PAR SOHEIB BENCHEIKH DIMANCHE A LA FONDATION AMIRAT
‘La société Algérienne est une société qui n’aime pas la diversité. Nous n’aimons pas l’autre qui est différent de nous. Nous sommes une société qui a sacrifié ses minorités, une société qui repousse, qui refuse et qui rejette ses minorités’…Une société qui agit de la sorte est ‘une société décadente’
‘Un homme de foi a une foi à son service et n’a pas peur de la confrontation, ni de la vérité’
Selon lui, l’islam est réduit aujourd’hui à un ‘folklorisme de mauvais goût’…’Nous avons une religion facile à exploiter par le politique. C’est toujours le politique qui utilise le religieux pour perdurer dans le pouvoir ou pour conquérir le pouvoir’…Pour dire que « C’est l’islam officiel qui à crée l’islam contestataire »
Il y a un an, il avait révélé à la presse nationale que l’article II de la constitution est ‘une curiosité parmi tant d’autres’ et que l’Etat « n’est pas un individu doté d’une conscience qui se convertit à une religion »
Comme il est revenu sur ‘la frilosité identitaire’ de beaucoup d’Algériens en interpellant, cette fois, l’assistance sur le pourquoi d’une Algérie)qui ‘a peur de l’altérité de l’autre’
‘La société Algérienne est une société qui n’aime pas la diversité. Nous n’aimons pas l’autre qui est différent de nous. Nous sommes une société qui a sacrifié ses minorités, une société qui repousse, qui refuse et qui rejette ses minorités’…Une société qui agit de la sorte est ‘une société décadente’
‘Un homme de foi a une foi à son service et n’a pas peur de la confrontation, ni de la vérité’
Selon lui, l’islam est réduit aujourd’hui à un ‘folklorisme de mauvais goût’…’Nous avons une religion facile à exploiter par le politique. C’est toujours le politique qui utilise le religieux pour perdurer dans le pouvoir ou pour conquérir le pouvoir’…Pour dire que « C’est l’islam officiel qui à crée l’islam contestataire »
Il y a un an, il avait révélé à la presse nationale que l’article II de la constitution est ‘une curiosité parmi tant d’autres’ et que l’Etat « n’est pas un individu doté d’une conscience qui se convertit à une religion »
Comme il est revenu sur ‘la frilosité identitaire’ de beaucoup d’Algériens en interpellant, cette fois, l’assistance sur le pourquoi d’une Algérie)qui ‘a peur de l’altérité de l’autre’
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