Pour Ahmed Benbitour, il est plus que probable que cette présidentielle soit rapprochée avec un scrutin anticipé, organisé probablement en décembre prochain. Sans trop s’étaler, l’invité de ce mardi matin du talk-show de la web radio de Maghreb Emergent, lie sa prédiction à la convalescence prolongée du président de la république dont il écarte toute candidature à un quatrième mandat.
A propos de sa candidature, jugée trop précoce par de nombreux observateurs, l’ancien chef de gouvernement soutiendra tout le contraire. Il dit s’être engagé dans un « pari, pas dans un péril». Plus que cela, il croit même en son étoile à l’occasion de ce scrutin puisque se considérant en «meilleure position» et que, ajoutera-t-il sans autre forme d’explication, «le temps joue contre tout le monde».
«La conjoncture plaide en faveur d’un changement pacifique et toutes les conditions semblent réunies pour un changement de régime», assurera-t-il. Surtout que, ajoutera-t-il, «les tenants du pouvoir sont arrivés à la conviction que leur survie dépend d’une transition tranquille».
Katia Kouchi
A propos de sa candidature, jugée trop précoce par de nombreux observateurs, l’ancien chef de gouvernement soutiendra tout le contraire. Il dit s’être engagé dans un « pari, pas dans un péril». Plus que cela, il croit même en son étoile à l’occasion de ce scrutin puisque se considérant en «meilleure position» et que, ajoutera-t-il sans autre forme d’explication, «le temps joue contre tout le monde».
«La conjoncture plaide en faveur d’un changement pacifique et toutes les conditions semblent réunies pour un changement de régime», assurera-t-il. Surtout que, ajoutera-t-il, «les tenants du pouvoir sont arrivés à la conviction que leur survie dépend d’une transition tranquille».
Katia Kouchi
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