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Benflis invite le pouvoir algérien à s’inspirer de la Tunisie

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  • #16
    Envoyé par BeeHive
    Ça c'est aussi de la naïveté, avec 81.5% pour la momie sur 51% de votants, ils avaient bien fait leur calcul, aucun regroupement imaginable n'aurait servi
    Tu n'as pas compris l'enjeu.. La loi électorale est bonne.. le clan boutef a utilisé l'administration pour falsifier les PV des bureaux de vote. Il est question donc de mobiliser la base de tous ces partis d'opposition réunie, pour contrôler tous les bureaux de vote. Avril dernier, Benflis, tout seul, c'était David contre Goliath.

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    • #17
      Ott

      La grande différence entre les tunisiens et les algériens, c'est que l'élite tunisienne est policée. Les algériens sont trop souvent de vulgaires gueulards...
      Révolution 54 et Printemps Berbère montrent que les algériens ne font pas que "gueuler", ils agissent quand c'est nécessaire. Les tunisiens n'ont pas eu besoin de combattre pour avoir l'indépendance c'est même à l'Algérie qu'ils la doivent. Quant à l'élite tunisienne, elle est infestée d'arrivistes et de parasites qui posent de nombreux soucis à des instances internationales. Printemps arabe en Tunisie était manipulée par des inconscients et les réfugiés tunisiens ont payé cher d'avoir cru leurs belles paroles.
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #18
        @Zwina

        Je connais suffisement bien nos chers freres tunisiens et marocains, pour en connaitre certaines qualités et defauts. C'est juste certains complexés gueulards, véhiculant les raccourcis et caricatures à outrance, de lui faire gouter le gout des caricatures qu'il adore arborer ici sur tout et n importe quoi, pour qu'il comprenne le poids de ces simplifications, quand ils les subissent...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #19
          Les Algériens ne sont pas des Tunisiens.
          Ces derniers ont toujours été en avance sur l'état d'esprit démocratique que tous les autres au monde arabe, hormis peut-être les Libanais.
          Ils ont eu le sage Bourguiba, pas Boumediene ou Boutaftaf
          ça me fait rire quand je lis ce genre d'affirmation

          si c'etait vrai pourquoi ont accepter deux dictature l'une aprés l'autre
          Deux présidents depuis 1956
          Quand tu rencontres un tunisiens à l’étranger , il a peur de parler de regime de Ben Ali

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          • #20
            Il devrait être mieux inspirer pour son propre pays ( le pouvoir ndlr), par ce que là , on navigue à vue ..
            Tu es suffisement lucide et informé pour savoir que l'équation algérienne est passablement complexe, paramètrique et à plusieurs dimensions, degrés et espaces, pour en trouver des solutions simples, d'autant plus qu'elle est proche des modèles de dynamique des fluides et qu'elle reflète des caractéristiques proches de la chimie quantique, dont les équilibres sont perturbés par l'observation... Nous n'avons pas la chance d'avoir des facilitateurs, et quand un facilitateur a le courage de s'engager, comme le FFS, on lui trouve toutes les tares... A bon entendeur...
            Dernière modification par ott, 28 octobre 2014, 22h30.
            Othmane BENZAGHOU

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            • #21
              Ott

              Nous n'avons pas la chance d'avoir des facilitateurs, et quand un facilitateur a le courage de s'engager, comme le FFS, on lui trouve toutes les tares.
              Le (ou la) facilitateur doit rassembler tous les algériens et s'engager pour le pays, pas pour obtenir le pouvoir à tout prix. L'Algérie a besoin d'un leader qui sera capable de se présenter à l'Onu et devant toutes les instances internationales pour défendre l'Algérie et recadrer les débats. L'Algérie a une histoire qui lui permet de tenir tête à tous les prédateurs avec les bonnes alliances et les bonnes compétences, l'Algérie doit devenir La Lumière du Maghreb, elle le peut son histoire parle pour elle et les algériens. Les Moudjahidin et les Moudjahida ne se sont pas battus pour des privilèges mais pour que l'Algérie soit libre et que tous les algériens puissent vivre dignement chez eux.
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #22
                En effet, il y a un choc culturel phénoménal entre les tenants des dictatures eclaires et les tenant d une gouvernance participative, moins lumineuse, mais éclairant la voie a long terme. Plus on tarde a mettre en place une gouvernance reelement participative, plus on prend le risque que des Chadli et des chocs comme ceux de 86 dégénèrent...

                Les erreurs commises sont tellement criantes, qu'il faut être un illumine pour ne pas se rendre compte des limites d'un système, qui recherche un VRP, pour les affaires extérieures, les affaires internes restent le monopole des cardinaux...
                Othmane BENZAGHOU

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