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Ils étaient 10 081 candidats, hier à Tizi-Ouzou, à s’être présentés pour subir les épreuves du concours de recrutement d’enseignants de diverses matières, dans les trois paliers de l’Education nationale, organisé par l’Office national des examens et concours (ONEC).
En effet, 269 postes d’enseignants, tous paliers confondus, ont été attribués, cette année, à la wilaya de Tizi-Ouzou. «
Ces 10 081 candidats sont répartis sur 8 centres. Nous avons, donc, un peu plus de 4 000 candidats dans le secondaire. Environs 4 000 dans le palier primaire et pas moins de 2 000 pour le moyen », a déclaré le secrétaire général de la direction de l’éducation, joint par téléphone hier.
D'après l'avis d'appel national à l'organisation du concours, c'est au niveau du palier secondaire, avec 150 postes proposés, que le plus grand nombre d'enseignants à recruter est attendu. La langue amazighe se taille la part du lion avec 35 postes à ce palier. Les sciences naturelles et la physique bénéficient, respectivement, de 22 et 21 postes, à répartir sur l'ensemble du territoire de la wilaya.
L’enseignement du français, de l'anglais et de l’allemand sera renforcé par, respectivement, 5, 11 et 2 postes. 10 postes ont été proposés pour l’enseignement de l’éducation islamique, ainsi que 12 autres pour le recrutement en matière d’éducation sportive, 2 en économie et 3 en mécanique. Cela, en plus d'autres postes répartis parmi les différentes branches enseignées au niveau du cycle secondaire.
En ce qui concerne le palier moyen, sur les 3 113 postes offerts au niveau national, un nombre de 19 postes a été accordé à la wilaya de Tizi-Ouzou, dans un nombre de banches tout autant limité. Ils seront, en effet, répartis entre la physique, avec 10 postes, et les sciences naturelles avec 9 postes.
Pour sa part, le cycle primaire est également avantagé en termes de places disponibles, avec pas moins de 100 postes à pourvoir sur les 4 680 postes proposés au niveau national. En effet, 83 postes alloués pour l’enseignement de la langue arabe, 9 pour le français et 8 pour la langue amazighe.
Après une virée dans quelques centres d’examens, les candidats rencontrés ont indiqué que les sujets proposés étaient plutôt facile et à la portée de tout le monde. « J’ai passée le teste pour un poste d’enseignante en science naturelle aujourd’hui (hier NDLR…). Le sujet était plutôt facile. Ils nous ont posé des questions sur nos connaissances en ce qui concerne cette matière. Mais nous devions également leur expliquer ce que nous pouvions apporter aux élèves en tant que professeurs. Maintenant j’espère décrocher un poste pour pouvoir inculquer à mes futurs élèves tout ce qu’on m’a enseigné », dira Amina, une candidate rencontrée au niveau du CEM Saïd Babouche. Quant à Farida, une autre candidate rencontrée au niveau du même centre, elle expliquera qu’outre les questions sur la matière de science naturelle, d’autres questions concernant la méthodologie à suivre dans l’enseignement des lycéens leur avaient été posées.
Pour sa part, Meriem, candidate pour un poste d’enseignante en langue anglaise dans le secondaire, rencontrée au niveau de l’école Hamoutène, ajoutera : « contrairement à l’an dernier, ça va, les sujets sont plutôt accessibles. Ils ont testé nos connaissances en matière de maîtrise de la langue anglaise, ainsi que ce que nous pourrons apporter à nos élèves. De plus, ils ont également posé des questions sur la méthode à suivre dans l’enseignement au niveau des CEM. Espérons que tout se passera bien et que nous pourrons avoir un poste cette fois-ci ! ».
Samira Bouabdellah- La dépêche de kabylie
En effet, 269 postes d’enseignants, tous paliers confondus, ont été attribués, cette année, à la wilaya de Tizi-Ouzou. «
Ces 10 081 candidats sont répartis sur 8 centres. Nous avons, donc, un peu plus de 4 000 candidats dans le secondaire. Environs 4 000 dans le palier primaire et pas moins de 2 000 pour le moyen », a déclaré le secrétaire général de la direction de l’éducation, joint par téléphone hier.
D'après l'avis d'appel national à l'organisation du concours, c'est au niveau du palier secondaire, avec 150 postes proposés, que le plus grand nombre d'enseignants à recruter est attendu. La langue amazighe se taille la part du lion avec 35 postes à ce palier. Les sciences naturelles et la physique bénéficient, respectivement, de 22 et 21 postes, à répartir sur l'ensemble du territoire de la wilaya.
L’enseignement du français, de l'anglais et de l’allemand sera renforcé par, respectivement, 5, 11 et 2 postes. 10 postes ont été proposés pour l’enseignement de l’éducation islamique, ainsi que 12 autres pour le recrutement en matière d’éducation sportive, 2 en économie et 3 en mécanique. Cela, en plus d'autres postes répartis parmi les différentes branches enseignées au niveau du cycle secondaire.
En ce qui concerne le palier moyen, sur les 3 113 postes offerts au niveau national, un nombre de 19 postes a été accordé à la wilaya de Tizi-Ouzou, dans un nombre de banches tout autant limité. Ils seront, en effet, répartis entre la physique, avec 10 postes, et les sciences naturelles avec 9 postes.
Pour sa part, le cycle primaire est également avantagé en termes de places disponibles, avec pas moins de 100 postes à pourvoir sur les 4 680 postes proposés au niveau national. En effet, 83 postes alloués pour l’enseignement de la langue arabe, 9 pour le français et 8 pour la langue amazighe.
Après une virée dans quelques centres d’examens, les candidats rencontrés ont indiqué que les sujets proposés étaient plutôt facile et à la portée de tout le monde. « J’ai passée le teste pour un poste d’enseignante en science naturelle aujourd’hui (hier NDLR…). Le sujet était plutôt facile. Ils nous ont posé des questions sur nos connaissances en ce qui concerne cette matière. Mais nous devions également leur expliquer ce que nous pouvions apporter aux élèves en tant que professeurs. Maintenant j’espère décrocher un poste pour pouvoir inculquer à mes futurs élèves tout ce qu’on m’a enseigné », dira Amina, une candidate rencontrée au niveau du CEM Saïd Babouche. Quant à Farida, une autre candidate rencontrée au niveau du même centre, elle expliquera qu’outre les questions sur la matière de science naturelle, d’autres questions concernant la méthodologie à suivre dans l’enseignement des lycéens leur avaient été posées.
Pour sa part, Meriem, candidate pour un poste d’enseignante en langue anglaise dans le secondaire, rencontrée au niveau de l’école Hamoutène, ajoutera : « contrairement à l’an dernier, ça va, les sujets sont plutôt accessibles. Ils ont testé nos connaissances en matière de maîtrise de la langue anglaise, ainsi que ce que nous pourrons apporter à nos élèves. De plus, ils ont également posé des questions sur la méthode à suivre dans l’enseignement au niveau des CEM. Espérons que tout se passera bien et que nous pourrons avoir un poste cette fois-ci ! ».
Samira Bouabdellah- La dépêche de kabylie