La seule main étrangère qu'on voit actuellement est celle qui, à travers ses consignataires nationaux, milite ardemment pour le 4ème mandat. Et qu'on se détrompe une fois pour toute sur une majorité de partisans de la reconduction du système qui, moulés dans l'argent sale, ne forment que le prolongement d'une alliance mondiale de la corruption et l'immoralité économique. La main étrangère du 4ème mandat existe, elle n'est ni une fiction, ni une vue d'esprit. Depuis quelques années, nous assistons à une entreprise de pillage des richesses de la collectivité nationale grâce à des mains étrangères, pillage faut-il le rappeler, qui s'exécute à grande échelle, mais aussi à une fréquence insondable.
Ce sont les mains étrangères qui négocient l'argent des jeunes de Laghouat dans la bourse internationale de la corruption et du brigandage. Ce n'est ni Barakat, ni Said Sadi, ni Mokri, ni Benbitour, ni Sofiane Djilali, ni Abdelaziz Rahabi qui ont exporté l'Algérie pour la remettre à des clans mafieux trans-nationaux. Aujourd'hui encore, c'est cette main étrangère qui actionne ses intendants traditionnels pour recycler, quel que soit le prix, un système ayant déjà mis en capilotade le pays et pour lequel il est entrain de programmer de crises gravissimes. Et Il ne faut pas se triturer les méninges afin de comprendre que la prochaine élection présidentielle avec son point d'orgue la reconduite de la caste représentative de la grande école du cambriolage, puise en grande partie, son carburant des complexes mafioso-étrangers auxquels se rattachent des réseaux parallèles, véritables architectes de conglomérats financiers intercontinentaux. Avec une capacité financière mobilisable pouvant même rabattre le caquet à une organisation politique comme le parti républicain des Etats Unis, la grande rente nationale et ses solides arrière-gardes de l'extérieur, s'attellera à évacuer le prochain 17 Avril, de sa notion de scrutin, dans le but d'opérer une effraction électorale grâce à un gangstérisme imparable.
Aujourd'hui, les anciens comptes en Suisse et en France avec quelques milliers d'euros sont devenus classiques, démodés même. Ils cèdent la place aux milliards algériens injectés dans des circuits bancaires au Moyen-Orient, en Europe, en Asie du Sud-Est, mais surtout aux Caraïbes. La rente algérienne est devenue membre fondateur d'une nouvelle race de banques délinquantes faisant l'affaire des économies des pays dits démocratiques. Cette rente agit selon la directive: money, money ... It is time to act, it is time to rob (Argent, c'est le temps d'agir, c'est le temps de piller). Eh oui ! C'est vérifié. L'Europe qui nous donne, chaque jour que Dieu fait, des leçons de droit et de lutte contre la corruption, est devenue le principal complice des prédateurs algériens. La localisation géographique des mains qui téléguident la corruption algérienne et son 4ème mandat, nous ramène à des villes de l’U.E. Là-bas, on a besoin encore de liquidités, comme pour faire face aux fonds souverains de la Russie et de la Chine, considérés, du fait de leur teinture politique, menaçants pour les économies de l'Union. Sur un autre plan, la grande rente algérienne avait déjà adhéré à la culture off-shore américaine et dont les bénéficiaires ne sont que des responsables de chez nous, ancien ou en poste, en leurs noms ou sous de prête-noms. Le placement de l'argent arraché à la collectivité nationale, bat le plein dans les Iles Vierges, au Cayman, au Panama et aux Barbades. Des fiducies qui se multiplient, familiales des fois, alimentées dans le cadre de ce qu'on appelle (The New Algerian Oil Robbery) ayant vu le jour dès 2002, suite à l'explosion pétrolière et son corollaire: la multiplication des royalties et des pots de vin. Face à cet ordre illicite international dont l'Algérie fait partie grâce a ses corrompus extra-muros, se développe aussi un comportement anti-national, visant à transférer le maximum des capitaux hors frontières à travers l'investissement dans l'immobilier, une façon de secourir des économies et des entreprises étrangères défaillantes.
La coordination se fait souvent grâce à des têtes ayant chapeauté une mafia pluridisciplinaire qui en catimini, se trouve dans des photos comme celle de Farid Bedjaoui (Sonatrach) ou de Pierre Falcone(Autoroute). Qu'il faille rappeler que les capitaux quittent l'Algérie grâce aux concours de pays étrangers ou encore d'entités industrielles est gravissime. On risque de voir dans deux années maximum la trésorerie nationale complètement dévalisée et expédiée ailleurs. Comme disait un spécialiste de la corruption internationale "l'Algérie serait un exemple édifiant dans la mesure où elle s'est vue dépouillée d'une grosse fortune, une fortune tronquée sans contrepartie productive. Depuis 1999, dans un chantier ouvert pour la gabegie, plus de 689 milliards dollars (2000-213) ont été consommés. Il s'agit d'argent exporté dans le cadre de la dépense publique, mais alimentant en parallèle une corruption dans la sphère internationale et par l'injection, via des détours banditisés, de quelques 65 milliards de dollars américains. Des le début le nom du jeu n'était pas le pays, mais bel et bien le vol.
ML ZOUAIMIA
Ce sont les mains étrangères qui négocient l'argent des jeunes de Laghouat dans la bourse internationale de la corruption et du brigandage. Ce n'est ni Barakat, ni Said Sadi, ni Mokri, ni Benbitour, ni Sofiane Djilali, ni Abdelaziz Rahabi qui ont exporté l'Algérie pour la remettre à des clans mafieux trans-nationaux. Aujourd'hui encore, c'est cette main étrangère qui actionne ses intendants traditionnels pour recycler, quel que soit le prix, un système ayant déjà mis en capilotade le pays et pour lequel il est entrain de programmer de crises gravissimes. Et Il ne faut pas se triturer les méninges afin de comprendre que la prochaine élection présidentielle avec son point d'orgue la reconduite de la caste représentative de la grande école du cambriolage, puise en grande partie, son carburant des complexes mafioso-étrangers auxquels se rattachent des réseaux parallèles, véritables architectes de conglomérats financiers intercontinentaux. Avec une capacité financière mobilisable pouvant même rabattre le caquet à une organisation politique comme le parti républicain des Etats Unis, la grande rente nationale et ses solides arrière-gardes de l'extérieur, s'attellera à évacuer le prochain 17 Avril, de sa notion de scrutin, dans le but d'opérer une effraction électorale grâce à un gangstérisme imparable.
Aujourd'hui, les anciens comptes en Suisse et en France avec quelques milliers d'euros sont devenus classiques, démodés même. Ils cèdent la place aux milliards algériens injectés dans des circuits bancaires au Moyen-Orient, en Europe, en Asie du Sud-Est, mais surtout aux Caraïbes. La rente algérienne est devenue membre fondateur d'une nouvelle race de banques délinquantes faisant l'affaire des économies des pays dits démocratiques. Cette rente agit selon la directive: money, money ... It is time to act, it is time to rob (Argent, c'est le temps d'agir, c'est le temps de piller). Eh oui ! C'est vérifié. L'Europe qui nous donne, chaque jour que Dieu fait, des leçons de droit et de lutte contre la corruption, est devenue le principal complice des prédateurs algériens. La localisation géographique des mains qui téléguident la corruption algérienne et son 4ème mandat, nous ramène à des villes de l’U.E. Là-bas, on a besoin encore de liquidités, comme pour faire face aux fonds souverains de la Russie et de la Chine, considérés, du fait de leur teinture politique, menaçants pour les économies de l'Union. Sur un autre plan, la grande rente algérienne avait déjà adhéré à la culture off-shore américaine et dont les bénéficiaires ne sont que des responsables de chez nous, ancien ou en poste, en leurs noms ou sous de prête-noms. Le placement de l'argent arraché à la collectivité nationale, bat le plein dans les Iles Vierges, au Cayman, au Panama et aux Barbades. Des fiducies qui se multiplient, familiales des fois, alimentées dans le cadre de ce qu'on appelle (The New Algerian Oil Robbery) ayant vu le jour dès 2002, suite à l'explosion pétrolière et son corollaire: la multiplication des royalties et des pots de vin. Face à cet ordre illicite international dont l'Algérie fait partie grâce a ses corrompus extra-muros, se développe aussi un comportement anti-national, visant à transférer le maximum des capitaux hors frontières à travers l'investissement dans l'immobilier, une façon de secourir des économies et des entreprises étrangères défaillantes.
La coordination se fait souvent grâce à des têtes ayant chapeauté une mafia pluridisciplinaire qui en catimini, se trouve dans des photos comme celle de Farid Bedjaoui (Sonatrach) ou de Pierre Falcone(Autoroute). Qu'il faille rappeler que les capitaux quittent l'Algérie grâce aux concours de pays étrangers ou encore d'entités industrielles est gravissime. On risque de voir dans deux années maximum la trésorerie nationale complètement dévalisée et expédiée ailleurs. Comme disait un spécialiste de la corruption internationale "l'Algérie serait un exemple édifiant dans la mesure où elle s'est vue dépouillée d'une grosse fortune, une fortune tronquée sans contrepartie productive. Depuis 1999, dans un chantier ouvert pour la gabegie, plus de 689 milliards dollars (2000-213) ont été consommés. Il s'agit d'argent exporté dans le cadre de la dépense publique, mais alimentant en parallèle une corruption dans la sphère internationale et par l'injection, via des détours banditisés, de quelques 65 milliards de dollars américains. Des le début le nom du jeu n'était pas le pays, mais bel et bien le vol.
ML ZOUAIMIA
Commentaire