Après les appels à la violence et les menaces de mort à l’encontre des walis, des chefs de dairas, de leurs femmes et leurs enfants, proférés par le candidat Ali Benflis, plusieurs de ses soutiens ont décidé de lui retirer leur soutien.
En effet, l’organisation nationale des gardes communaux par la voix de son coordinateur national Hakim Chouaib a décidé de retirer son soutien à Benflis après ses déclarations appelant à la violence et a demandé à ses affidés à voter pour le candidat Abdelaziz Bouteflika.
Cette défection est lourde de conséquences pour Benflis, parce que cette organisation forte de 120.000 hommes possède une réserve de voix assez appréciable.
Meme réaction chez la fédération nationale des anciens gendarmes, laquelle en signe de protestation, a appelé ses adhérents à ne plus soutenir Benflis et à reporter leurs voix sur Bouteflika.
Autre réaction, celle de Douifi Amar Saifi, président du parti UDL, qui a apporté son soutien à Benflis, a décidé dans une déclaration publique de dénoncer les propos du candidat Benflis et de lui retirer son soutien.
Il ne serait pas étonnant, selon les observateurs de la scène politique nationale, que d’autres voix se démarquent du candidat Benflis après ses menaces, ses intimidations et ses appels à la violence, surtout que les traumatismes vécus par le peuple Algérien sont toujours vivaces.
Algerie-1. 14/04/2014 | 15:20
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En effet, l’organisation nationale des gardes communaux par la voix de son coordinateur national Hakim Chouaib a décidé de retirer son soutien à Benflis après ses déclarations appelant à la violence et a demandé à ses affidés à voter pour le candidat Abdelaziz Bouteflika.
Cette défection est lourde de conséquences pour Benflis, parce que cette organisation forte de 120.000 hommes possède une réserve de voix assez appréciable.
Meme réaction chez la fédération nationale des anciens gendarmes, laquelle en signe de protestation, a appelé ses adhérents à ne plus soutenir Benflis et à reporter leurs voix sur Bouteflika.
Autre réaction, celle de Douifi Amar Saifi, président du parti UDL, qui a apporté son soutien à Benflis, a décidé dans une déclaration publique de dénoncer les propos du candidat Benflis et de lui retirer son soutien.
Il ne serait pas étonnant, selon les observateurs de la scène politique nationale, que d’autres voix se démarquent du candidat Benflis après ses menaces, ses intimidations et ses appels à la violence, surtout que les traumatismes vécus par le peuple Algérien sont toujours vivaces.
Algerie-1. 14/04/2014 | 15:20
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