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Quand Sellal s’attaque à Mouloud Hamrouche

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  • #31
    Encore du blabla.

    Vous ne disséquez même pas. Vous dites un truc et son contraire.

    Au moins si vous étiez cohérent.

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    • #32
      Dois je comprendre que tu reconnais ( bla darb) que tu es un marocain?
      Pensez faux, s'il vous plaît, mais pensez par vous-même. (DORIS LESSING)

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      • #33
        Encore ce vieil argument.

        Vous êtes au bout du rouleau ?

        Et quand on connait vos rapports avec le Maroc, s'en est que plus risible.

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        • #34
          Tu n'engages pas des réformes quand les caisses sont vides, et dans l'urgence, ça devient de la survie, comme avait tenté de faire Hamrouche, avec des conséquences incontrôlables, au vu de l'acuité de la crise. C'est quand les caisses sont pleines, qu'il faut mettre ce pays dans les rails du progrès et d'une gouvernance réactive.
          Bingo! Si les decideurs algeriens avaient compris cela il y a quelques annees et s'etaient actives en commencant a reformer en profondeur, la situation aurait pu etre recuperable. Mais la, tout indique qu'il est deja trop tard pour se sortir d'une dependance instable petroliere qui pointe son nez... Si en plus, Bouteflika passe uen 4eme fois pour encore 4 ans d'immobilisme, c'en est fini.

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          • #35
            Après avoir tout verrouillé, Bouteflika cherche des mécanismes pour donner plus de subterfuges pouvant assurer un minimum de mobilisation lors de la prochaine présidentielle.

            En plus des actions occultes, les indiscrétions d’un clan néo-oujda sous tension dévoilent 2 leviers sur lesquels on agit depuis longtemps.

            Le chef de l’Etat vient d’actionner ses agents.

            Chargé de feindre la panique de l’oligarchie présidentielle, Farouk Ksentini est missionné pour suivre Ali Benflis à qui est promis l’aide voulue pour la conquête de la magistrature suprême(ou le poste de vice-président), s’il pouvait assurer de sa mansuétude les personnes impliquées dans« les dossiers sensibles ». La réponse de l’ex-chef du gouvernement fut sans équivoque : « vous ne trouverez pas meilleur protecteur que moi. » Said Bouteflika jubile : Benflis est ferré ; des taupes sont discrètement encouragées pour susciter ou s’associer à ses « comités de soutien » qui doivent fleurir un peu partout dans le pays.

            Parallèlement, des contacts sont maintenus, de longue date, avec un autre ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche. Ce dernier, intéressé par un compagnonnage, attend de voir plus claire dans le projet du clan de fakhamatouhou . Après avoir envisagé de le rappeler comme premier ministre, Bouteflika sonde les grands partenaires de l’Algérie sur l’hypothèse de le désigner, lui aussi, comme…vice-président après la révision de la constitution.

            Hormis l’éphémère campagne de 1999, Hamrouche n’a jamais affiché de grandes disponibilités pour un combat politique ou une compétition électorale. Homme du sérail, il préfère tabler sur le pourrissement général et les divisions, désormais publiques, des clans et attend « d’être appelé ». Pour l’heure, il semble se satisfaire de la représentation du FFS envoyé en ouvreur dans l’antre présidentielle.

            Le choix de Benflis est autrement plus aléatoire. Encouragé à se porter candidat avec des services de sécurité, une justice, une administration, un conseil constitutionnel, et, depuis ce dimanche, une cour suprême, caporalisés, une bonne partie de l’opinion suit difficilement son positionnement. D’autant que des chawis de services, actuellement en poste, et opportunément répartis sur les grandes tribus de la région, susurrent que Benflis ne ramassera que des miettes dans les Aurès.

            On notera que, dans un cas comme dans l’autre, le clan Bouteflika cherche la garantie de l’impunité, ce qui implique la pérennité du système, d’où la fixation sur les notabilités du régime et la recherche de l’anesthésie de l'Algerie.

            Le jeu de Bouteflika se précise. Il a un objectif unique : protéger les siens. Se sachant diminué, il ne veut laisser aucune faille dans laquelle pourrait s’infiltrer le moindre facteur de risque pour ses proches. Il s’emploie à tout bétonner et, si possible, tout acheter; faisant en sorte que le successeur soit son obligé avec une algérie domestiquée, le pays étant livré à un Sellal premier ministre VRP de la famille et coutumier des campagnes électorales à sens unique.

            Il restera à affronter deux problèmes : se présenter en s‘assurant d’un semblant de participation et se prémunir contre les aléas de la maladie. En ce qui concerne le premier aspect, « l’hameçonnage » de Benflis semble acquis et rien ne dit que le revers essuyé en 2004 ne sera pas suivi par d’autres tentatives de désinformation. Mais si d’aventure sa santé devait l’empêcher de se porter candidat ou le lâcher en cours de mandat, le scénario de Hamrouche comme vice-président peut être une formule qui agrée aux deux hommes : l’un étant rassuré sur l’avenir de la famille et son patrimoine ; l’autre accédant enfin à la présidence sans avoir concouru. Il reste à savoir ce qu’espère gagner Benflis dans ce périlleux challenge.

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            • #36
              Envoyé par éliamine
              Après avoir tout verrouillé, Bouteflika cherche des mécanismes pour donner plus de subterfuges pouvant assurer un minimum de mobilisation lors de la prochaine présidentielle.

              En plus des actions occultes, les indiscrétions d’un clan néo-oujda sous tension dévoilent 2 leviers sur lesquels on agit depuis longtemps.

              Le chef de l’Etat vient d’actionner ses agents.

              Chargé de feindre la panique de l’oligarchie présidentielle, Farouk Ksentini est missionné pour suivre Ali Benflis à qui est promis l’aide voulue pour la conquête de la magistrature suprême(ou le poste de vice-président), s’il pouvait assurer de sa mansuétude les personnes impliquées dans« les dossiers sensibles ». La réponse de l’ex-chef du gouvernement fut sans équivoque : « vous ne trouverez pas meilleur protecteur que moi. » Said Bouteflika jubile : Benflis est ferré ; des taupes sont discrètement encouragées pour susciter ou s’associer à ses « comités de soutien » qui doivent fleurir un peu partout dans le pays.

              Parallèlement, des contacts sont maintenus, de longue date, avec un autre ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche. Ce dernier, intéressé par un compagnonnage, attend de voir plus claire dans le projet du clan de fakhamatouhou . Après avoir envisagé de le rappeler comme premier ministre, Bouteflika sonde les grands partenaires de l’Algérie sur l’hypothèse de le désigner, lui aussi, comme…vice-président après la révision de la constitution.

              Hormis l’éphémère campagne de 1999, Hamrouche n’a jamais affiché de grandes disponibilités pour un combat politique ou une compétition électorale. Homme du sérail, il préfère tabler sur le pourrissement général et les divisions, désormais publiques, des clans et attend « d’être appelé ». Pour l’heure, il semble se satisfaire de la représentation du FFS envoyé en ouvreur dans l’antre présidentielle.

              Le choix de Benflis est autrement plus aléatoire. Encouragé à se porter candidat avec des services de sécurité, une justice, une administration, un conseil constitutionnel, et, depuis ce dimanche, une cour suprême, caporalisés, une bonne partie de l’opinion suit difficilement son positionnement. D’autant que des chawis de services, actuellement en poste, et opportunément répartis sur les grandes tribus de la région, susurrent que Benflis ne ramassera que des miettes dans les Aurès.

              On notera que, dans un cas comme dans l’autre, le clan Bouteflika cherche la garantie de l’impunité, ce qui implique la pérennité du système, d’où la fixation sur les notabilités du régime et la recherche de l’anesthésie de l'Algerie.

              Le jeu de Bouteflika se précise. Il a un objectif unique : protéger les siens. Se sachant diminué, il ne veut laisser aucune faille dans laquelle pourrait s’infiltrer le moindre facteur de risque pour ses proches. Il s’emploie à tout bétonner et, si possible, tout acheter; faisant en sorte que le successeur soit son obligé avec une algérie domestiquée, le pays étant livré à un Sellal premier ministre VRP de la famille et coutumier des campagnes électorales à sens unique.

              Il restera à affronter deux problèmes : se présenter en s‘assurant d’un semblant de participation et se prémunir contre les aléas de la maladie. En ce qui concerne le premier aspect, « l’hameçonnage » de Benflis semble acquis et rien ne dit que le revers essuyé en 2004 ne sera pas suivi par d’autres tentatives de désinformation. Mais si d’aventure sa santé devait l’empêcher de se porter candidat ou le lâcher en cours de mandat, le scénario de Hamrouche comme vice-président peut être une formule qui agrée aux deux hommes : l’un étant rassuré sur l’avenir de la famille et son patrimoine ; l’autre accédant enfin à la présidence sans avoir concouru. Il reste à savoir ce qu’espère gagner Benflis dans ce périlleux challenge.
              Prenez l'habitude d'indiquer la source de ce que vous postez, comme le précise la charte du forum.
              كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

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              • #37
                Ce sont les hautes analyses tribales lancées par Algérie Express et inspirés par certains expert expertologie... L'article a déjà été publié dans ce forum...
                Othmane BENZAGHOU

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                • #38
                  il faut dépassé cette analyse et essayer de trouver le cheminement.

                  le chemeinement dure depuis l'occupation et le remplcement des perses par les turques..ça roule ça roule et ça roule encore..

                  mais je crois que le clan des Israelite et Romain est entrain de perdre en face des coup butoires du clan Satanique..
                  Le clan satanqiue foule le pas a ce Du judéo chretien. chaque fois il prend sa part...en algerie le clan de la Drogue a commencé son incustration depuis 1980 dans tous les niveaux....ce pheneomée a prie de l'empleur lorsque l'algere etait sous embargo commercialo scientifiquo monetique..
                  beaucoup de groupe jusuqe là fidele a l'islame se sont tournés vers la Zatla comme monnaie a la palce des devises pour acceder au marché et ainsi brisé l'ambargo alimentaire...
                  la chute des nationaliste algerien les gens de la trempe intelectuel comme hamrouche 'avait plus de force pour affronter le FMI. qui commence a diter tu fais ceci tu fais cela..hamrouche refuse il est chuté par la pénurie des cigarette....
                  les islamistes les vraie qui etaient dans le circuit commercial faisaient profil et e voulais pas avancer pour ne pas perdre leur préviligé séculaire..
                  le FIS comme l'avait noté certain du FLN courant isdlamiste n'est qu'un parti du commerce de la Zatla ni islame ni ideologie ...
                  L'algerie etait un peu saiuvé de clan zatlatiste par l'arrivé de Zerouale..qui etait entouré par les militaire de gauche et les islamistes les mlékite et non chi3ite..le FIS est un partie chi3ite.....d'ailleurs comme toutes confreries ..
                  l'authenticité de l'islame en algerie c'est le clan du hadith sounna et chari3a et ou on enseiganit le courant malékite..d'ailleur ce courant etait ciblé par un clan judeo chretien depuis l'appartition de l'islame en afrique du nords..et ça continu3..la guerre continu..
                  l'etat algerien presenté par les 4 ministère qui vielle a l'applcation de la contitution divent s'interdire d'entrer dans les parties politiques ou frequenter les courant chi3ite..
                  l'etat doit ouvrir une haute ecole de chari3a et fikh et chaque militaire chaque adminsitrateur doit faire ses etudes..
                  si sellale frequente les zawiya chi3ite il doit se defaire d'elle s'il voudra briguer un poste de president..
                  le president de la republqiue le minsitre des affaires etrangère le colonel de l'armée doivent etre ni chargui ni gharbi mais Neutre algerien et point barre

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