires, les manifestants ont tenté d’entrer en contact avec la base, puis ont décidé de ramasser des restes de pneus et de troncs de palmier pour faire un feu, en face du portail, afin de se faire remarquer. Alors que quelques-uns essayaient d’escalader le mur pour voir ce qui s’y passait et tenter de s’introduire, les éléments de la Gendarmerie nationale sont arrivés sur les lieux vers 11h. L’ambiance était tendue.

        Les gendarmes ont d’abord sommé les jeunes de se disperser et de rentrer chez eux, selon un témoin. Mais les jeunes étaient décidés à s’assurer de leurs propres yeux de l’existence de produits chimiques. Vers 11h30, des dizaines de manifestants ont commencé à quitter les lieux alors que d’autres voulaient rester. Mais après avoir été la cible de projectiles, les gendarmes ont utilisé les bombes lacrymogènes pour repousser les jeunes vers la ville.

        Affrontement

        L’affrontement était inévitable. Les manifestants lançaient des pierres et divers projectiles contre les forces de l’ordre, qui répondaient par le bâton et le gaz lacrymogène. En début d’après-midi, il y a eu une dizaine d’interpellations. Plusieurs blessés parmi les manifestants ont été raccompagnés chez eux pour recevoir des soins, apprend-on. Les manifestants pris sur les lieux n’ont pas été transférés vers la brigade de gendarmerie du centre-ville.

        La population s’y est rendue en grand nombre pour réclamer la libération des détenus, mais sans résultat. Quelque 10*000 manifestants se sont mobilisés dans une ambiance d’insurrection. Selon des témoignages concordants, il y avait des courses-poursuites de véhicules tout-terrain jusqu’à la tombée de la nuit, alors que les détenus de la matinée ont été relâchés en fin d’après-midi par la gendarmerie.

        La population, solidaire de ses enfants détenus, s’était regroupée sur la place Somoud en signe de protestation. Les femmes étaient encore plus nombreuses et plus déterminées devant la police qui les repoussait vers le lycée mixte*; quelques-unes ont été blessées, bastonnées et violemment réprimées, selon des témoins. Usant de gaz lacrymogènes à outrance, les policiers faisaient des rondes bruyantes au centre-ville, révèle un manifestant joint par téléphone. «Ils ont essayé à maintes reprises de forcer le mur humain qui se dressait sur la place, ils voulaient impressionner les gens par des coups de volant impromptus, un jeune a été touché à la poitrine et transféré à l’hôpital», ajoute-t-il.
        En fin d’après-midi, les forces de l’ordre encerclaient la ville quasiment quadrillée par les éléments de la gendarmerie et de la police.

        Face à eux, une population qui accuse «le gouvernement et le chef de l’Etat de pousser au pourrissement en coupant court toutes les possibilités de dialogue, négligeant de répondre à notre demande de moratoire». «Nous avons reçu des informations sûres que la fracturation hydraulique allait se faire.

        Il faut qu’Alger cesse de nous dédaigner. Nous avons opté pour la lutte pacifique et cette violence ne nous ressemble pas, elle est provoquée. Les forces de l’ordre ont provoqué les gens, des vieux ont affirmé avoir été insultés comme jamais», affirme Mohamed Djouane, président de l’association Shams et activiste antigaz de schiste. A la tombée de la nuit, la population d’In Salah était encore dans la rue, face aux forces de l’ordre et aux colonnes de fumée qui montaient dans le ciel.
        *

        Houria Alioua
        Une démonstration sans équivoque et nette que ces activistes sont agités par des «Sources sures»...
        Dernière modification par ott, 02 mars 2015, 09h11.
        Othmane BENZAGHOU

        Commentaire


        • #49
          La Mafia financière au pouvoir sous la responsabilité du corrompu Boutef est sous les ordres des multinationales occidentale.

          Le OK donné par les capitales occidentale (Washington, Paris, ...) pour le 4 ème mandat n'était pas sans contre partie, l'on comprend bien pourquoi cette insistance pour le Gaz de schiste, contre la volonté des populations locales.

          La raison dit que, dans ce contexte régionale sensible, qu'il faut être prudent et attentif mais l'entêtement explique bien les pressions et les contrats signés avec les multinationales!!!

          Boutef et sa mafia financière sont entrain de conduire le pays vers la catastrophe, on se dirigera un jour l'autre vers l’affrontement et le scénario Soudanais n'est pas exclu malheureusement??
          "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

          Commentaire


          • #50
            @Nomad

            Malheureusement, les faits contredisent ta théorie. La question de l'exploration du gaz de schiste sera pliée dans quelques semaines, à la fin des explorations du second puit de In Salah. Ce sont d'ailleurs des déclarations officielles qui le stipulent, les mêmes agitateurs politiques veulent exploiter ehontement ce nouveau fond de commerce. Il est dommageable qu'une question aussi sérieuse que le gaz de schiste pour les générations avenirs soient pris en otage de cette manière par des politiciens, à la recherche de nouveaux fonds de commerces, après des échecs répétés...

            Cette histoire aura démontré l'incurie d'une certaine opposition, sponsorisée par des «Sources sures», qui a de cette manière creusé sa tombe. Elle aura aussi le bénéfice de démontrer à qui aurait encore des doutes sur le péril que font porter les différents acteurs politiques à ce pays, et la nécessité de passer à une autre étape de l'histoire de ce pays, avec surtout, d'autres pratiques politiques...
            Dernière modification par ott, 02 mars 2015, 10h08.
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #51
              Malheureusement, les faits contredisent ta théorie. La question de l'exploration du gaz de schiste sera pliée dans quelques semaines, à la fin des exploration du second puit de In Salah. Ce sont d'ailleurs des déclarations officielles qui le stipulent, les mêmes agitateurs politiques veulent exploiter à fond ce nouveau fond de commerce.
              De quelle théorie parles-tu?
              à In-Salah, les Manifestants ne sont pas manipulés par la CNTLD ou je ne sais quelle pseudo opposition. Ce sont plutôt les enfants de la région qui se se battent pour préserver leur région des désastres écologiques que peut engendrer l'exploration du gaz de schistes.

              Il est dommageable qu'une question aussi sérieuse que le gaz de schiste pour les générations avenirs soient pris en otage de cette manière par des politiciens, à la recherche de nouveaux fonds de commerces, après des échecs répétés...
              Et bien ce pouvoir mafieux n'a rien d'autre à proposer comme alternative économique au pays que de continuer dans le même cheminement de l'économie rentière! et à ce que je vois tu approuves bien ce choix?
              Franchement, sans être spécialiste de la question, beaucoup de thèses et d'études scientifiques montrent les dégâts causés par ce maudit gaz de schistes. Ce n'est pas les officiels (Boutef, sellal, ....) ignorants qui doivent décider de l'avenir des nouvelles générations. Cette nouvelle génération, la première concernée, est descendue dans les rues de In-Salah pour dire stop à cette mascarade.


              Cette histoire aura démontré l'incurie d'une certaine opposition, qui a de cette manière creusé sa tombe. Elle aura aussi le bénéfice de démontrer à qui aurait encore des doutes sur le péril que font porter les différents acteurs politiques à ce pays, et la nécessiter de passer à une autre étape de l'histoire de ce pays, avec surtout, d'autres pratiques politiques...
              De quelle opposition parles-tu?
              Dernière modification par Nomad7, 02 mars 2015, 10h22.
              "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

              Commentaire


              • #52
                La manipulation sur cette question pue depuis le début. Elle est démontrée aujourd'hui par les déclarations même des leaders de ce mouvement. (voir les déclarations en rouge plus haut). Il suffit de voir qui sont les rédacteurs du moratoire, infiltrée par des membres du CNLTD, pour savoir qui est derrière : Maamar Benguerba, ancien ministre du travail et chef de cabinet de Benbitour (son nom et ses responsabilités ont été déformés pour qu'on ne le reconnaisse pas), Naceur Djabi, sociologue dont les positions politiques de soutien au CNLTD sont publiques, Mehdi Bsikri, journaliste, membre fondateur du mouvement Barakat, et certains experts marginalisés par plusieurs directions de l'énergie...

                Le moratoire, est d'ailleurs une demande légitime, car il est nécessaire que ce sujet puisse recueillir l'adhésion des algériens, loin de toute manipulation politique, et en confrontant les avis d'experts sur le sujet. Les déclarations officielles tendent à affirmer que cette opération d'exploration s'arretera pour prendre le temps d'analyser les inputs. Le rôle des politiques se limite à arbitrer après dires d'experts, en prenant en compte tout les paramètres, economiques, environnementaux, geo politique, stratégiques... et ce n'est pas les quelques gosses et autres militants écologistes, dont on a pu apercevoir le niveau d'expertise largement déficient, d'imposer quoi que ce soit à tout le pays.

                Concernant les ressources minières et pétrolières qu'on a la chance de receler, ils génèrent des travers extrêmement importants pour ce pays, et notamment, génère un appétit redoublé des puissances mondiales, qui exigent un niveau de vigilance accrue, par rapport à des pays, qui ne possèdent pas des ressources stratégiques. Cependant, ils permettent de dégager des ressources financières aussi qui participent au développement de ce pays. Croire que par magie, tu peux changer de modèle et te passer de pétrole est une lubie. Le pétrole devrait par contre t'aider à accompagner cette mutation, à condition que tu t'y engages...
                Dernière modification par ott, 02 mars 2015, 16h23.
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire


                • #53
                  «Nous avons reçu des informations sûres que la fracturation hydraulique allait se faire.
                  Ce n'est pas très démocratique de la part d'un journal (El Watan) qui dit militer pour la liberté d'expression et la démocratie de censurer mon commentaire sur leur site qui s'intérrogeait sur ces sources sures qui peuvent transmettre ce genre d'information...
                  Othmane BENZAGHOU

                  Commentaire


                  • #54
                    In Salah : ce qu’a dit le chef de la 6e région militaire aux manifestants anti-gaz de schiste
                    TSA , Société - le 3 mars 2015 à 22 h 11 min - Rafik Tadjer.


                    Le général-major Athamnia Ammar, chef de la 6e région militaire de l’armée, s’est réuni, ce mardi 3 mars, avec les représentants de la société civile et un groupe de jeunes manifestants.

                    « Le responsable nous a donné des garanties. Il nous a assurés que la police ne s’approcherait pas de nous pour qu’il n’y ait pas de violences », assure Kacem, un militant anti-gaz de schiste. « En fait, il a assuré que les manifestants pouvaient continuer à manifester pacifiquement et que la police et la gendarmerie n’interviendraient pas. Il a également indiqué qu’on pouvait remettre les tentes à place Semoud ‘résistance’ et à l’entrée du forage de gaz de schiste », précise Abdelkader Bouhafs, l’un des représentants de la société civile.

                    Selon Abdelkader Bouhafs, le chef de la 6e région militaire s’est même engagé « pour que de nouvelles tentes soient remises aux manifestants ». « Le chef de la 6e région militaire a insisté sur la sécurité et la stabilité (de la région) en précisant qu’il ne pouvait pas se prononcer sur le gaz de schiste ». « Nous n’allons pas nous approcher des entreprises (multinationales pétrolières) pour qu’il n’y ait pas de confrontation avec les services de sécurité. On a confiance dans l’armée ! », assure Kacem.

                    « La mission du chef de la 6e région militaire est sécuritaire. Il n’est pas engagé dans ce dialogue (autour du gaz de schiste). Mais il a promis de transmettre le message de la société civile. La population était contente de la position prise par l’armée », poursuit M. Bouhafs.

                    Des militaires sont intervenus au deuxième jour des affrontements, selon nos sources. « L’armée est intervenue parce que la police a été encerclée par la population. Des représentants de la société civile sont partis voir le chef de secteur pour intervenir. Il est venu et il s’est interposé entre les manifestants et la police antiémeute », explique Abdelkader Bouhafs.
                    Ouf, entre les sources sures qui transmettent des informations sur l'imminence de la fracturation hydrolique, et les assurances sures de permettre la protestation pacifique sur la place Essoumoud, loin des multi nationale, il semble que les manifestants ne vont plus approcher de trop près les gendarmes autours de Halliburton, au moment de la visite des amerlocs. Le tour de passe passe semble presque parfait...
                    Othmane BENZAGHOU

                    Commentaire


                    • #55
                      In Salah : Les anti-gaz de schiste maintiennent la pression, Total dément
                      Le Quotidien d'Oran du 04/03/15 - par Bentouba Saïd


                      Les militants contre le gaz de schiste à In Salah campent toujours sur leur position. Selon des représentants des protestataires contactés par le Quotidien d'Oran, une réunion de 4 heures a été tenue en présence des représentants de la société civile et les jeunes pour décider des actions à mener dans les jours à venir. Après un long débat sur la situation, les protestataires rejettent toutes les propositions du gouvernement. «Nous ne voulons ni wilaya, ni développement, ni centre de formation, ni emploi. Ce que nous voulons, c'est l'arrêt définitif de l'exploitation du gaz de schiste. Notre vie est en danger », disent-ils. Concernant les derniers affrontements, les protestataires accusent les forces de l'ordre. « Depuis 2 mois, nous protestons pacifiquement », indiquent-ils. Huit jeunes ont été blessés lundi à 16h suite à une autre intervention de la gendarmerie. Des jeunes voulaient empêcher l'entrée de matériel au site d'exploration d'un puits de gaz de schiste à moins de 20 km d'In Salah. Les blessés ont été évacués à l'hôpital. Un incident qui intervient, pour rappel, après les violents affrontements dimanche entre les forces de l'ordre et les jeunes protestataires. 40 policiers et plus de 20 jeunes ont été blessés. Le retour au calme est intervenu après l'intervention du chef de secteur militaire de la région d'In Salah. Des représentants des protestataires accusent la police de provocation en lançant des bombes lacrymogènes sur les manifestants.

                      Pour sa part, Total Algérie, cité ces dernières semaines comme associé à l'exploration du gaz de schiste à In Salah, a tenu, dans un communiqué à apporter ses précisions. « Total n'a jamais participé à des activités de forage de puits à objectifs gaz de schiste en Algérie », affirme le document. Et de préciser que « Total n'a pas de permis d'exploration ni de projet de développement de gaz de schiste en Algérie et n'est pas lié à ce type d'activité en Algérie ». Enfin, explique la même source, « était présent sur un permis d'exploration du nom d'Ahnet, situé sur le bassin d'Ahnet, qui n'était pas un permis de gaz de schiste. Ce permis étant arrivé à échéance le 6 juin 2014, Total Exploration & Production Algérie n'a plus d'activités dans ce bassin ».
                      Normal quand on leur a bourré le crâne que leur vie est en danger, qu'ils en deviennent quasi hystériques, ce jeunes gens. La responsabilité ne leur incombe pas, mais incombe à ceux qui leur ont bourré le crane...
                      Othmane BENZAGHOU

                      Commentaire


                      • #56
                        Ott

                        Pourtant il existe bien un accord de coopération entre la France et l'Algérie pour l'exploitation du gaz de schiste. Si ce n'est In Salah c'est donc ailleurs et ce n'est pas plus tolérable puisque la France refuse de la faire sur son propre territoire. Les dangers pour l'environnement et les populations sont connus, il n'est donc pas judicieux que cet accord existe. Les algériens doivent primer sur des intérêts extérieurs où même le gouvernement ne récolte que les miettes. Nous savons tous que certains se contentent de miettes mais les autres devraient penser à leur image face à l'opinion internationale qui ne peut être honorable. Un néo colonialisme est apparu en Afrique, il serait stupide de laisser rentrer de nouveaux chacals dans la bergerie.
                        Dernière modification par zwina, 04 mars 2015, 10h02.
                        Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                        Commentaire


                        • #57
                          Étonnant de te voir parler des Gaulois quand je parle des Yankees, et très significatif...
                          Othmane BENZAGHOU

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X