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« Nous souhaitons voir les échanges commerciaux entre l’Algérie et la Turquie atteindre les 10 milliards de dollars par an le plus tôt possible».
Cette déclaration a été faite aujourd’hui, par le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, lors de son discours devant l’Assemblée populaire nationale (APN), tenu à l’occasion de sa visite officielle en Algérie. A noter que le chiffre avancé par le Premier ministre représente plus du double du chiffre actuel.
Le Premier ministre turc a également affirmé la volonté de son pays de prolonger son contrat gazier avec l’Algérie de dix ans et de voir le visa supprimé entre les deux pays. « Nous avons supprimé le visa avec 70 pays et nous souhaitons en faire autant avec l’Algérie », a-t-il assuré. Erdogan venu en Algérie, en compagnie de quelque 300 chefs d’entreprises, a exprimé la volonté de son pays de renforcer davantage la coopération économique avec l’Algérie, à travers, notamment l’investissement.
Le Premier ministre turc qui devrait inaugurer, demain à Oran, une usine spécialisée dans l’acier mise en place par une société turque a estimé que ce projet exprime la volonté de la Turquie d’aller encore plus loin en ce qui concerne l’investissement en Algérie. L’usine en question un montant de 750 millions de dollars.
Erdogan qui a estimé que l’économie algérienne allait dans le bon sens s’est étalé sur les progrès économiques réalisés par la Turquie au cours de ces dernières années. « L’économie turque est classée à la sixième position en Europe et à la seizième position au niveau mondial.
Les entreprises turques sont présentes dans 100 pays avec un investissement, à l’international, de 25 milliards de dollars », a-t-il informé. Autant d’arguments donc pour rappeler que « miser » sur la Turquie est un choix judicieux.
Il a, en outre, indiqué que son pays voudrait que la compagnie Turkish Airways assure désormais trois dessertes par semaine vers l’Algérie au lieu d’une. « Des discussions concernant cette question précise sont actuellement en cours », a-t-il indiqué.
Pour finir de convaincre une audience manifestement acquise, il rappellera aux députés les points de vue partagés par l’Algérie et la Turquie sur des questions politiques. Le terrorisme « phénomène qui ne connaît pas de frontières » nécessite, selon lui, une coopération accrue entre les deux Etats.
leconews 05.06.2013
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Cette déclaration a été faite aujourd’hui, par le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, lors de son discours devant l’Assemblée populaire nationale (APN), tenu à l’occasion de sa visite officielle en Algérie. A noter que le chiffre avancé par le Premier ministre représente plus du double du chiffre actuel.
Le Premier ministre turc a également affirmé la volonté de son pays de prolonger son contrat gazier avec l’Algérie de dix ans et de voir le visa supprimé entre les deux pays. « Nous avons supprimé le visa avec 70 pays et nous souhaitons en faire autant avec l’Algérie », a-t-il assuré. Erdogan venu en Algérie, en compagnie de quelque 300 chefs d’entreprises, a exprimé la volonté de son pays de renforcer davantage la coopération économique avec l’Algérie, à travers, notamment l’investissement.
Le Premier ministre turc qui devrait inaugurer, demain à Oran, une usine spécialisée dans l’acier mise en place par une société turque a estimé que ce projet exprime la volonté de la Turquie d’aller encore plus loin en ce qui concerne l’investissement en Algérie. L’usine en question un montant de 750 millions de dollars.
Erdogan qui a estimé que l’économie algérienne allait dans le bon sens s’est étalé sur les progrès économiques réalisés par la Turquie au cours de ces dernières années. « L’économie turque est classée à la sixième position en Europe et à la seizième position au niveau mondial.
Les entreprises turques sont présentes dans 100 pays avec un investissement, à l’international, de 25 milliards de dollars », a-t-il informé. Autant d’arguments donc pour rappeler que « miser » sur la Turquie est un choix judicieux.
Il a, en outre, indiqué que son pays voudrait que la compagnie Turkish Airways assure désormais trois dessertes par semaine vers l’Algérie au lieu d’une. « Des discussions concernant cette question précise sont actuellement en cours », a-t-il indiqué.
Pour finir de convaincre une audience manifestement acquise, il rappellera aux députés les points de vue partagés par l’Algérie et la Turquie sur des questions politiques. Le terrorisme « phénomène qui ne connaît pas de frontières » nécessite, selon lui, une coopération accrue entre les deux Etats.
leconews 05.06.2013
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