UNE MERE ET SES 7 PETITS ENFANTS HABITENT UN GARAGE EN PLEIN HIVER A LA SALAMANDRE : Le wali peut-il entendre leurs cris !?
Quand l’humanité perd de sa valeur et les sentiments parentaux se transforment en machine à broyer, mêmes les plus proches de nos cœurs ; nos enfants, on ne peut que dire adieu aux liens sacrés de la famille, en attendant la grâce et la miséricorde d’Allah. Ceci, est un préambule d’une histoire scandaleuse d’un père insoucieux qui chassa ses 7 petits enfants du domicile familial en plein hiver pour ensuite vivre sa vie de célibataire … Mais s’il a gagné le procès en justice pour mettre sa famille à la porte, gagnera-t-il, demain, ce même procès devant Dieu ... ?
Mme Benabdellah Bedra née le 09 septembre 1971, ayant à sa charge 07 enfants en bas âge, divorcée, abandonnée par tous, seule face à son sort, réside dans un garage à la cité « la Salamandre » sans ressources aucunes lui permettant de trouver des solutions. Cette pauvre marginalisée n’a pas eu honte d’avouer son statut social…et surtout prendre la parole pour dénoncer et extérioriser son désarroi à travers les colonnes de Réflexion, dans le souci de se faire entendre par les autorités concernées, qui surement sont au courant de son cas, un malheur qui ne ressemble en rien à un fait divers que toute âme sensible condamne. Comment ne pas concevoir que des hommes et des femmes puissent être déprimés lorsqu’ils se retrouvent dans une situation précaire et désespérée engendrés par un divorce, par la perte d’un travail, par un abandon de famille, où autres et qui se retrouvent jetés dans la rue faute d’une injustice sociale. Tel est le cas de cette pauvre femme et ses 7 enfants tous en bas âges qui vivent une véritable situation de désarroi condamnable, qui ne peut laisser personne indifférent. Un cas des plus désespérants que le destin en a voulu ainsi. Sur invitation, nous avons rencontré la malheureuse mère Bedra entourée de ses enfants criant son désarroi et son désespoir, victime d’injustice d’après elle. Cette quadragénaire, divorcée, sans ressources, ne vivant que grâce aux dons octroyées par des bienfaiteurs, nous a accueillie dans un garage loué à 6000 Da/Mois pour l’occasion qui lui sert d’appartement, dépourvu de toutes commodités sanitaires et qui se trouve à proximité d’un égout, situé sis à la cité « la Salamandre » Mostaganem. Titulaire d’un reçu de dépôt d’un dossier de logement dont notre rédaction possède une copie, elle attend à ce qu’un responsable humain se penche sur son cas pour lui venir en aide.
Le père sans cœur jette ses enfants à la rue et cède son appartement à sa sœur !
La malheureuse nous raconte que son calvaire avait débuté, quand elle a divorcé. A cette époque, elle occupait un logement avec ses enfants, que l’ex mari avait loué, duquel, elle fut expulsée quelques temps après par un huissier de justice conformément à un arrêté d’expulsion. Elle raconte que son ex mari ne subvient plus aux besoins de ses enfants, même condamné par la justice à verser une pension alimentaire, laquelle a été suspendue par ce dernier, et dont les échéances ne sont pas respectées. Idem pour le logement qu’il doit louer pour que ses enfants soient à l’abri, mais malheureusement, aucune instruction judiciaire n’a été exécutée, ni respectée. Cette infortunée ajoute que son ex, est propriétaire d’une parcelle de terre agricole de 10 hectares, ce qui fait de lui un individu aisé qui néglige sa propre progéniture qu’il n’a pas hésité un seul instant à jeter dans la rue sans aucun scrupule. Cette misérable dit qu’elle avait reçu la visite d’une députée qui s’était portée volontaire, lui promettant d’intervenir auprès de Mr le Wali de Mostaganem pour lui exposer son cas. Mais rien n’a bougé, aucune commission ne s’est inquiétée et ne s’est déplacée, négligeant totalement cette pauvre femme et ses enfants abandonnés à leur sort. Elle demande « si elle a le droit de faire partie de ceux qui remplissent les critères et les conditions pour l’obtention d’un logement social que ce soit dans le cadre social ou du RHP » Comment cette famille composée de8 personnes voit-elle son avenir, vivant constamment le stress d’être expulsée par le propriétaire du garage et se retrouver dehors, dormant à la belle étoile. Par manque de chance, et comme un malheur n’arrive jamais seul, Mme Bedra dont le dossier se trouve au niveau de la CNAC, toujours en instance vu que l’octroi du crédit lui permettant l’achat du matériel nécessaire pour l’activité de la pâtisserie dont elle avait fait la demande, un prêt qui nécessite une présentation d’un contrat justifiant la location d’un local. Un comble crie cette désespérée « Comment pourrais je louer un garage dont le montant exige un cautionnement représentant une avance considérable de paiement, alors que je n’ai pas où habiter ni de quoi faire nourrir mes enfants qui crèvent de faim ». Fatiguée, désespérée, elle attend beaucoup des responsables et autorités concernées, attendant qu’ils se manifestent pour que son calvaire prenne fin. Existe-t-il une association de lutte contre les injustices sociales et la précarité ?, qui devrait prendre en charge ces cas douloureux d’une façon bien déterminée, et ainsi faire bénéficier d’une quelconque aide sociale, les centaines voire des milliers de citoyens dont le cas est similaire à celui de Mme Bedra, peut être plus pire encore qui subissent une politique sociale de plus en plus portée sur la sanction et la discrimination. Le moment est venu de mettre en évidence une vraie politique plus humaine et plus digne, afin d’éradiquer toutes formes de précarité.
B.Adda
Mercredi 20 Novembre 2013
Source : Réflexion
Quand l’humanité perd de sa valeur et les sentiments parentaux se transforment en machine à broyer, mêmes les plus proches de nos cœurs ; nos enfants, on ne peut que dire adieu aux liens sacrés de la famille, en attendant la grâce et la miséricorde d’Allah. Ceci, est un préambule d’une histoire scandaleuse d’un père insoucieux qui chassa ses 7 petits enfants du domicile familial en plein hiver pour ensuite vivre sa vie de célibataire … Mais s’il a gagné le procès en justice pour mettre sa famille à la porte, gagnera-t-il, demain, ce même procès devant Dieu ... ?
Mme Benabdellah Bedra née le 09 septembre 1971, ayant à sa charge 07 enfants en bas âge, divorcée, abandonnée par tous, seule face à son sort, réside dans un garage à la cité « la Salamandre » sans ressources aucunes lui permettant de trouver des solutions. Cette pauvre marginalisée n’a pas eu honte d’avouer son statut social…et surtout prendre la parole pour dénoncer et extérioriser son désarroi à travers les colonnes de Réflexion, dans le souci de se faire entendre par les autorités concernées, qui surement sont au courant de son cas, un malheur qui ne ressemble en rien à un fait divers que toute âme sensible condamne. Comment ne pas concevoir que des hommes et des femmes puissent être déprimés lorsqu’ils se retrouvent dans une situation précaire et désespérée engendrés par un divorce, par la perte d’un travail, par un abandon de famille, où autres et qui se retrouvent jetés dans la rue faute d’une injustice sociale. Tel est le cas de cette pauvre femme et ses 7 enfants tous en bas âges qui vivent une véritable situation de désarroi condamnable, qui ne peut laisser personne indifférent. Un cas des plus désespérants que le destin en a voulu ainsi. Sur invitation, nous avons rencontré la malheureuse mère Bedra entourée de ses enfants criant son désarroi et son désespoir, victime d’injustice d’après elle. Cette quadragénaire, divorcée, sans ressources, ne vivant que grâce aux dons octroyées par des bienfaiteurs, nous a accueillie dans un garage loué à 6000 Da/Mois pour l’occasion qui lui sert d’appartement, dépourvu de toutes commodités sanitaires et qui se trouve à proximité d’un égout, situé sis à la cité « la Salamandre » Mostaganem. Titulaire d’un reçu de dépôt d’un dossier de logement dont notre rédaction possède une copie, elle attend à ce qu’un responsable humain se penche sur son cas pour lui venir en aide.
Le père sans cœur jette ses enfants à la rue et cède son appartement à sa sœur !
La malheureuse nous raconte que son calvaire avait débuté, quand elle a divorcé. A cette époque, elle occupait un logement avec ses enfants, que l’ex mari avait loué, duquel, elle fut expulsée quelques temps après par un huissier de justice conformément à un arrêté d’expulsion. Elle raconte que son ex mari ne subvient plus aux besoins de ses enfants, même condamné par la justice à verser une pension alimentaire, laquelle a été suspendue par ce dernier, et dont les échéances ne sont pas respectées. Idem pour le logement qu’il doit louer pour que ses enfants soient à l’abri, mais malheureusement, aucune instruction judiciaire n’a été exécutée, ni respectée. Cette infortunée ajoute que son ex, est propriétaire d’une parcelle de terre agricole de 10 hectares, ce qui fait de lui un individu aisé qui néglige sa propre progéniture qu’il n’a pas hésité un seul instant à jeter dans la rue sans aucun scrupule. Cette misérable dit qu’elle avait reçu la visite d’une députée qui s’était portée volontaire, lui promettant d’intervenir auprès de Mr le Wali de Mostaganem pour lui exposer son cas. Mais rien n’a bougé, aucune commission ne s’est inquiétée et ne s’est déplacée, négligeant totalement cette pauvre femme et ses enfants abandonnés à leur sort. Elle demande « si elle a le droit de faire partie de ceux qui remplissent les critères et les conditions pour l’obtention d’un logement social que ce soit dans le cadre social ou du RHP » Comment cette famille composée de8 personnes voit-elle son avenir, vivant constamment le stress d’être expulsée par le propriétaire du garage et se retrouver dehors, dormant à la belle étoile. Par manque de chance, et comme un malheur n’arrive jamais seul, Mme Bedra dont le dossier se trouve au niveau de la CNAC, toujours en instance vu que l’octroi du crédit lui permettant l’achat du matériel nécessaire pour l’activité de la pâtisserie dont elle avait fait la demande, un prêt qui nécessite une présentation d’un contrat justifiant la location d’un local. Un comble crie cette désespérée « Comment pourrais je louer un garage dont le montant exige un cautionnement représentant une avance considérable de paiement, alors que je n’ai pas où habiter ni de quoi faire nourrir mes enfants qui crèvent de faim ». Fatiguée, désespérée, elle attend beaucoup des responsables et autorités concernées, attendant qu’ils se manifestent pour que son calvaire prenne fin. Existe-t-il une association de lutte contre les injustices sociales et la précarité ?, qui devrait prendre en charge ces cas douloureux d’une façon bien déterminée, et ainsi faire bénéficier d’une quelconque aide sociale, les centaines voire des milliers de citoyens dont le cas est similaire à celui de Mme Bedra, peut être plus pire encore qui subissent une politique sociale de plus en plus portée sur la sanction et la discrimination. Le moment est venu de mettre en évidence une vraie politique plus humaine et plus digne, afin d’éradiquer toutes formes de précarité.
B.Adda
Mercredi 20 Novembre 2013
Source : Réflexion
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